Parti 18

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Selem Haleykoum, Bismillah.

Moi : Oh Excuse moi (a un gars)

Lui : Ouaii tu veux quoi ma belle

Moi : Évite ma belle ok ? Karim il habite a quel porte ??

Lui : Huumm t'es une de ses pute hein, il a du goût lui j'suis jaloux

Moi : Mais quesce tu parle toi j'suis la pute de personne c'est toi la pute tah zeubi

Lui : Et ferme ta gueule de petite pute j'vais pas rigoler longtemps

Moi : Tfouu essaye de me toucher avec tes doigts de hataye qui sont rentrés de partout et tu verras pt'it PD

Ouaaa c'est vrai que je les vraiment provoquer là, mais c'est lui aussi il est la a me traiter de PUTE.

Et c'est vraiment pas le moment de me chercher, j'ai que de la haine et des nerfs en moi. Il se lève pour me frapper, j'ai stresser à mort mais j'lui tenais tête, je ne montrer aucune expression de peur ou de crainte. J'avais le regard noir, avec une expression neutre. «Ne jamais montrer sa peur a son adversaire ou a son ennemie. Jamais, t'as bien entendu. Contrôle ta peur et tu le contrôlera . J'veux jamais te voir baisser les yeux ou la tête devant quelqu'un même si c'est un gars» Sami tu me manque trop, t'es parti mais tu n'a jamais quitter mon cœur, ma tête. La preuve, t'es paroles sont là, je les entends avec ta voix me les répéter.

Revenant, je ne recule même pas, face a son approche. Heureusement qu'un autre gars le refait se rassoir en le tirant pas le bras

Autre Gars : Amine reste tranquille t'vas pas péta un gadji

Amine : Téma comment elle parle j'vais lui apprendre à vouloir faire le bonhomme avec moi

Moi : De quel bonhomme tu parle, toi même t'es pas un bonhomme, t'es là tu traîne H24 à fumer comme un charlo à BZ, à tiser et tu me parle de Bonhomme mais Garde la Pêche wAllah tu fait pitier

Il a pas chercher a comprendre, il fonce vers moi, ma mis une pêche dans la gueule waa j'les bien senti celle la, ma tête elle a ta fait un tour complet un 360° geh.

J'perds pas de temps malgré la douleur, je lui saute dessus et je l'enchaîne. J'y mettais toute ma force. Ce bâtard aussi ne se retenait pas, il ma mis un coup dans les seins sa ma buter de fou, moi j'lui mettais des patates dans la tête, aucun de nous deux voulait arrêter ou lâcher, on se déchaîner. Ses potes essayaient de nous séparer mais ils n'y arriver pas. Ils crient sur nous pour qu'on se lâche, mais on ne pouvais pas car le premier qui allait arrêter allez se prendre un coup par l'autre.

Sa nous tirer dans tous les sens, j'mettais accroché a ses oreilles et j'le taper au visage sans m'arrêter pendant que lui me donner des coups violent au ventre. Le temps m'a parut longs, c'est les plus longue seconde de ma vie. J'voulais pas faire de problème, mais sa provocation à était plus fort que moi. J'me suis rabaisser a son niveau en lui répondant. Comme si je n'avais pas assez de problème comme sa.

Je ferme les yeux tellement j'en peux plus toujours en enchaînant les coups sur lui. Cette monter d'adrénaline me fait pas ressentir la douleur Hamdoulilah sinon je serait déjà morte. Et là ENFIN, je m'envolle, à droite, et Amine à gauche, ils ont enfin réussit à nous séparer il était temps j'en pouvais plus, j'penssait déjà à la mort qui m'attendait. Des gars m'éloigne de la scène de «bataille» et me pose par terre.

Je sens plus mes cotes et tout le bas du ventre. J'ai mal, mal de partout à la tête. J'ouvre les yeux j'voi tarpin de Mecs. Y'en a de partout, tous sous le choque, des darones criaient par les fenêtres, d'autres étaient en pleurent. Toujours assise par terre, j'me relève avec une atroce souffrance aux côtes et au ventre. J'analyse les gens et essaye de trouver Amine, j'le voie plus loin plein de sang, le visage défiguré par mes poings et par mes griffes. Il pisser le sang. D'ailleurs du sang, yen avait de partout sur les lieu du "crime".

J'imagine même pas mon état. Aucun larme ne sort pourtant, alors que j'avais terriblement mal je souffrait de fou. Tout le monde parler j'entendais des "Wch y c passer quoi ?",  "C qui qui c'est battu", "La meuf la par terre ??", "BOoaaa c qui qui a gagner ?"

Bande de trou du cul, j'suis la entrain d'agoniser et ya des p'tits qui ose dire «qui a gagner» pfffff......

J'regarde tous ces visages de gars, j'en connaissais aucun ou du moins j'arriver pas a les reconnaitre, ma vue devenait flou.

J'me léve avec beaucoup de mal, j'ai du me mettre a quatre pattes, m'agripper a un gars qui lui ensuite m'a relevé. Avec son aide, on se dirige à l'intérieur du bâtiment loin de tous ces gens mon bras autour de son épaule. Il me dépose sur les escaliers.

Lui : Sa va allez ??

J'peux même pas lui répondre, moi même je ne sais pas dans quel état je suis

Lui : Oohh t'endors pas !! sava ooh ??

Oui tout a fait j'pète la forme la, viens on va faire un tour de terrain s'tu veux ??.... Non miskine il s'inquiète pour moi, j'vais pas lui dire sa. De toute façon j'avais pas envie de lui parler. J'méconomise pour mes sœurs parce que je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Je le regard en guise de réponse.

Lui : Non sah je sais vraiment pas comment tu fait pour tenir encore, faut vraiment qu'on t'emmène au urgence la. T'es dans un état critique, et j'dis pas sa pour te faire peur.

Moi : .....Noon ...jveu ..mes soeur ....dabor (en reprenant mon souffle entre chaque mots)

Lui : Comment sa t'es sœurs, tu les a perdu ?

Moi : T'as ....un ...tel stp

Il sort son tel me le passe, je voyais flou donc je le laisse composer le numéro. C'était celui d'Ilyes, je le connaissais de par cœur. Sa sonne mais personne ne répond. On réessaye plusieurs fois mais on tombe toujours sur son répondeur.

Sayer c'est fini, je sens que mon corps me lâche. Mes poumons, j'ai mal au poumon, j'ai du mal à respirer. Ma fin est proche. Non sa ne se peux pas, je veux pas partit maintenant ya rabbi aide moi je ne veux pas mourir maintenant... et puis si c'est T'as volonté, si c'est mon mektoub de mourir aujourd'hui bah je suis d'accord avec toi, j'ai rien a dire.....

Je ferme les yeux en essayant de contrôler ma respiration pour pas qu'elle me lâche et en me répétant en boucle la CHA'ADA

.... : KAyliah ??NOOOOOOOOOON ME DIT PAS QUE TU T'EST BATTU ??

J'ouvre les yeux.

Moi : ..... Djelal ??

Lui : Ouai c moi, putiiinnn pourquoi t'es venu ici, j'tavais dit que j'men charger

Moi : ... Je sais pas

Lui : Viens la (il me prend dans c bras). C'est qui le ZEMEL qui la toucher ??? (en s'adressant au autre).

Moi : .... Elles sont ou???

Lui : Elles sont la

Je me détache de ses bras et me tourne. Je les voies les deux en bonne santé Hamdoulilah, j'suis la plus heureuse, une larme commence a coulait toute seul. Je les biens senties tellement qu'elle me brûler toute la joue. Sarah me saute dessus et me sert fort. J'avais plus de force, j'étais faible, son poids de fourmis ma fait perdre l'équilibre. Djelal me rattrape des justesse. Je lui sourit et la Trou Noir. J'entendais juste des voix. Comment dire, j'étais encore consciente mais j'avais pas la force d'ouvrir les yeux ou de sortir un son de ma bouche. J'mendors.....

/Le Jour ou j'partirai n'venais pas pleurer sur ma tombe. Combien m'on juré sincérité. Combien on voulu que j'tombe./

Nawel_Mnl

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« Kayliah - Cœur de Pierre sans Repères »Where stories live. Discover now