Sauveur

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- Mais je ne le suis plus, je ne cautionne absolument pas ce qu'ils vous on fait je suis la pour vous aidez on va sortir d'ici. Il me tend une couverture. Couvrez vous. Je mets la couverture autour de moi et il s'approche de ce que j'estime être un peu trop proche.

- NE VOUS APPROCHEZ PAS ! S'il vous plaît. Je vous en supplie.

- Tout va bien d'accord, je sais que vous avez peur mais il ne vous arrivera plus rien. Vous êtes en sécurité. Je vais vous ramener chez vous. Je vais m'approcher d'accord ? Je suis désespérée alors je le laisse s'approcher. Vous pouvez marcher ? Je répond négativement de la tête. D'accord je vais vous porter.

- Non... non s'il vous plaît.

- Ça va aller je ne touche que la couverture. Il me prend alors dans ses bras et respecte ce qui l'a dit en ne touchant que la couverture. On sort alors du hangar où j'étais retenu et nous n'avons pas le temps d'arriver dans la voiture que je m'étais endormis dans les bras de mon très beau sauveur. En me réveillant j'étais dans la voiture assise côté passager avec la couverture couvrant tout mon corps.

- Merci. Le chauffeur sursaute.

- Je n'avais pas vu que vous étiez réveillé. Comment vous vous sentez ?

- Je me sens faible mais je suis contente d'être sortie de la.

- Ils vous ont saigné ?

- Entre autres... Après ça, il a roulé quelques secondes avant de se garer sur une bande d'arrêt d'urgence. Qu'est ce que vous faites ?

- Il faut que vous buviez du sang. Il me tend son poignet.

- Non je ne pourrais pas m'arrêter si je commence.

- Bien sûr que si ! Il doit voir sur mon visage que je suis sceptique. J'ai confiance en vous. Je ne suis absolument pas sûr de pouvoir m'arrêter mais j'ai tellement soif que je ne peux pas refuser sa proposition. Je mord dans son poignet et bois plusieurs gorgées avant de m'arrêter. Vous avez repris des couleurs !

- Pourquoi vous faites tout ça ? Au dernière nouvelle vous en vouliez à ma famille.

- Votre famille a fait des choses horribles certes mais vous ne méritez pas ça, personne ne le mérite. Et puis notre conversation m'a fait réfléchir parfois il y a des choses que l'on ne peut pas changer. Mais il y en a que l'on peut encore changer.

- Je peux vous posez une question ? Il rallume la voiture et se remet à rouler en regardant le paysage, je me rends compte que nous ne sommes pas du tout a la Nouvel Orlean.

- Oui bien sur.

- Qu'est ce que ma famille a fait a la votre ? Je le vois grimacer.

- C'était il y a un moment, votre frère a décidé d'aller dans une cathédrale au départ tout se passait bien mais quelqu'un a dû l'énerver ou je sais pas quoi mais il s'est jeté sur les personnes qui étaient dans cette cathédrale dont mes arrières grands parents. Alors ma famille et les familles des personnes qui ont été tuées on former une sorte de groupe anti originels mes grands parents en étaient les leaders puis mes parents et maintenant c'est censé être moi mais sincèrement c'est un combat qui ne me regarde pas et qui date d'il y a un siècle, parfois il faut lâcher l'affaire. Je ne réponds pas en réfléchissant a quand Klaus aurait pu faire ça mais je n'en ai aucune idée.

- Je suis vraiment désolé.

- Vous n'avez pas à l'être vous n'y êtes pour rien. Après ça plus personne ne parle dans la voiture mais ce n'est pas un silence lourd c'est un silence léger et apaisant.

Pour une familleDove le storie prendono vita. Scoprilo ora