CHAPITRE 12

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* PERSÉPHONE *

Ma respiration est aussi irrégulière que mes envies et émotions à l'égard d'Hadès.  Je  le veux  tellement que j'ai l'impression que mes poumons s'embrassent à l'instant ou je sentis son souffle. Suis-je devenue une espèce de goupille ??

Reconcentre ton attention Perséphone,  se sale type ta kidnapper pour que tu sois sa femme et le pire c'est qu'il à l'air de trouver sa totalement normal :

- POUPÉE SOIS TU SORT DE CETTE PUTAIN DE SALLE DE BAIN OU SOIS JE TE FAIS SORTIR !

- VA BIEN TE FAIRE FOUTRE !

Il m'a kidnapper sans même savoir le nom de sa captive.  En fait,  il est juste fou. J'enlève le drap qui entour mon corps pour vérifier si cette nuit il serait passé quelques choses. 

Rien même pas une simple petite trace. Hadès ne m'a pas touché,  ce qui me rassure.  A la place ce pervers m'a changé pour m'habiller avec une petite l'ingénierie fine :

- Elle  te plaît ?

- AAAAH !

Surprise,  je luis donne une énorme gifle.  oh merde ! Son regard qui est naturellement sombre me paraît plus qu'un trous noir.  Il me saisie mes jambes pour  me balancer sur ses épaules pour et me transporte, je ne sais où :

- REPOSE MOI ! IMMÉDIATEMENT !

Il rit d'un rire sadique :

- Tu crois sincèrement pouvoir exiger quelque chose de moi ?

- Et toi , tu sincèrement que je vais t'épouser ?

Il ne répond rien mais resserre sa prise.  Il m'a trimballer comme un sac patte pour au final m'enchainer ( encore) dehors contre un murs de pierre froid :

- Ici , tu pourras hurler et insulter autant que tu le souhaites.  Je reviens ce soir,  j'ai des affaires à régler.

Il c'est évaporé,  me voilà coincé à regarder un jardin  de fleurs.  Au loin  j'aperçois un grand arbre  avec des cristaux en guise de feuilles. Sa doit faire  au moins deux heures que je suis  attaché. 

Je n'essaie même pas de me débattre pour simplement raison que je sais que je ne pourrais pas me défaire de ses chaînes alors autant attendre. Une goutte,  deux goutte et la un torrent d'eau :

- HADÈS TU N'ES QU'UN PUTAINS D'ENFOIRÉS DE MERDE !

Je suis tremper de la tête au pied,  les cheveux qui collent au visage et cette putains l'ingénierie fine qui doit être sûrement transparente. Le vent froid caresses ma peau.  Je déteste la pluie mais je déteste encore plus cette enfoirés !

Il me le payera , je le jure sur ma tête.  Je viens de me réveiller de ma sieste,  se débattre sous la pluie alors que vous êtes attaché à un mur,  n'est pas chose agréable. 

Je n'arrive pas à savoir  si c'est une impression mais les chaînes se sont détendues.  Est-ce que c'est encore une supercherie de sa par ? Je respire doucement comment à penser à des choses qui m'apaise.

Genre moi gamine jouant avec ma sœur et ma mère car oui autre fois sa m'arrivait de passer du bon temps avec elle.  Après j'imagine un jardin fleuries,  comme celui qui entour ma serre . Au loin ma sœur joue jusqu'à ce qu'il apparaissent.

Mes yeux s'ouvrent aussitôt.  Il y a des souvenirs que je préféreraient oublier et celui-ci en fait partie.  Hadès,  je suis quasiment certaine qu'en plus d'être une ordures,  tu n'as pas de cerveau car sinon je ne vois pas pourquoi tu aurais kidnapper la fille de celle qui veut ta tête au bout d'un pieux.


Il devait être minuit quand il est venu me transporter tel à sac de pomme de terre ( encore) jusqu'à la salle à manger.

Au centre de la pièce,  il y a une grande table en bois noire sur laquelle une plaque de verre laisse transparaître une carte. Je n'arrive pas lire ce qui est écrit mais les dessins sont en mouvement et je dois l'admettre ces assez beaux à regarder :

- Cette carte est une carte magique.  Elle à la particularité de montrer le lieux où ce trouve la personne à qui tu penses le plus en ce moment. Je ne sais pas si c'est le hasard ou une simple coïncidence mais là carte montre mon royaume.

Mes joues se mettent à chauffer,  tel un volcan.  Il sait,  le seul être ici que je connais est lui donc par conséquent c'est forcément à lui que je pense :

- Ne rêve pas Hadès,  mes pensées envers toi ne sont pas sans envie de meurtre. 

- Et qui t'a dit que je pensais que t'es penser envers moi était tout autre ?

Dit-il avec un sourire sournois au coins de la bouche.  La fin du dîner ses terminé dans silence plus que pesant.  Il à essayé à de nombreuses reprises d'entamer la conversation,  chose qui fut inutile puisque mes réponses n'étaient rien de plus que des simples hochement de tête et des "hum " ou "hmm" quand l'envie m'y prenait :

- Demain,  tu retournera dans le royaume des mortels pour  récupérer tes affaires et tu diras à ton amie que tu pars pour un long voyage.  Histoire qu'elle ne se pose pas trop de questions.

H.A.D.È.SUnde poveștirile trăiesc. Descoperă acum