Aimer se détester

Le coloc

Sophia:

-Je…tu……TOI!?

-Toi?! Je peux savoir ce que tu fous là? 

-Je te retourne la question! Lui lançait-je avec une exaspération sans pareil.

-Figure toi que chui chez moi, enfin une maison qui appartenait à ma famille.

-Ah eu..mais… quoi?

-Donc tu me prends tout ton bazar et tu dégages ! Me répondit-il avec ce même air sadique que la première fois.

-Nan mais attends tu peux pas faire ça je vais où moi sinon?

-J’en sais rien et j’en ai strictement rien à foutre.

-Nan mais arrête tu peu pas faire ça !!

-Et comment que je peux. Regarde. 

-Il se précipita vers les escaliers et couru pour ouvrir les deux portes pour voir dans laquelle des deux chambres j’étais installée.

-J’arrivais devant la porte de la chambre elle était fermée . Je tournais la poignée et poussa. 

-Putain ce con avait fermé à clé.

-OUVRE-MOI PUTAIN!! Lui criai je à travers la porte,tout en frappant et poussant de plus en plus fort.

-VAS TE FAIRE FO…. HAAAA!! Aïe nan mais t’es sérieux t‘as vraiment attendu que je sois adossée à la  porte pour ouvrier et que je tombe?!

-Oui tout à fait, maintenant si tu veux bien me suivre c’est par là la sortie. 

-Attend attend elles sont où mes affaires? 

-Humm je sais pas t’as cas demander au tas de feuille en bas de la fenêtre.

-Hein?

-Je me pencher par la fenêtre, tout était là dans les feuille trempé par l’averse de cette nuit.

-NAN MAIS ÇA VAS PAS OU QUOI?! Lui lançai-je tout en m’approchant dangereusement de lui. MAIS T’ES COMPLÈTEMENT MALADE MA PAROLE!

Je m’apprêtai à lui assainer une gifle dans le visage, mais il me pris par surprise en attrapant mon poignet.

-Relève une seul fois la main sur moi et tu pourra aller faire un coucou là haut  à tes potes du lycée 

J’étais à présent coller au mur, nos visage à quelque centimètres l’un de l’autre, mon corps battait si fort que je pensais qu’il allait exploser.

Il me lâcha si soudainement que je manquais de tomber.

Mon poignet était endolori tellement il avait serré fort.

Je repris mes esprits et descendi. 

-putain donc là tu me met vraiment dehors?

-Oui. La sorti et en face!

Son ton froid me fit frissonner 

-Non je vais pas sortir!

-Ha bon tu croit ça?

Je déglutis alors qu’on se retrouver une nouvelle fois dans une extrême proximité.

Je poussai un cri lorsque qu’il m’attrapas le bassin et me mis sur son épaule.

 -NAN MAIS LACHE MOI!

-tu es sûre ?

-OUI JE SUIS SUR!

-très bien comme tu veux. Rétorqua il en lâchant dans mes affaires qu’il avait jeter au par avant.

-Aïe putain nan mais t’as un sérieux problème toi!