STAR IN SPITE OF HIMSELF || L.S.

X

29 août 2012
Louis Tomlinson

J'avais peur au début, mais de monter comme ça sur scène et de voir ces drapeaux ça m'a juste fait sourire. Simon déteste ça et le reste du management aussi d'ailleurs. Les garçons et moi, ça nous fait un peu rire et on est plus fier qu'autre chose de nos fans. Ils sont juste si intelligents. Avec Harry on a rien dévoilé à quiconque de l'ordre du public. Parfois on ne peut juste pas s'empêcher d'avoir de gentilles attentions envers l'autre. Apparemment ça a suffi pour que nos fans – qui sont en fin de compte sûrement des détectives – pour découvrir qu'on sort ensemble avec mon joli bouclé. Maintenant, ils brandissent des drapeaux LGBTQ+ lors de nos concerts et insinuent des choses lors des conventions.

Harry me chéri comme personne ne l'a jamais fait avant. Il pourrait me dévorer le visage de bisous tout doux pendant des heures entières pour d'un coup devenir un petit démon et me faire l'amour comme une divinité grecque. À chaque fois, j'ai l'impression de m'élever au ciel, au paradis. Mes cris parfois stridents quand il me fait atteindre l'orgasme, le font devenir encore plus fougueux. J'en parle comme s'il me tenait en laisse mais ce n'est pas tout à fait le cas. J'aime tout autant le dominer, lui donner ce qu'il souhaite. Pour moi, ce n'est pas qu'une histoire de dominant et de dominé. Non. C'est plutôt un assemblage de conditions, quelque chose que tu donnes tout comme tu peux recevoir de l'autre. C'est un cadeau dans tous les cas car tu vois ton partenaire apprécier le moment qu'il passe avec toi. Il aime être en ta compagnie et c'est devenu l'une des plus belles choses de ma vie. Harry est devenu la plus chose de ma vie.

10 août 2011

J'halète comme un chiot devant les tétines de sa mère. Il est mon Arès, je suis son Aphrodite. J'ai déjà deux énormes suçons près de l'oreille gauche mais je n'en ai que faire parce qu'à l'instant je ne pense qu'à Harry qui me mordille les tétons. Bordel. Ses boucles me chatouillent le torse alors que j'y accroche une de main et que mon autre vient claquer l'une de ses fesses rebondies. D'un coup, sans que j’aie le temps de comprendre l'expérience magique que l'on est en train de vivre, mon sexe se retrouve englobé de ses lèvres. Sa langue vient taquiner mon gland. Je me sentais durcir mais la tension est montée d'un seul coup. Plus ses lèvres pressent mon sexe, plus ses dents me mordillent et plus sa langue me chatouille, plus la jouissance est proche. Je le sens. Je vais me déverser. Mes joues me brûlent plus que jamais. Un premier cri s'échappe de mes lèvres. Il donne un nouveau coup avec sa bouche, ma bite se retrouve au fond de sa gorge. Un deuxième cri. Je le sens sourire, il est fier de lui. Quel coquin, va. Mon troisième cri ne sera pas un simple cri s'il continue ainsi mais un orgasme qui monte à toute vitesse. Il retire ses lèvres, passant sa langue rosée mon sexe de tout son long. C'est trop pour moi, je ne tiens absolument plus et me déverse sur son torse et les draps.

Oops. Je suis toujours un peu gêné quand cela se produit, mais Harry me met toujours en confiance. Je regarde juste mon sperme sur son torse puis regarde mon amoureux dans les yeux avant qu'on se mette à rire tous les deux. Il s'écroule à côté de moi avant que nous plongions à nouveau nos yeux dans ceux de l'autre. Ses mirettes brillent telle une étoile dans la nuit à cause du plaisir qu'il vient d'éprouver. Il passe un doigt dans mon liquide blanc sur son torse, l'observe et entrouvre ses lèvres.

- Je me suis toujours demandé si chaque sperme avait son propre goût.

Il dit ça avec tant d'innocence et de sérieux que je ne peux m'empêcher de sourire.

- Ça dépend de ton alimentation.

- Hein?

- Le goût. Le goût change selon ce que tu manges.

- Sérieux !? Il écarte les yeux comme si la nouvelle allait changer le cours de sa vie.

- Bah oui. Je ris. Monsieur Styles, que faisiez-vous durant vos cours de SVT ? Je me moque en interprétant une voix grave comme si je le réprimandais.

- Vous allez me punir monsieur ? Il rentre dans mon jeu.

- Oh que oui jeune homme ! Vous méritez ma colère. J'utilise toujours cette voix grave d'homme d'une quarantaine d'années.

- Et quelle-est-elle ?

- Je pourrais te garder à jamais avec moi. Je pourrais sculpter de mon regard ton corps tout entier pendant des heures. Mais je pourrais aussi être plus autoritaire car tu as été vilain.

- J'accepte ma sentence.

Nous nous enlaçons, étant collé l'un à l'autre en se réchauffant grâce à nos corps pleins de désir. Nous n'avons que faire du sperme collant sur nos douces peaux lisses.