Le hobbit : Le destin d'une Dragonnière TOME 1

Chapitre 10

La bataille est sanglante. De la hauteur ou nous sommes, aucun êtres au sol ne peux nous distinguer. Mais moi, je vois tout. Smaug continu de survoler la bataille de long en large. Tout à coup, j'entend ses penser.

- Petite humaine, nous devons descendre. Je commence à avoir une faim de dragon.

Je souris légèrement.

- Bien, fais leur une entré renversante.

Cela me fait bien bizarre de parler avec un autre dragon, mais j'ai une infime chance de pouvoir sauver les miens. Smaug prend de la vitesse, puis pique tout droit vers le champs de bataille. Je me rend compte seulement maintenant que je n'ai pas d'armure ni d'armes. Je reprend contact avec Smaug.

- Pense tu pouvoir suivre des sorts élfique ?

- Ne me sous estimes nullement, petite humaine. Fait donc tes tours de magies.

Le sol se rapproche. Je pousse un soupir, le vent violent dans mes cheveux, mais je ne fais plus qu'un avec le dragon. Avec férocité, il se pose dans un tremblement qui renverse orques, elfes, humains et nains. Tous semble étonner de voir le dragon, encore mort il y a a peine quelques jours. Ce qui non pas encore remarquer, c'est moi. Smaug pousse un cri bestial.

- C'est ma montagne !

Les orques lui lance des flèches, mais je me redresse et descend de mon dragon. Le ciel s'assombrit, mes yeux virent au noir, mes cheveux blanchissent, tandis que mes mains se joignent entre elles, de l'électricité parcourant tout mon corps.

- Uru corima túlda fatanyur, sá cotumonya nas uruitë.

Des boules de feu jaillissent de mes mains, se précipitant sur les orques autour de nous. Comme si il s'agissait d'un signal, les hostilité reprirent de plus belle, Smaug crachant du feu sur nos ennemis. Je sentis un regard pesant sur mon corps, je sais de qui il s'agit. Azog. Il faut que je récupère mon armure. Gandalf doit être dans la ville, je me retourne, assénant un coup de coude à un orque qui foncer droit sur moi.

- Smaug ! Je peux te laissais la ?

- Bien sur, par retrouver se magicien de pacotille.

Fidèle à lui même, il enfourne trois orques dans sa gueule. Je me précipite vers Dale. Esquivant les flèches, lances et épées qui fondent sur moi, je commence à m'essouffler. Je ne sais pas ou sont mes amis, j'espère intimement qu'ils sont toujours en vie. Dale se rapproche de plus en plus, ma hanche me fait mal, mais je dois absolument trouver Gandalf. J'arrive enfin, et soudainement, je ressens quelque chose d'étrange. Je dois trouver cette source d'énergie qui m'attire. Inconsciemment, je cours en direction de cette énergie. Je trouve Bard. Pourquoi l'énergie se trouve sur Bard ? J'entend vaguement se qu'il dit.

- Mais ou sont mes enfants, maintenant ?

Il a l'ai extrêmement inquiet.

- Bard ! L'appelait-je en secouante de mes mains.

- Syllynn !

Il se précipite vers moi.

- Mes enfants on disparut, mais ou été tu, bon sang !

- Je réveiller un dragon.

Je me met à toucher son manteau, ou l'énergie est de plus en plus forte.

- Mais que fait-tu ? Ce n'est pas le moment !

Ma main butte sur quelque chose, je la saisi.

- L'arkenstone ?

Soudain, la pierre se mit à briller, tandis que je senti un courant chaud me transperçant. Bard s'éloigna, alors que des orques s'approche en courant de nous. Mes bras s'écartèrent. Une boule blanche explosa, envoyant valser les orques ainsi que Bard un peu plus loin. Je retombe sur mes genoux. Je suis plus lourde qu'avant. Je regarde mes mains, qui sont à présents couverte d'un tissu blanc. Une armure blanche me couvre, trois têtes de dragon sur mon torse. Mes cheveux sont maintenant, tresser de chaque coté. Je fait apparaitre une épée blanche dans ma main droite.