Le hobbit : Le destin d'une Dragonnière TOME 1

Chapitre deux

Cela devait faire plus de quatre heures que nous galopions dans les plaines. C'était magnifique. Je levai la tête pour voir Thi'nafy et Fal-langgri faire mumuse dans les airs. Je fis une grimace. Je ne portais pas mon armure, elle était beaucoup trop encombrante, donc Beorn l'avait gardé avec lui. Je portais seulement une chemise vert clair avec un pantalon noir et des bottes en cuir marron, mon épée elle, était dans mon fourreau. Nous galopions encore quelque temps, puis nous sommes arrivées devant la Forêt noir. Beorn m'avait racontée que l'ai elfes qui résidé dans cette forêt n'était pas comme leur semblable. Ils étaient plus cruels.

Gandalf rentra dans la forêt quelque instant, et en ressorti, bizarre.

Libéré les poneys ! Qu'ils retournent chez leur maître.

Je libérai Isla. Une fois cela fait, je m'avançai vers mes dragons.

Partez, allez voir les alentours, ensuite rejoignez nous a la lisière de la fin de la forêt. Si par je ne ses quel moyen on n'arrive pas, rentrais dans la forêt.

Ils hochèrent leurs têtes, puis ils partirent. Je me suis donc retournée pour voir ou en était les autres. J'ai pu discuter avec les nains-appart Thorin- et le hobbit, ils sont vraiment gentils est chaleureux. Alors que j'allais aider à desseller le cheval de Gandalf, celui-ci cria :

Pas mon cheval ! J'en ai besoin !

Mais vous allez nous laisser ?

Si je vous laisse c'est que j'y suis contraint. Vous avez changé Bilbon Sacquet, vous n'êtes plus le Hobbit qui a quitté la contré.

Je vis Bilbon sourire, quand Gandalf s'approcha de moi :

Fait attention, ne quitté pas le sentier. Souviens-toi de ça.

J'hocha la tête et lui fit un sourire :

Ou va-tu ?

Il se retourna de moitié :

Au Monts du Rhudaur.

Un frisson me traversa. Je me rappelle de quelque chose. Qu'une elfe m'eût dit dans un rêve étrange ... "Quand l'Angmar tomba, les emportèrent son corps et tous ses biens et les scellèrent dans les monts du Rhudaur, au plus profond de la roche, ils l'ensevelirent, dans un tombeau si sombre qu'il ne reverrait jamais le jour..." Je sais ce que Beorn a dit à Gandalf avant de partir, je sais ce qu'il a vu en entrant dans la forêt. Ça devient clair maintenant.

Le nécromancien est revenu. J'ai lu un tas de livre à son sujet.

Gandalf grimpa sur son cheval a parti au grand galop en nous criant :

Ne quitté le sentier sous aucun prétexte ! Ou vous ne le retrouver jamais !

Sa c'est sûr. Je me suis retournée vers la forêt, la regardent. Je sens que le pire et à venir. Pourquoi j'ai voulu les suivre, déjà ?

*

Sa devait faire trente minutes que nous sommes rentrés dans la forêt Noir. Ou peut-être une heure. Je ne sais plus. Cette forêt m'embrouille l'esprit, je n'y vois plus clair. Un mal agit sur cette forêt, je ne serais comment l'expliquée, mais je sens que quelque chose va se passer. Je me repasse en boucle ce que ma dit Gandalf "ne quitte pas le sentier". J'ai alors eu une idée. Je pense que je vais semer des objets sur le sentier et un peu partout dans la forêt, comme ça si on se perd on aura peut-être une chance de retrouvé le chemin. Alors que je marcher, j'entendis une voix. Je tournai la tête en direction de cette voix. C'est comme si elle m'appeler. J'allais donc me diriger vers la source du bruit quand quelqu'un m'attrapa le bras. C'est comme si j'étais en trans, perdu dans mes plus sombres pensées. Je senti une claque sur ma joue. Je me réveillai d'un coup. C'était Thorin. Je le regardai longuement en le remerciant. Il détourna le regard et reparti devant. Il ne faut plus que je me laisse distraire.

Nous commencions tous à être épuiser, mais Thorin voulais avancer. Déjà qu'ils nous aient arrivées un truc de dingue. Bofur était tomber dans une rivière, et depuis j'ai l'impression que l'on s'est égarer. Je ne sens plus le sentier en pierre sous mes pieds, j'ai mal à la tête, comme si quelqu'un me marteler le crâne. Une tension énorme entre nous tous grandissez, cette forêt est maudite.

Stop ! Tout le monde se tait !

Tous les nains se sont tus. Il y avait comme des chuchotements. Comme tout a l'heure quand j'ai entendu des voix.

Thorin ce retourna vers nous en nous chuchotent :

On nous observe.

Je fronçai les sourcils suite à cela, quand je remarquée que Bilbon manquée à l'appel.

Hum... Thorin ? Ou est Bilb-

Je ne pus finir ma phrase, je me suis comme...évanoui.

*

Je ne pourrais dire ce qui nous a attaquer, mais ce que je sais, c'est que ce n'est pas humain. Je me faisais trainer par terre comme une vulgaire chaussette, je sentais autour de moi, quelque chose de collant. Je me sentie lever du sol pour me faire accrocher a, ce que je pense, être une branche. Malgré le fait que j'ai les yeux ouverts, je ne pouvais pas discerner la forme au-dessus de moi. Mes yeux sont comme embrumée. Je fermis les yeux un court instant, en essayant d'entendre le moindre bruit. Beorn m'avait appris à discerner n'importe quel bruit en fermant les yeux.

J'entendit comme un coup d'épée, j'espère bien que c'est de notre groupe, quand tout à coup, je me sentis tomber. J'eus l'impression que cela avait durer une éternité. Une fois que mon dos cogna le sol dur, je me dégageai de cette chose collante. Je poussai un cri de victoire, qui se changea bien vite en cris de terreur quand je découvris quelles étaient les créatures qui nous ont attaquer. C'est une blague. Des araignées. Des énormes araignées. J'étais tétaniser, j'ai comme qui dirait la phobie des araignées. Je respirai un grand coup en sortant mon épée de son fourreau. Je me positionnai à côté de Dwalin, et nous commencions à combattre c'est bestiole.

Une araignée fondait sur moi. Je reculai alors ma jambe droite, avançais ma jambe gauche, plia les genoux, et bondit sur la bête. J'étais sur elle et elle bougeait dans tous les sens, c'était difficile de tenir mais j'essaya de fixai mais deux jambes de part et d'autre de ça satané tête, et j'enfonça d'un coup mon épée dans ce qui ressembla être son crâne. Du sang vert foncé me gicla dessus. L'araignée tomba raide morte. Je descendis et essuya mon visage rempli de sang, une remontée gastrique me pris. Nous continuons le combat, jusqu'a qu'on se retrouve encerclée. Alors ça s'arrête déjà ? Non je refuse ! Je ressentais en moi une soudaine montée d'adrénaline, quand une flèche vint se loger dans la tête d'une des araignées. Je levai la tête pour voir un elfe. Il était blond et avait le teint très pale. Je ne pouvais voir la couleur de ces yeux. Quand il arriva près de nous, il encocha une flèche et nous visa. Je regarder par tout pour voir si je voyais Bilbon, mais je ne le vis nulle part. Mais quelqu'un d'autre maqué. J'ouvris grand les yeux et hurla :

- Kili !

J'allais sortir du cercle, mais l'elfe m'attrapa le bras. Je remarqué alors qu'il avait les yeux d'un bleu très clair. Plus loin, je vis une elfe rousse revenir avec Kili. Je soufflai de soulagement. Mais c'était quoi le pire ? Se faire dévorer par des araignées géantes ou se retrouvais enfermé dans le royaume des elfes ?

Ça ne pouvait pas mieux commencer, tien.