Tengen x Zenitsu

854 34 58
                                    

Pov Zenitsu

Quelle galère ! C'était pas assez humiliant une fois, NON FALLAIT QUI EN AI UNE DEUXIÈME !

JE SUIS ENCORE UNE FOIS UNE ORIAN ! Ou du moins une semi-orian...

Et bien sûr il fallait qu'IL soit mon "tuteur" si on peut appeler ça comme ça.

Je soupire, prenant une grande inspiration, avant de commencer à jouer de nouveau du biwa, remplissant la pièce d'une musique apaisante.

? : Elle joue bien... À combien est-elle ?

Je suis en décoration connard-

Tengen : On regarde et c'est tout.

Uzui arrive derrière les clients qui s'approchent un peu trop, les faisant sursauter.

? : Même si on double la mise-

Tengen : Même. Du balai.

Les deux idiots rumines avant qu'ils ne partent loin de moi.

Tengen : Je savais bien que ton ouïe était aussi fine, voir plus, que la mienne.

Zenitsu : Et ? Qu'est ce que je dois faire de cette information.

Le pilier ricane, se plaçant derrière moi.

Zenitsu : Qu'est ce que tu fais ?

Tengen : Si je m'éloigne ils vont revenir...

Il désigne d'un mouvement de tête les hommes qu'il a envoyé balader.

Tengen : Et que tu le veuilles, ou pas, tu finiras dans une chambre avec eux.

Zenitsu : Je déteste les personnes comme ça...

Tengen : Et moi donc !

Je continu ma douce mélodie, surveillé par Uzui même quand les clients finissent par abandonner.

Zenitsu : Uzui...

Le pilier baisse la tête, voyant directement ma fatigue.

Tengen : Repos ?

Je hoche la tête positivement, posant le biwa et me relevant, suivant Uzui dans nos appartements.

Tengen : Je te laisse, je reviens dans cinq minutes ! Je dois vérifier les lettres de mes femmes...

Uzui s'éclipse, fermant la porte de ma chambre derrière lui. Cependant des coups résonnent quelques minutes plus tard alors que je suis en simple kimono blanc, démaquillé.

? : Tu es là ?! La femme au biwa ?

? : Tu es sur qu'elle est la ?

Oh non. Non non non. Comment sont-ils arrivés ici ?!
Je me précipite vers la porte, la vérouillant à la hâte avant qu'ils n'essaient d'entrer de force. Tapant de plus en plus fort sous le bois qui craque de plus en plus... Faite que la porte tienne ! Par pitié...

Je m'éloigne de celle-ci, me mettant le plus loin possible contre le mur, ma respiration s'accélérant à une vitesse affolante.
Je tire sur mon habit, me recroquevillant à l'intérieur, voulant disparaître de la surface de la Terre.

? : Aller ouvre ! On va s'amuser c'est promis.

Mes jambes cèdent, chancelantes et tremblantes, alors que je tombe sur mes genoux, toujours en tenant mon kimono, mon dos collé au mur froid derrière moi.

Tengen : Je peux savoir ce que vous faites la ?!

Oh merci ! Je n'ai jamais été aussi heureux de l'entendre !

Recueil en tout genre (Ships)Where stories live. Discover now