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Je le regardais, je l'observer, ce garçon qui était amoureux du foot, il était tellement rapide que je le comparé à une gazelle, il dribbler tout le monde, il avait tout le temps un sourire, je le voyais s'amuser à chaque fois qu'il était sur le terrain, il courait sans jamais s'arrêter, il était comme le vent, ce garçon était Chigiri Hyôma, le joueur le plus talentueux de notre école, il était respecté par grand nombres de personnes, son talent pour le foot ne passé pas inaperçue, surtout pas aux côtés des adultes qui le voyait comme le petit génie du football japonais.
Je fesais partie du club de journalisme, j'avais tenté tellement de fois pour faire ne serait-ce qu'un petit interview de 5 minutes avec lui mais m'a timidité extrême fait que je bafouiller même pour dire un petit bonjour, je l'observer alors que de loin sans même m'en rendre compte que j'étais devenue une de ses fans, j'adorais le voir jouer au foot, c'était agréable de le voir s'amuser et s'évoluer, pas de doute il avait un grand avenir devant lui.
Je le regardée toujours, il avait volé la balle à l'équipe adverse et foncé vers les cages sans que personnes n'arrive à le rattraper, derrière lui les frères Wanima essayer de le rattraper mais sans succès, sa me fait plaisir que le roux remet à leur place ces jumeaux trop sûr d'eux et qui n'hésitez pas à rabaisser les autres.
Je calle ma joue sur ma main sans jamais le quitter des yeux, on pourrait me prendre pour une fille très amoureuse ce qui était vrai.
J'étais éperdument amoureuse de Chigiri Hyôma.
Ce garçon qui n'est même pas au courant de mon existence.
Mais tant que je peux continuer à l'observer, tout va bien.
Tant que je peux continuer à le voir jouer au foot, tout va bien.
Si seulement ces moments pouvait durer longtemps.
Le temps semble s'arrêter lorsque je le vois tomber au sol alors qu'il était entrain de courir, sa jambe était comme paralysé, je met ma main sur ma bouche, je ne comprenais pas, lui non plus d'ailleurs, il n'arriver plus à bouger sa jambe, il regarder autour de lui perdu, un regard de détresse, son coach s'approche rapidement de lui et appelle les ambulances, une équipe le met sur un lit roulant et le fait monter dans le camion, je m'approche des portes qui est entrain se renfermer lentement est c'est à ce moment là que nos regards se croisent pour la première fois, tout va au ralentie, je plonge mon regard dans ses beaux prunelles roses et les portes se ferme totalement, le camion roule, moi qui le regarde s'éloigner, morte d'inquiétude.
Deux semaines était passés après son accident, ces semaines que j'ai passée à ronger mes ongles n'ayant aucunes nouvelles de lui depuis ce jour, quand je l'ai revue j'avais l'impression que le monde c'était effondré autour de lui, il était à l'écart du terrain regardant ces coéquipiers jouer devant lui, il avait la jambe en plâtre, des béquilles pour l'aider à rester debout, ses yeux qui briller autrefois n'avait plus cet éclat qu'il avait avant.
