Nos destins liés 2, Musa&Riven

Chapitre 2

RIVEN

« After Dark » mr.Kitty

La nuit vient de tomber à Alfea. Je me prépare à partir rejoindre le seul endroit où je trouve le calme.

Un endroit où j'avais perdu l'habitude d'y aller.

- Ça y est tu pars ? Lance Fanny a moitié endormi dans son lit.

J'enfile mon haut, et me bande les mains, faut dire qu'à force de me battre, tout mon corps finit par être amoché salement.

Voyant que je ne prend pas la peine de lui répondre, celle ci finit par se relever. A peine vêtue de quelques vêtements, la voilà qui vient en ma direction.

- Qu'est ce que tu gagnes à faire ces combats.. ? Dit elle en baladant ses mains dans mon dos où figurent ces nombreux hématomes.

Je ne l'a laisse pas s'attarder sur moi et me dégage de son emprise.

Fanny me dégoûte maintenant. Je ne supporte plus son touché.

- Dégage tes mains. Lui dis je froidement, ce qui l'a fait illico reculé.

- rohh.. ça va je t'ai à peine touché.

Elle finit par aller se recoucher, voyant que son charme n'opère pas avec moi. Ni quoi que ce soit finalement.

Parce qu'en a l'a regardant, je ne vois rien. Que du vide, que le néant.

Mais maintenant je pionce dans sa chambre. Elle n'a pas de coloc, et me fait moins chier que Sky.

(...)

J'arrive au portail qui me mène vers le monde humain. Je rejoins là bas l'arène des mercenaires.

Autrement dit, des pourritures en tout genre.

J'y allais y a longtemps, je m'étais même fait un nom dont les gens craignait et avait un temps soit peu du respect.

L'endroit est toujours aussi délabré.

Entouré de divers conteneur, pleins de combats se déroulent.
Ce qui est bien avec ces combats, c'est qu'il n'y a pas de règles. On fait ce qu'on veut.

C'est le rendez vous des causes perdues ici.

- Riven, te voilà ! Lance Lary, un des plus gros mec qui a du fric.

C'est un peu le mafieux de cette ville. Enfin.. un des mafieux. Il parie souvent sur moi, vu que je gagne à peu près tout le temps. Faut dire que le niveau des spécialistes est largement meilleur que le leur.

Quelques spécialistes y traînent d'ailleurs. C'est un moyen facile de se faire de l'argent. De se procurer de la drogue, des meufs, et j'en passe.

Lary me donne une claque dite « amicale » dans le dos. Je serre mes dents pour ne pas lui renvoyer dix fois mille la pareille.

Ce gros porcs me dégoûte, je l'ai déjà vu acheter des meufs ici, je suis sur qu'il est a l'origine d'un des plus gros centre de prostitution ici. Mais bon, je m'en fou.