La promesse du cheikh

Chapitre 16

- Tout est bientôt prêt pour votre voyage votre majesté.

- Oh Zarafah je t'ai déjà demandé de ne pas m'appeler ainsi et surtout de me tutoyer, s'exclama la jeune femme.

Deux semaine était passé depuis que Rosasse avait promis au cheikh d'aller avec lui dans le désert, et pendant ces deux semaines beaucoup des choses s'était passé, comme par exemple sa relation avec Zarafah c'était beaucoup amélioré jusqu'au point au cette dernière  considéré à présent la jeune femme  comme sa propre fille et cet amour Rosasse le lui rendait bien et aussi le fait qu'elle avait trouvé en la personne de Latifah une amie fidèle.

- J'aimerais mais je ne pense pas que ça soit convenable, dit la femme âge avec un sourire bienveillant.

- Promet moi au moins de le faire lorsque nous sommes seul, insista-t-elle.

- Hum... je promets d'essayer ma petite mais pour le moment vous devais descendre avant que le cheikh ne monte vous chercher lui-même.

Rosasse imaginais que son mari en était bien capable alors elle pris le parti de  ne pas le faire attendre davantage.

- Allons-y mais avant j'aimerais d'abord dire au revoir à ma mère ainsi qu'à mes sœurs, puisqu'elles rentrent aujourd'hui.

- D'accord dans ce cas je vais finir vos valises, ça nous fera gagner du temps, proposa la gouvernante.

- Mais il y a encore beaucoup d'affaires à ranger je ne me vois pas te laisser faire ça toute seule.

Zarafah arrêta de ranger les affaires de sa souveraine et s'avançât vers elle.

- Ce n'est pas à toi de faire ça, dit-elle en lui tenant les épaules, Celle qui devrait le faire c'est cette intrépide Latifah mais Dieu seul sait où elle peut bien être !

Rosasse ne pu retirer un franc rire en voyant cette mère dépitée par  l'insouciance de sa fille, même si au fond d'elle, elle n'ignorait pas ce que trafiquer Latifah puisque c'était sur sa demande mais en outre elle savait que Zarafah adorait son enfant plus que tout au monde.

Elle finit par aller voir sa famille après avoir demandé à une de femme de chambre du palais de prêter mais force à la gouvernante.

Quelques minutes plus tard elle pénétrait dans le salon où sa famille l'attendait.

- Ah Rosasse on a crû que tu étais déjà en lune de miel avec le cheikh, la taquina Rosario l'air enjouée, surtout je veux que tu me racontes tout à ton retour !
J'imagine une lune de miel au cœur du désert avec un cheikh à la beauté aussi brûlante que le soleil le plus ardent qu'est rêver de mieux ! Je suis sûr que tu vas t'y plaire, fit-elle d'un sourire bienveillant.

- Et bien Rosario je ne t'ai pas connu si bavarde, continue comme ça et tu vas nous la faire rougir, dit Rosaura. Mais en même temps tu n'as pas tort... qui n'aimerait pas être à ta place Rosasse. Rajouta-elle en lançant à sa sœur un regard indéchiffrable.

- C'est bon les filles, laisser la tranquille on doit se mettre en route, intervient Hillary.

- Bien sûr, on voit tout de suite qui est ta préféré...

- Rosaura tu ne vas pas recommencé, lui préviens Rosario en faisant allusion à sa réconciliation avec Rosasse.

- Si on ne peut même plus plaisanter... fit cette dernière en roulant des yeux.

- Rosasse on doit partir à présent mais...
Ses mots moururent dans sa bouche se demanda si elle devait le lui dire.

- Mais ? Interrogea Rosasse voyant que sa mère hésitait à lui parler franchement.