chapitre 7

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- Lâchez moi immédiatement ! avait claquée la jeune femme.

- Écoutez...

- Non je ne veut plus rien entendre venant de vous.

Tout ce que je souhaite ce vivre en paix !

pourquoi personne ne peu le comprendre ? elle souffla ces mots si bas quelle ne fit pas sûr que l'homme l'eut entendu.

- Rosasse... murmura t- il
Je ne vous veut aucun mal.

-Alors allez-vous-en, dit-elle en soutenant son regard de ténèbres.
Laissez nous tranquille ma famille et moi, je vous en serait éternellement reconnaissante, plaida la jeune femme avec un infime espoir qu'il puisse accepter.

Mais ça c'était sans savoir que rien ne ferais revenir le cheikh sur sa décision.

- Ce n'est pas votre reconnaissance que je désir et vous le savait très bien.

Je désir bien plus...

- Je ne vous comprend  pas, dit-elle d'une voix à peine audible en faisant quelques pas en arrière, comme si leurs proximités l'étouffée,
qui étés vous au juste ?

Rosasse lassée de tout ne se demander qu'une chose : comment elle en était arrivée là ?
Comment la situation a-t-elle pu lui échapper de cette manière,
que devait- elle faire à présente ?
elle n'aurait plus nulle part ou aller si elle décider de quitté sa famille, peut être... peut être devait-elle s'enfuir...
mais pour aller où, son seul repère dans cette vie était sa famille, celle même qui la trahissait son la moindre honte, alors la jeune femme se rendit à l'évidence à part eux elle n'avait plus personne dans ce monde, et ce constat la remplie de chagrin.

Perdue dans ses pensée elle ne remarqua pas que son interlocuteur c'était approché d'elle assez pour lui murmuré dans l'oreille :

- Tu sais qui je suis... au fond de toi tu le sais Rosasse.

Se recula brusquement la jeune femme se mis à les dévisagé avec insistance, savait-elle vraiment qui il était ?
s'étaient-ils déjà rencontré dans le passé ?

Et là quelque chose la frappa comme une évidence : ses yeux... ses yeux sombre portant se regard transperçant ou l'avait- elle déjà vue ?

L'avait- elle seulement déjà vue ?

Alors elle se mis à fouillé dans sa tête, força sa mémoire à se rappeler des souvenir qu'elle n'avait peut être jamais eut.

Elle se tenue la tête entre ses mains prise par un soudain mal de tête.

Une ruelle sombre....

Des gens à sa poursuite ...

Et enfin ces  yeux... ce regard...

À chaque fois c'était la même chose, chacun fois que la jeune femme avait essayé de se rappeler de son passé la même chose se produisait, mais pourtant elle ne pu s'empêcher de notée la léger différence : jamais encore elle ne s'était souvenue de ce regard.

De son regard.

Cet homme faisait- il parti de ce passé que son cerveau refuser de lui livré ?

- Je... je ne comprend pas, gémit- elle en sentant son mal de crâne s'intensifier.

- Qu'est-ce que tu ne comprend pas ? demanda t- il en la tenant par la taille, ayant vu que ses pieds ne la soutenaient plus , l'empêchant ainsi de perdre l'équilibre,
Pourquoi ne te souvient tu pas de moi tel que moi je me souvient de toi ?

- Mais de quoi parler vous ! elle le repoussa de toute ses force, se libera ainsi de son étreinte.

- Une semaine Rosasse, je vous laisse une semaine pas plus, dit-il avec toute la détermination du monde, passer ce délai je viendrai vous chercher, je vous amènerait chez moi, dans mon royaume et là nous nous marieront comme l'exige la traduction.
Mais pour l'instant je vous conseil de rentrée chez vous, les rue peuvent être dangereuses, vous n'êtes pas d'accord avec moi, dit-il énigmatique, et sans atteindre une réponse de sa part il tourna le talon lui laissa pour seule compagnie les nombreuses question qui lui torturé l'âme.

La promesse du cheikh Où les histoires vivent. Découvrez maintenant