Le temps nous est compté. ( Terminé )

Chapitre 10 : Mensonge.

Moi : Pour la protégée de vous. Elle était la faiblesse de son père. Et ils l'ont enlevée par votre faute. J'en est même perdue mon mari ! Hanna n'avait plus aucuns souvenirs du passé de son père, j'en ai profité pour partir. 

Adam : C'était à moi de la protégée. Rayan me l'avais demandé et je n'ai jamais pu respecter cela. Il ne te la pas demandé à toi mais à moi parce qu'il savait que j'y arriverais.

Moi : C'est du passé. Ne t'approche plus d'elle. S'est ma fille ! 

Adam : Tu connaissais le risque en revenant ici, Hélène ! 

# Fin du point de vue, Hélène #

# Point de vue, Hanna #

Je n'y comprend rien, d'où ils se connaissent tous les deux ? Rayan ? Mon père ? Gang ? Moi , enlevée ? Une promesse ? J'ai aucun souvenir de tous ça. Je suis totalement perdue. Un excès de colère m'envahit.

Moi : Vous la fermer tous les deux ! 

Maman : Tu me parles pas comme ça, jeune fille !

Moi : Ferme là et je crois que tu me dois des explications sur mon passé que je semble avoir rayé de ma tête, comment c'est possible ça d'ailleurs ? 

Adam : Oui, elle a le droit de savoir.

Maman : Très bien. Tu as le droit de me détester Hanna mais je t'aime plus que tout sache le et n'en doute jamais s'il te plait.

Moi : Te détester ? Pourquoi je te détesterais maman ? 

Maman : Ton père faisait parti d'un Gang. Celui du père d'Adam plus exactement. Je le savais, je savais aussi que nous étions en danger toutes les deux mais rien n'est jamais arrivé. Tu avais neuf ans et Adam onze. Vous étiez très proche, sa mère et moi aussi, elle était ma meilleure amie, nous étions dans la même situation alors nous nous comprenions très bien. Je ne t'ai pas menti sur tous les points, ton père était bien malade et il allait mourir mais il continuait de rendre des services au gang. Un jour au parc, nous nous promenions seulement toutes les deux car ton père était en mission comme d'habitude. Tu étais aller jouée avec les autres enfants plus loin mais la seconde d'après tu n'étais plus là. Tu tes faite enlevée. J'ai prévenue ton père et il a fini par te retrouver. Mais il est mort car il s'est pris une balle. Mais avant il a dit à Adam de te protéger et de te dire qu'il t'aimait autant qu'un père pourrait aimer sa fille. Le lendemain, je suis partie loin d'ici. Je ne voulais plus que tu approches Adam ni aucun autres membres du gang. Je suis partie et je t'ai dit que ton père était mort d'une maladie et tu n'as plus posée de question se qui m'arrangeait car tu étais tellement choquée que tu as rangée dans ta mémoire tout ton passé. Je suis revenue car toute mon ancienne vie était ici et comme les parents d'Adam, et sa sœur sont morts, je pensais que j'étais débarrassée de se passé mais il faut croire que non visiblement. 

Moi : Tu m'as menti pendant tout ce temps !!!!! Non mais c'était important pour moi de connaitre mon père !! Tu aurais du me le dire. Sors d'ici !

Maman : Je.. suis désolée..

Moi : Sors. Je ne veux plus te voir ! 

Ma mère sortie. Adam n'avait pas dit un mot. Il restait devant moi en me fixant avec ses grands yeux bleus. 

Moi : Tu le savais que c'était moi ? 

Adam : Non bien sûr que non. Je t'aurais jamais fait du mal, sinon. Hanna je tenais à toi même à cet âge. J'ai tellement pleuré quand tu es partie, non seulement parce que je n'ai pas tenu ma promesse mais parce que je n'ai pas pu te dire au revoir. Et je crois que même à cette époque je ressentais des sentiments plus fort que l'amitié. 

Moi : Pourquoi, je me souviens de rien ? Même pas de toi ?

Adam : Tu as fais un blocage, tu étais tellement choquée Hanna. Tu as vue ton père mourir sous tes yeux. Tu as juste trouvée un moyen de te protéger de tous ça. Tu as oubliée ton passé et moi avec. 

Tout d'un coup des images se sont bousculées dans ma tête. Moi, petite dans une cabane en haut des arbres avec un jeune garçon, Adam.

Moi : La cabane elle existe encore ?!

Adam : Comment tu te souviens de ça ?

Moi : C'est comme si ça se débloquait, elle est toujours là ? Si j'y retourne j'aurais peut être des souvenirs.

Adam : Oui, elle existe encore, j'y vais à chaque fois que je me sens mal et bizarrement je pense à toi à chaque fois.

Moi : Sors moi de là. Je veux y aller.

Adam : A vos ordres, princesse.

Moi : Tu m'appelais déjà comme ça avant, j'adorais ça. 

Adam : Tu t'en souviens c'est bien.

Adam me fit sortir de l'hôpital et ont se rendit à la cabane de notre enfance.

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( Hélène en média )