[Code Lyoko] Code Alpha 3.0 - Babel's Tower [arrêt définitif]

Fin

J'aime beaucoup parler de moi (sans blagues ?). Normalement vous avez dû deviner, vu le nombre de avant-propos, après-propos etc... où je fais que raconter mon rapport à ma propre œuvre.  Un peu relou, je sais. Mais Code Alpha c'est à moi donc je fais ce que je veux. Je comptais pas trop revenir ici, et laisser Code Alpha tel quel, bloqué un peu trois ans en arrière, à une époque avant le confinement où je me suis dit que je reprendrais ça plus tard. Sauf que quelqu'un a lu la totalité (j'vous jure, la totalité ? même moi je ferai pas ça) et a posté un p'tit commentaire demandant la suite. 

Il est temps d'être honnête : je reprendrais pas ça plus tard. Code Alpha, c'est fini, définitivement, sans le moindre doute. Voilà, rideau.

En vrai, c'est étrange, en janvier (donc dans un mois), ça fera 10 ans depuis que j'ai posté le premier chapitre sur le forum Code Lyoko. Vous vous rendez compte ? Dix ans. C'est énorme. Dix ans depuis qu'Antoine a allumé l'ordinateur de son père, 10 ans depuis qu'il a fait la rencontre d'Ambre et de sa jumelle. 

Ca me fait bizarre de me dire que des gens découvrent encore Code Alpha. Quand je l'écrivais, j'avais pas masse de retour. J'avais parfois un peu l'impression de faire ça dans le vide, mais je le faisais pour moi avant tout. C'était une chouette période, en vrai. 

Allez, j'vais pas parler plus longtemps. Internet c'est grand, il y a pleins de choses à lire. Merci d'avoir pris le temps de lire Code Alpha, cela dit. J'espère que malgré la frustration de ne pas y voir de fin, ça aura été une lecture agréable. J'trouve ça poétique, les trucs sans fin. Antoine, Ambre, Ombre, Melvin, Zoé, Augustin, Judith, Hannibal, etc... Ils continuent à exister, dans un coin de ma tête, et maintenant dans la votre aussi. J'espère qu'ils seront pas trop lourdingues, j'les connais bien, ils sont souvent relou mais au fond aucun n'est le mal incarné. Même Judith. 

Prenez soin de vous et des gens autour de vous, et à un de ces quatre.