Je lis des romans pour adolescents depuis le collège mais j'étais loin d'imaginer que l'un de mes romans préféré n'etait peut-être pas qu'une fiction.
《...Je saute du lit en entendant la sonnette de ma porte d'entrée, je m'écrase contre le mur...
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En rentrant à l'appartement je me sentais comme observé, juste un ressenti. Peut-être l'espérance que Jung soit déjà de retour pour m'annoncer que tout allait bien.
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Je saute du lit en entendant la sonnette de ma porte d'entrée, je m'écrase contre le mur avant d'ouvrir la porte de ma petite chambre. L'esprit encore embrumé par le sommeil, je déverrouille la porte d'entrée et ouvre grand. Ses mains glacée glisse derechef sur ma peau nu sans perdre de temps, suivis par son corp tout entier qu'il plaque contre le mien. Un frisson me parcourt l'échine suite au choc de température, j'élude afin de profité un maximum de sa présence. Rien d'autre ne compte que sa présence en cette instant. Il enroule ses bras autour de moi et me soulève un peu, j'enroule à mon tour, mes jambes sur sa taille. Il avance un peu et referme la porte avec un pied. Il enfouit ensuite son visage dans mon cou. Profitant de l'instant je sentais ses lèvres caresser ma jugulaire.
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On reste comme cela dix minutes, peut-être plus. Sûrement plus. Le temps c'était arrêté et c'est à ce moment que je réalise à quel point j'étais entrain de tomber amoureux. Amoureux d'un vampire que je connaissais que depuis à peine quelques semaines. Je m'abandonne tout à lui. Je frissonne plusieurs fois au choc de températures, entre mon corp encore chaud et le sien aussi froid qu'une plaque de métal qui n'aurait eut de contact avec la chaleur depuis plusieurs heures. Je laisse mes jambes glisser de chaque côté. J'avais réchauffé certaines parti de sa peau d'albâtre. Il était en débardeur noir, pantalon noir et converse. C'était la première fois que je le voyais en basket.
-Tu es là ! Soufflai-je.
-Je suis là ! Me souffle Jung à son tour, son haleine fraîche caressant mon visage.
Du bout des lèvres il carresse ma bouche. J'embrasse celle-ci. Encore une fois. Puis encore. Je ressentais encore une certaine gêne, comme si je n'osais pas. Il est si beau garçon et moi... je suis juste moi. Je presse ma bouche sur sa lèvres inférieure tout en glissant une main derrière sa nuque pour en attraper une poignet de cheveux. Au fur et à mesure que je répète d'autres baiser plus sensuel, je sentais Jung devenir immobile. Jusqu'à ne plus bouger du tout, telle une statue. Je m'arrête pour écarter mon visage du sien. Juste mon visage. Je ne pouvais totalement rompre la proximité de nos deux corps, qui étaient en parfaite sécurité entre les mains habile de Jung.
