Partie - 54

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On descend de la voiture et on avance vers la porte. Omggg mon cœur. Non non je peux pas vraiment. J'avais les mains qui tremble. Jeyan m'a prit la main et la serrer doucement pour me calmer.
Jeyan : (Sourire) Calme toi ! (En chuchotant)

Et la on nous ouvre la porte. OMGGGG JE VAIS M'ÉVANOUIR AU SECOOOUUURR!!!

La porte s'ouvre et c'est une dame qui se tient face à nous. C'est sa mère ?? J'avais déjà 10 000 question dans la tête.

Elle nous fixe. Elles regardent nos tenu de A à Z comme si elle nous analyser.

Elle : Hoşgeldin.

Je regarde Jeyan sans savoir quoi faire

Jeyan : (en turque) Maman je te présente Razane

Elle : (sourire serrer) Entrez

En tirant la porte vers elle

Les mecs lui disent Salem, elle leur demande si ils vont bien et ils sortent direct pour aller dans le jardin derrière.

Je regarde partout autour de moi. C'était magnifique. C'était juste immense. Je voulais pas montrer que je kiffer donc j'ai remis mes yeux en place et j'ai arrêter de regarder.

Jeyan me demande le suivre avec un signe de la tête. J'avance vers lui et on monte.

Les escaliers ils étaient juste magnifique. Bref une barraque de série turque en sah.

Dès qu'on arrive en haut, Jeyan toque à une porte l'ouvre direct.

Je le suis et j'entre aussi. C'est lui... le fameux.

Jeyan : Salem Aleykum

Lui : Aleykum Salem

Il se lève de son siège qui était presque dos à nous et nous fixe.

Mon cœur. Je l'ai reconnu. C'est lui que j'ai vu en FaceTime quand il était chez ma mère. Carrément je croyais c'était un mec il boss pour lui tellement il a l'air jeune. Il est pas du tout comme je l'imaginer. Je l'imaginer avec la même dégaine que mon grand père. Mais en faite non. Il est grave grand, stock, dégrader cheveux gris, pull coll roulé... wsh ?? C'est son frère ??

Bref il me fixait, je savais pas quoi faire ni quoi dire. Est ce que je dis Salem ? J'sais pas. J'allais baisser les yeux tellement j'étais déstabilisé mais j'ai garder la tête haute par peur qu'il croit qu'il me fait peur. Et c'était le cas. Il me faisaient froid au dos. Son regard il est dur mais gentille. Eh vasi c'est bizarre.

Il s'approche de nous avec le sourire.

Serhan : Razane, c'est bien ça ?

Moi : Evet... (oui)

Il regarde Jeyan étonner.

Serhan : Tu parle turque ?

Moi : Oui bien sûr.

Serhan : Hmm Mash'Allah.

Il repars vers son bureau, retourne sa chaise vers  nous et se rassois.

MA VIE SANS TOI JUSQU'À MA MORT...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant