Préface

12 3 0
                                    

On aurait pu appeler ce truc de mille et unes façons. J'ai opté pour un titre-phrase comme dans Candide de Voltaire ou Don Quichotte de Cervantès parce que je pense très honnêtement qu'on ne pourrait pas exprimer l'entièreté du concept loufoque de cette fiction en seulement trois mots.

Ainsi, vous voici dans "Quand la fin du monde fût déclenchée par un rat de labo coréen", que vous pourrez aisément appeler également "Comment Oliver Gliese a semé le chaos à partir d'un quarantenaire et de son fanclub", ou encore "Comment Oliver Gliese a mis le monde à ses pieds en tuant de l'intérieur la communauté la plus soudée au monde".

Ces titres, si on peut les appeler ainsi, ont beau être longs, ils circoncisent très bien la chose et ont un certain charme qui laisse... pensif.

Pour ceux qui auraient atterrit ici sans savoir de quoi on parle, ou bien parce qu'ils ont lu le mot "coréen", je vous explique de suite le concept, au risque de vous décevoir:

Il n'est en aucun cas question de coréen à juste titre, la Corée est seulement le point de départ du délire. Oliver Gliese est le petit ami étrange de Adam Lambert, ce dernier étant le chanteur actuel du groupe Queen, bien que je vous conseille de ne pas vous limiter à cette description pour faire sa connaissance (de mon point de vue, sa carrière solo est bien mieux!). Pour ce qui est des Glamberts, il ne s'agit que du fanclub de ce dernier (Mr. Lambert).

Cette histoire a vu le jour face à la certaine petite guéguerre interne qu'entretiennent les Glamberts au sujet d'Oliver. Certains l'adorent et l'idolâtrent, les autres le trouvent louches et s'en méfient au point de le haïr. Oliver Gliese a tout bonnement réussi l'impensable: diviser la communauté Glambert alors qu'il s'agit probablement de la communauté la plus soudée, au même titre que les fans de BTS ou je-ne-sais quel autre groupe/artiste pas terrible qui attise la hype sans que je comprenne réellement pourquoi.

Maintenant que les bases sont posées, libre à vous de poursuivre ou d'abandonner. Aussi, je m'excuse également de mes mots probablement tranchants dans cette préface (j'ai toujours une pensée pour les susceptibles et premiers degrés un brin hystériques dans les communautés de fans-), sachez que je ne pense presque jamais à mal. Et si c'est le cas, et bien je le dis directement ahah.

Bonne lecture et soyez indulgents. Je le répète, ce n'est qu'un délire sorti en pleine nuit lors d'une conversation digne de celles de deux mamies qui surveillent le quartier... Je ne vous partage cette idée que parce qu'on me la suggérer et que je trouvais cela amusant aux premiers abords.


                                                                                                  Avec extravagance,

                                                                                                             Tonysgar.

Quand la fin du monde fût déclenchée par un rat de labo coréenOn viuen les histories. Descobreix ara