Dévorée par le ciel (Tome 1)

"Chapitre 25: Que ce passe-t-il ? "

PDV Apollon.

Cela faisait déjà un bon moment que je n'avais pas visité ma petite humaine préférée et l'inquiétude me rangeait quelque peu après avoir reçu d'innombrables demandes d'asiles de la part des ministres vampires.

Oui, ces suceurs de sang arrogants s'étaient présentés terrifiés à mes portes, m' implorant de les accueillir.

L'un d'eux ne cessait de murmurer "les fléaux, ils sont là'.

Yamy pouvait donc être en danger, à cause de ce fléau.
Mais impossible de savoir ce qui se passait réellement au royaume, puisque Yamy ne m'écrivait plus.

Je devais m'y rendre, mais la présence de ces vampires rusés sur mon territoire m'inquiétait .
Je décidais alors de m'y rendre en secret, laissant derrière moi ces lâches vampires.

PDV d'Alexandr.

La situation était bizarrement sous contrôle, enfin pour le moment, mais je présentais un énorme problème.
Je dirais même que ça sentait le chien et ce de très près.

Le chien.... Le chien.... Le....
Apollon.
Et merde, comme disait les humains.
Et ne voilà t-il pas qu'il se trouvait à présent devant moi , les yeux accusateurs.

-Alexandr, où se trouve Yamy?

Il avait parlé calmement à ma grande surprise.

-Je suis sincèrement navré Apollon, mais tu ne peux pas la voir pour l'instant, ni la contracter.

Un grognement lui échappa. L'idiot.

-Chut.... Ne te fais pas remarquer sale loup. Tu veux mourrir ?

D'accord, peut-être n'aurais je pas du le traiter de sale loup, si j'avais l'intention de préserver une certaine discrétion.

Alors, je voulus imiter min petit diamant et posais ma main sur son épaule, le plus gentiment possible.

-Mon cher ami, je comprends bien que tu t'inquiète, mais j'ai la situation sous contrôle, même si cela paraît impossible.

Se sourcils se froncèrent dangereusement.

-Comment ça? Quelle situation ? Yamy est en danger ?

Il ne semblait pas au courant. Tant mieux.

-Non tout va bien, tu sais ce sont les hormones de femme enceinte. Tout va bien tu peux retourner chez toi sans crainte.

Il sembla me croire, et secoua la tête en signe d'approbation.

-Seulement, Alexandr, j'aimerais juste savoir une chose.

Il n'allait jamais s'en aller si je ne répondais pas à sa question.

-Je t'écoute, mais vite.

-Je voudrais savoir votre Majesté, pourquoi tout vos minsitres m'ont il suppliés de les protéger d'un certain "fléau" ?

Je pense que mon expression faciale trahissait mes pensées parce-qu'Apollon s'était déjà éclipsé.

Et merde. Encore une fois.