Je suis actuellement entrain de voler dans les airs, au dessus du lycée UA. Je fais les figures que j'avais l'habitude de faire comme des roulades, des tornades ect et une fois atterri a terre, tous les lycéens m'applaudissent. Surtout les bébés de la seconde A. Ce spectacle leur avaient manqués.
Mais bon, j'ai récupéré mes ailes depuis 1 semaine, mais que s'est-il passé depuis??
- les médias ne parlent plus que de mon retour - je suis entrain de monter en popularité - j'ai recommencé à travailler en tant que docteur Takami à l'hôpital de Musutafu et a l'infirmière du prestigieux lycée UA - Hawks est 10 fois plus doux et attentionné que d'habitude - je suis souvent demandé pour des interviews pour raconter mon histoire - je commence à reprendre du poids et a bien dormir - et surtout, depuis les paroles d'Aizawa ce soir là dans mon hall, j'ai repris confiance en moi.
Je suis actuellement dans ma chambre d'internat qui est dans le bâtiment de la seconde A. Il est déjà 19h03 quand on vient toquer a ma porte. Après avoir donné l'autorisation d'entrer, je vois Aizawa face à moi. Il entre et ferme la porte derrière lui. Il est vêtu d'un t-shirt noir d'un pantalon ample gris.
Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.
T/p: tu voulais??
Lui demandais-je pour savoir ce qu'il pouvait bien me vouloir a cette heure là un mardi soir.
A: te voir.
T/p: pourquoi?
A: parce que j'aime bien être en ta compagnie, joli tête.
J'écarquille les yeux. Certes, ce n'est pas la première fois qu'il me fait un compliment mais... Cette fois, c'est différent. Je me suis rendu compte, il y a peu, que je l'aimais.. Eh merde..
Il s'avance vers moi et s'arrête devant moi avec seulement au moins 30 centimètres qui nous séparent. Il saisit ma main et embrasse le dos de celle-ci tout en me regardant de ses yeux noirs perçants. Je sens la chaleur monter aux niveaux de mon visage et ça, il l'a très bien remarqué. Il en profite donc pour me faire rougir d'avantage en me posant un délicat baiser sur ma joue droite brûlante puis, sans un mot ni un regard, il sors de ma chambre avec, aux lèvres, un sourire moqueur.
