Partie 17

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..... : Patronne ?

Moi : oui ?

..... : Il y a un monsieur qui veux vous parlé dois-je le fair entré ?

Moi : c'est qui ?

.... : Un certain Fouad

Je me lève direct de mon bureau, je ouvre l'armoire qui etai a coter de moi et prend une arme que je cache également.

Je me réveille en sursauts. Je vois pas Yassin, mon coeur c'est arrêté.

Moi : YASSIN ? YASSIN CHOUCHOU T'ES OU ?

Nabil entre dans ma chambre.

Nabil : arette de gueuler !

Moi : il es ou mon fils ?

Nabil : avec son père

Moi : Ah ok

Nabil : Pourquoi tu transpire comme sa ?

Moi : Cauchemar.

Nabil : Tu veux toujours pas me dire ?

Moi : tout ce que je peux te dire c'est que ca fais 2 jour que je fais le même cauchemar et que la il y en a un nouveau.

Nabil : Pourquoi tu ma rien dis ?

Moi : Parc que je trouve que ca te regarde pas.

Nabil : OK

Il part en claquant la porte. D'un côté je comprends sa réaction parce que je lui dis tout. Mais d'un côté non parce que si j'ai pas envie d'en parler je ne vais pas me forcer. Je me leve et part me laver et brosser. Je m'habille : un t-shirt LaCoste noir avec un jeans bleu et des chaussures LaCoste noir. Je laisse mets cheveux naturels et descend. Je vois Yassin sur les genoux de Idriss.
Yassin viens vers moi en courant.

Yassin : MAMAN

Moi : MON FILS

je ouvre les bras et il saute sur moi.

Moi : ta manger ?

Yassin : oui

Moi : koi ?

Yassin : un croque monsieur avec du jus.

Moi : Ah et c'était bon ?

Yassin : oui

Moi : ok

Je lui pose sur le canapé.

Moi : Mbote yaya

Idriss : ca va princesse ?

Moi : oui et toi ?

Idriss : tranquille, moi et mon fils on part au stade après

Moi : ok

Je me dirige vers la cuisine, je me fais des oeux. Pendant que je tartine mon pain de beurre je réfléchis. Je n'ai jamais u de parents et regardé comment je m'en sort ? Je suis assez fière de moi.

..... : ca va bb ?

Moi : oui et toi ?

..... : tranquille

Moi : ta manger ?

...... : ouais

Moi : okey

Je me retourne vu que jetai de dos et vois que c'est Younnes javais reconnu sa voix. Je debarasse et fais la vaisselle. Je repart au salon, je me pose sur le canapé avec une canette de jus.
Et la mon téléphone sonne.

Chronique de Kealy : Une meuf devenu chef de gangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant