Harry and his New Family II -New Life

Chapitre 10 - Un sourire sur son visage

-II-

C'était samedi maintenant, et Harry et Victor étaient en route pour une thérapie sportive. Le petit déjeuner avait encore été un peu difficile. Surtout avec son œuf, Harry dut se battre pour le manger complètement. En fin de compte, il avait réussi et était heureux de pouvoir faire du sport maintenant pour se débarrasser de cette sensation d'estomac lourd. Malheureusement, le guérisseur en charge regarda le bracelet d'Harry avant que quoi que ce soit ne commence et quelque chose à ce sujet devait lui dire de vérifier le dossier d'Harry.

«Seulement le sport amusant pour toi, Harry. L'entraîneur Miller aura un œil sur toi. Et toi, Victor ? Veux-tu passer la séance avec ton ami ou veux-tu venir avec moi pour l'entraînement de course à pied ? Le guérisseur Jacob, comme Harry pouvait le lire à partir de l'étiquette de nom sur sa robe, demanda.

« Je resterai avec Harry.
"Bien, je dirai à l'entraîneur Miller que vous êtes tous les deux dans son groupe aujourd'hui." Sur ce, le guérisseur musculaire s'approcha d'un homme mince mais athlétique en robe bleue, qui devait être l'entraîneur Miller.
La partie sport amusante de la salle de gym était vraiment amusante, et bientôt Harry n'était plus de mauvaise humeur à l'idée de ne pas être autorisé à participer à la « vraie » formation sportive. Deux grandes balançoires pendaient au plafond. De nombreuses poutres d'équilibrage de différentes hauteurs traversaient toute la partie du gymnase. C'était comme une jungle à escalader et à équilibrer car il y avait plusieurs cordes enjambées entre les poutres et vous pouviez grimper par ces cordes pour accéder à un autre étage de poutres. Des tubes descendaient et étaient horizontaux dans toute la pièce et une grande zone contenait un tapis élastique sur lequel vous pouviez sauter. La partie la plus amusante était la zone de survol. Harry devait penser à Draco tout le temps pendant qu'il essayait de se tenir en équilibre dans l'air tenu par une force invisible. Victor lui a montré un mouvement qui l'a fait tourner et se déplacer dans les airs.
Harry a eu le temps de sa vie, et seuls les rappels aléatoires de l'entraîneur Miller pour y aller doucement l'ont atténué. Il a même obtenu trois temps morts à côté de l'entraîneur parce qu'il n'avait pas pris les choses facilement. À la fin de ces temps morts, Harry réalisa qu'il n'avait pas vu Victor depuis un certain temps. Il laissa ses yeux parcourir le gymnase et le trouva assis sur des tapis, l'air triste. « Puis-je aller voir Victor, entraîneur Miller ? Je ne ferai rien d'actif à part parler avec lui. »

"Je te regarde, Harry," dit l'Entraîneur Miller et l'autorisa à aller voir Victor.
"Hey, qu'est-ce qu'il y a?"
Victor haussa les épaules. "Rien, j'avais juste besoin d'une pause."
Harry s'assit à côté de lui. « Hé, tu m'as aidé hier, alors pourquoi ne me laisses-tu pas t'aider. Quelque chose ne va pas, je peux le voir.
Victor soupira. "Ils parlent tous de l'après-midi père-fils. Ne vous méprenez pas, je suis heureux pour vous et les autres, mais il est difficile de vous voir tous si heureux et de ne pas pouvoir participer en tant que C'est la troisième fois qu'ils font ce truc père-fils depuis que je suis ici.
Harry passa son bras autour des épaules de Victor. Il n'était pas sûr que ce serait bien pour le garçon, mais il pensait que cela valait le coup de risquer d'avoir un regard bizarre de Victor. Le garçon n'avait pas l'air choqué ou bizarre, alors Harry se détendit. « Je sais que ça doit être dur. Peut-être que tu pourrais demander à l'un des infirmiers de participer avec toi. Je pourrais demander à James.

"Non, merci Harry, mais ils ne feraient pas ça. Et... ce n'est pas seulement ça. Voir tout le monde avec sa famille et ainsi... Cela me rappelle que je n'aurai nulle part où aller quand j'aurai fini ici . Ce serait quand même amusant de participer. Je me suis faufilé pour regarder les défis la dernière fois, et ils sont formidables. "
« Peut-être que quelqu'un pourrait t'adopter quand tu seras hors d'ici.
"J'ai presque quinze ans. Personne ne veut d'un garçon de quinze ans."
"J'ai treize ans, seulement un an et demi de moins que toi, et j'ai trouvé une famille pour m'adopter. Rien n'est impossible."
« Tu as eu de la chance, et tes parents te connaissaient déjà. Mes professeurs ne sont pas comme ça. Je n'ai personne, Harry. Mais bon, je ne voulais pas te faire déprimer. Oublie-moi d'accord. Amusons-nous.