Prologue

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~ Lazaro ~

Santa Clara, 23 novembre

- Ohhh putain, ouai ! Orh, je sens que je viens ! C'est ça, ouai, continue !

Elle criait trop. Beaucoup trop. Je lui enfonçais ma queue et pourtant, j'avais l'impression d'être en plein concert de rock. Même la vue de son cul ne pu m'aider à faire abstraction de ses gémissements.
Putain de cordes vocales.
Je jure de les lui arracher une fois que j'aurais éjaculé. D'ailleurs c'est quand que ça sortait merde ?! J'étais prêt à me taper un cadavre si elle l'ouvrait encore une fois.

- Ouais, encore un peu vas-y ! Enfonce là moi bébé !

Bébé ? Très bien.
Je sortis le glock de ma veste que je n'avais toujours pas enlevé, et lui tira dans l'arrière du crâne. Enfin du calme !
Son corps, complètement détendu, s'effondra sur le matelas.
Les draps de ce dernier commençaient déjà à se teinter de rouge.
Je dégagea mon engin de son trou et me rendis compte qu'il n'avait même pas encore durci dans son entièreté.

Une bonne simulatrice à ce que je vois. Je lui tirai une seconde fois dans la tête. Au moins, là j'étais sûr qu'elle ne simulait pas sa mort.

J'aurais dû la tuer de face. La satisfaction de voir les traits de son visage déformés par la peur m'aurait peut-être donné la trique, eux.

Je rangeais mon pénis à sa place, puis allai dans la salle de bain afin de me laver les mains.
Quittant la chambre, les deux gardes toujours postés devant la porte se retournent vers moi, et en signe de respect, hochèrent la tête. Impassible, je les regardais, puis me retourna vers le cadavre de Demi Lovato 2.0.
Putain, j'avais encore ses jouissements stridents dans la tête !

- Tapez vous le cadavre si vous voulez, mais quand vous aurez finis, rapportez ses cordes vocales dans mon bureau. Arrachez-lui toute la tête s'il le faut, mais ramenez-moi SES PUTAINS DE CORDES VOCALES !

Ils remuèrent la tête une seconde fois.
Quoi ? C'est le seul truc qu'ils savent faire ces cons ?!
Avant d'éclater la gueule d'une autre personne ce soir, je me dirigeais vers les escaliers tout en allumant une cigarette. Il me fallait de la nicotine. Et peut-être un ou deux verres de scotch.

Une fois dehors, la chaleur étouffante de Santa Clara m'accueillit. Mon costard n'était peut être pas le vêtement le plus approprié pour ce pays. Le tabac allumé entre mes lèvres, je m'élançai dans la ville bruyante.
Le silence c'est trop demander ?
Après m'être tapé un opéra de gémissement simulé, il me fallait du calme. Malheureusement ici, à Cuba, ce n'était pas la tranquillité qui régnait. Loin de là.

La nuit commençait à tomber mais pleins de lanternes illuminaient les rues. La musique fusait de partout et des femmes de tout âge dansaient sur les trottoirs. Soy cubana. De la bonne musique, mais tout simplement pas le bon soir.

Un habano chacun dans la bouche, les musiciens tapaient leurs tambours avec habilité. L'odeur de cigare qui émanait d'eux était si forte qu'elle couvrait les effluves de mon propre nuage nocif. L'humidité rendait cette senteur encore plus pesante qu'à son accoutumée.
Je restais debout appuyé contre un lampadaire face aux danseuses tout en tirant une taffe. Leurs gestes étaient fluides, en parfaite harmonie avec les tambourins et la voix de la chanteuse. Si je n'étais pas aussi énervée, je me taperais bien l'un de ses culs rebondis, mariée ou pas.
Ah les cubaines ! Un vrai délice.
Mes yeux s'arrêtèrent d'ailleurs sur une paire de fesses des plus exquise. J'expirais doucement la fumée toxique tout en remontant le corps de l'inconnu. Mon regard s'attarda légèrement vers sa jolie taille marquée, puis sur ses cheveux noirs corbeaux qui caressaient ses omoplates saillantes que son haut laissait apparaître.
Il y avait une tache. Son dos lisse était maculé d'une tache plus blanche que sa peau bronzée. Sûrement une cicatrice. De là où je me trouvais, je ne pouvais pas déterminer l'arme ou la chose qui lui avait infliger ça.

Je le découvrirais.

Elle se retourna au rythme de la musique et son visage angélique pu me faire face. D'aussi loin, je ne pouvais pas la voir dans les moindres détails. En revanche, ses yeux ambre, eux, je les voyais parfaitement. Des iris à la couleur du miel. Magnifique. Ils me fixèrent deux secondes tout au plus, avant que ses boucles de jais me refassent affront.

Baisable.

Parfaitement baisable même.


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Nda:

Bon... Je suis actuellement en pls là les enfants.

J'espère que ce prologue vous aura donné envie de découvrir mon Lazaro d'amour !!!! (Il est mims hein 💁‍♀️🙂)

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J'espère que ce prologue vous aura donné envie de découvrir mon Lazaro d'amour !!!!
(Il est mims hein 💁‍♀️🙂)

Nous sommes actuellement le 19 septembre et je posterais le tout premier chapitre le 19 octobre.
Je préfère prendre de l'avance dans les chapitres pour pouvoir vous les poster régulièrement.

Donc pour ceux qui sont prêt à attendre, à dans un mois mes chéries😙💓

Antes De Que Llegue La MuerteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant