Cette histoire sera un peu longue à update, mais je vais faire de mon mieux! Je posterai au moins deux fois par semaine, une fois par jour grand maximum. Bonne lecture à tous!
Tu étais pétrifiée. Tu venais d'arriver, et tu ne comprenais absolument rien. Tu savais uniquement que tu étais poursuivie par une personne à tête de cheval qui voulait te tuer. Tu ne savais pas ce que tu devais faire, tu étais perdue. On hurlait autour d'elle. Tu cherchais une issue pour te cacher, lorsque soudain, tu vis l'homme cheval apparaître derrière toi. Tu te précipitas alors vers la seule issue qui te paraissait judicieuse : Le rebord de l'immeuble. Tu sautas par-dessus, mais te rattrapas de justesse. Tu étais là, pendue par le bout des doigts, terrifiée. Le chasseur se rapprocha. Se pencha sur toi. Tu lâchas prise, te sentant chuter. C'était la fin. Tu n'avais pas survécu un jour entier. Tu t'évanouis dans la chute.
« Eh. Eh ! Debout là-dedans. Réveille-toi. C'est fini. »
Tu ne répondis pas. Tu le savais très bien. Tu savais que c'était fini.
« Réveille-toi. Je sais que tu m'entends. T'as gagné du visa. »
Du visa ? De quoi cette voix parlait-elle ? Tu décidas d'ouvrir les yeux. Où avais-tu atterri ? Tu vis alors des yeux. Des jolis yeux en amende, noirs comme la nuit, encadrés par des cheveux mi-longs d'un blond artificiel qui s'assombrissait au niveau des racines. La gravité de la voix te fit comprendre qu'il s'agissait d'un jeune homme. Il avait les lèvres bien dessinées, un nez arrondi et fin à la fois, et sur ce beau visage était apparu un sourire adorable qui était constitué de belles dents blanches. Il était beau, même si son regard paraissait assez hautain. Était-ce un ange ?
« Ah bah voilà ! T'es réveillée. Allez viens. Tu peux marcher ? » Dit le jeune homme.
Tu ne sus que répondre. Tu le regardais avec des yeux ronds, incapable de dire si tu pouvais ou non marcher, ni où tu avais atterri ou comment. Tu savais juste que tu n'étais plus poursuivie, et que tu n'étais pas morte apparemment.
« Qu-Qui es-tu ? Où suis-je ? parvins-tu finalement à dire.
-Je t'expliquerai tout-à-l 'heure. Suis- moi. » dit-il et commença à s'en aller. Mais tu ne le suivais pas. Tu le regardais toujours avec tes grands yeux. Il s'arrêta à quelques mètres de toi et se retourna.
« Bon, alors, tu viens où tu veux rester là ? T'as plus rien à perdre, quoi qu'il arrive. »
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Tu se levas alors, les membres quelque peu endoloris, te précipitant de prendre le téléphone qui t'avait été fourni.
« Tu n'en auras pas besoin. Tu ne peux pas le recharger de toute façon. Y'a plus d'électricité. Allez, viens. Je vais t'amener en sécurité. On va devoir marcher, les autres sont partis avec les voitures. »
Les questions s'entrechoquaient dans ta tête. Plus d'électricité ? Des voitures ? Les autres ? Où allait-il ? Tu te décidas de te taire : tu trouverais réponse à cela plus tard. Tu hochas simplement la tête, emmenant quand même le téléphone sous le regard dédaigneux du jeune homme, et suivis ce dernier.
