chapitre 8

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Point de vue URSS

Putain, j'ai fait un rêve étrange. Je me sens bizarre, j'ai rêvé que j'ai couché avec Afghanistan. Je prend mon téléphone sur le chevé et regarde l'heure qui indique 10h . Je me lève ensuite et commence à m'étirer puis tout a coup j'entends une voix gémir a côté de moi. Je me retourne doucement, ces Afghanistan. Putain de merde, mais pourquoi elle est dans ma chambre en plus dans mon lit ?
Je me souviens de rien, je n'est aucun souvenir d'hier soir et pourtant j'ai l'impression que j'ai fait quelques choses que je vais regretter. Je la regarde dormir, je me rends compte qu'elle est sans vêtements, non, c'est pas vrai, on à pas fait ce que je pense. Je soulève doucement ma couverture, puis regarde avec inquiétude. Je suis à Poil. C'est pas vrai j'ai couché avec Afghanistan, je le savais qu'il fallait pas trop boire pourtant je l'ai fait.

Afghanistan : hmmm... URSS

Je ne réponds pas, elle vient ce collé à moi. Je regrette d'avoir fait ça. Je me sens plus digne de Reich.

Afghanistan : bonjour mon amour, t'a bien dormi ?
URSS : Afghanistan... Sort de m'a chambre.
Afghanistan : Quoi ? pourquoi ?
URSS : sors de ma chambre je veux plus te voir.

Je me lève, puis la force a ce lever aussi et la fait sortir de ma chambre en claquant la porte. Je regrette ce que j'ai fait, je regrette vraiment. Je me sens Sale, je me précipite vers la salle de bain et prends une douche froid. Je sors ensuite et cherche des vêtements dans le placard, je m'habille vite fait. Mon idée et d'aller voir Reich pour lui dire que c'est moi qui écrit c'est lettre j'espère qu'il ne va pas le prendre mâle. Je sors de ma chambre puis déssan les escaliers, je peut voir Afghanistan qui me bloque la porte. Elle me regarde avec colère ,je tente de la poussé mais elle ne bouge pas, je soupire de mécontentement et la regarde de travers.

Afghanistan : tu va où ?
URSS : ce n'est pas ton problème.
Afghanistan : tu va voir ta pute?
URSS : je t'interdis de l'appeler comme ça, parceque entre toi et lui on sait directement qui est la pute.
Afghanistan : je rêve tu oses m'insulter alors qu'hier tu m'a fait l'amour.
URSS : ce n'est pas un prétexte pour que je reviens vers toi.
Afghanistan : alors pourquoi tu a baisé avec moi. Hein , dit moi?
URSS : j'ai baucoup bus , c'était une erreur de ma part.
Afghanistan : alors pour toi je suis une erreur ?
URSS : oui, parceque ce n'est pas toi que j'aime.
Afghanistan : a oui , qui aime tu? Reich ?
URSS : ce n'est pas ton problème.
Afghanistan : a d'accord alors c'est pour ça que tu lui envoies toute c'est lettre, parceque tu l'aimes. Tu préfères donc cette saloperie a moi.
URSS : je l'aime il y a quoi ?! Je l'aime de tout mon cœur et alors.
Afghanistan : de toute façon il ne t'aime pas ça c'est sûr.
URSS : et qui esqui  te fais dire ça ?
Afghanistan : tu va voir, je te laisse passer va le voir je ne te retiens pas.

Je ne sais pas ce qu'elle veut dire par là mais au moins elle me lâche la grappe. J'ouvre la porte et me précipite vers ma voiture, je monte puis la démarre. Je le mets en route vers chez lui j'ai hâte de le voir et en même temps un peu stressée.
Je fini par arriver et sors de ma voiture, je me dirige vers le bâtiment et entre, les personnes dans le hall me regarde avec surprise, je retire mes lunettes de soleil et les ranges.

URSS : heu pardonner moi mais vous savez où est l'appartement de troisième Reich?

Personne ne répond, c'est bizarre je me serais trompé de bâtiment ?. Non je ne pense pas cela doit être a cosses de moi.

Inconnu : je sais où il habite.

Je me retourne pour voir un homme avec son chien, je le regarde il me fait signe de venir avec lui je le suis. je le trouve étrange il ne dit pas un mot depuis tous a leur ,bon c'est pas comme si j'étais venue pour faire amie amie avec le voisinage.

Inconnu : c'est ici.
URSS : merci.
Inconnu : je ne vois vraiment pas pourquoi une star comme vous vient voir un gars comme Reich mais bon tout peut arriver.

Je le dévisage il m'énerve Celui là . Je me tourne vers la porte devant moi, j'hésite à frappé mais je fini par le faire. Je peux entendre des aboiements de chien puis quelqu'un crié. je souris. Je trouve ça drôle. La porte finis par s'ouvrir sur un Reich en pyjama. Je me retourne de surprise, je le trouve trop mignon puis je repose mon regard sur Reich. Il me regarde avec surprise.

Reich : URSS !
URSS : oui, je sais , pourquoi je suis venu te voir. Et bien pour qu'on parle.
Reich : tu es venu me voir pour me narguer. Après la lettre que tu m'a envoyé. Espèces de crétin sans nom.

Il m'a ferme la porte au nez, je rêve mais de qu'elle lettre il me parle?

URSS : Reich ouvre moi la porte !
Reich mais de quel lettre tu parle?

La porte fini par s'ouvrir après plusieurs tentatives raté sur un Reich en colère et a bout de nerfs.

Reich: ta finis ?
URSS :heu... Oui
Reich: bien, alors espèce de menteur. Tu arrives comme ça comme une fleur et tu me dis que ce n'est pas toi qui a envoyé cette lettre alors que c'est qui qui envoie des lettres depuis des mois ? Hein dit moi parceque moi je ne sais pas.
URSS : mais je te jure que je n'ai pas envoyé une lettre hier soir. Tout simplement parceque m'as lettre elle est là.
(Montre la lettre qui était dans sa poche de vestes.)

Reich : alors c'est quoi ça ?
(Montre la lettre que Afghanistan a envoyé.)
Dit moi ce que sais ?
URSS : une lettre .
Reich : tu vois c'est écrit noir sur blanc :

Cher Reich
Tu te souviens de cette photo, non. Et bien c'est un temps très lointain. Et oui, tu le savais non. Je me suis bien amusé avec toi. Tu vois mon cher, tu n'es plus qu'un simple joué qui, dès qu'il ce case on va le jeté à la poubelle. Toutes les lettres que je t'envoyer c'était du baratin, juste pour m'amuser. Je ne t'aime pas, tu vois. Donc sur ces mots je te laisse avec cette photo est bonne nuit.

Et ensuite tu me dis que tu ne m'a pas envoyé de lettre. Tu n'as pas changé URSS toujours aussi manipulateur avec les sentiments des autres. Tu a joué avec mes sentiments URSS et j'ai mâle mais ça je ne pense pas que tu puisses comprendre mon cher.
URSS : mais Reich... Je t'aime.
Reich : non tu ne même pas.
URSS : et comment je peux faire pour te prouver mon amour ?
Reich : Lesse moi tranquille.

Il ferme la porte. Je n'arrive pas à y croire, il ne veut plus que je le vois. Je pose ma tête contre la porte de l'homme que j'aime et répète encore et encore que je l'aime. Je fini par me décoller de la porte, les voisins de Reich me regarde avec confusion et surprise. Je pense qu'il on tout entendu.

Antoine : CV mec?
URSS : ouais, CV, je viens juste de perdre l'homme que j'aime. C'est tout, c'est pas grave je me remettrai.

Je sors du bâtiment et me pose un moment. Je ne sais pas qui a écrit cette lettre a ma place mais je jure sur mon honneur de soviétique qu'il va payer cher.

Quelle Temps Fera T'il DemainWhere stories live. Discover now