chapitre 5

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Comme d'habitude, je me lève. Je regarde mon réveil sur mon chevé  qui indique, 7h30. Je soupire et me lève pour mettre des vêtements convenable. Je sors de la chambre et déssan en bas, j'entends du bruit venant de la cuisine. Putain. Il a y voleur dans ma maison. Je prends un livre qui été sur l'une des meubles du salon et m'approche lentement mais sûrement. J'arrive près de la porte près a lancé le livre de William Shakespeare, quand la personne se retourne. Je soupire de soulagement en voyant que ce n'est pas un voleur mais Afghanistan.

Afghanistan : au tu et réveiller, désolée j'aurais dû faire moins de bruit.

Je l'avais complètement oublier celle là. Mais pourquoi elle ce réveil à cette heure là. Il est encore tôt.

URSS : non, c'est bon. De toute façon je me suis réveillée tous seul. Tu es là depuis quand ?

Afghanistan : au je ne sais pas vraiment dans les alentours de 1 heure.

Elle me dit ça avec son jolie sourire. Comme quand on était encore en couple. Ça me fait bizarre mais aux moins je n'ai pas a faire le petit déjeuner.

Afghanistan : comme je n'arrivais pas à dormir, j'ai décidé de faire le petit déjeuner. Comme avant, avec les enfants.

Je reste là a la regardait sans rien dire, elle sais aussi bien que moi que nous deux ça ne marchera plus.

URSS : tu a préparé Quoi ?
Afghanistan : pancakes, avec des crêpes et de l'omelette brouillé. Comme tu les aimes .
URSS : au d'accord, merci.

C'est mâle aisan, en ne dit plus un mots. Je continue à la fixé comme ça sans Rien dire, je dois avouer que la regarder me fait penser que si il y avait Reich a là place d'Afghanistan. Je serai combler de bonheur. Lui entrain de me faire a manger, me sourire tout les matins quand je me réveille ce serait juste le paradis. D'un coup je pense à des choses pas très bien sur lui. Je suis tellement surpris par ma pensée que je rougis violement puis me tape la tête contre la table de la cuisine.

Afghanistan : URSS, CV. Elle me dit ça avec de l'inquiétude dans la voie.
URSS : oui... Oui CV.
Afghanistan : eu si tu veux tu peux commencer à manger. Tu ne t'es fait pas trop mal j'espère ?

Je relève la tête, et la regarde. Je lui dit que toi va bien. Je prends mon assiette qu'elle avait posé sur la table et commence a mangé .je continue à là regarder mais cette fois ci elle fais la vaisselle. Elle a bien changé depuis le temps, c'est comme si elle se forcer de faire quelque chose, en temps normal elle m'aurait laisser la vaisselle, mais non pas aujourd'hui, je suis pose qu'elle veut me remercier en quelques sortes pour l'avoir laissé entré chez moi.

Afghanistan : URSS, je voudrais te dire quelque chose après manger.
URSS : a bon , quoi?
Afghanistan : rien d'important, c'est juste que je voudrais parler de notre relation actuel.
URSS : mais Afghanistan on en a déjà parlé. Celle ne servirait à rien de remué la marmite vide.
Afghanistan : je le sais mais je dois parler de ça avec toi.
URSS : non, je ne veux pas. C'est toi qui m'a trompé alors tu assumes, c'est tout.
Afghanistan :dit plutôt que tu veux éviter le sujet.
URSS : non mais je rêve, tu es entrain de remetre la faute sur moi.

On commence a se disputer, on ose de plus en plus la voie.

Afghanistan : comprends moi je ne veux pas vivre dans le doute.
URSS : quel doute?, Dit moi je ne vois pas
Afghanistan : parceque tu ne veux rien voir. Tu ne peux pas te comporter comme un adulte pour une fois.
URSS : non, justement. Je n'est pas envie. Et puis quecequi ta fait revenir sur ta décision. Dit moi, parce-que moi je ne vois pas.

Elle ne dit plus rien. Elle me regarde avec les yeux tous rond. Je ne la comprends plus mais avant on se comprenait et ça me change. Elle ouvre puis referme sa bouche. J'en est assez Vu.

Quelle Temps Fera T'il DemainWhere stories live. Discover now