Erh 56

327 32 3
                                    

Elles firent leur entrées dans le lieu sacré.
Devant elles, une grande salle d'un blanc immaculée faite de parois lisses.
Aïda entendu sous ses bottes, le bruit du pavé, il s'agit de grandes dalles blanches orné de scluture et de dessins. Elles comprirent rapidement c'est la main de l’Homme qui est a l'origine de cet endroit.

Aïda ce demanda qu'elle etait la nature de ce lieu. Pourquoi elles étaient ici. Mais surtout quelle était le lien evident entre ses pouvoirs et cet  étrange endroit qui lui inspire autant de sérénité que de tourment.

-Ici c'est la montagne mère. Nous sommes a l'endroit de la creation de notre monde. Contrairement a ce que beaucoup penses, c'est ici que les dieux de Erh ont semés la poussière de leurs souvenirs pour permettre a nous les Hommes de ce monde d'honorer leurs existance. Déclara un étranger à Aïda tandis qu'ils entraient dans la grande salle aussi oppressante et opaque que lumineuse et vaste.

Troublée, Aïda sentit ses marques et ses cicatrices ce manifester d'avantage.

-Par tous les crimes quelle est donc cet endroit Eoly!? Que fait on ici? S'impatienta la cors'Erh.

Les étrangers qui n'avaient cesser d'observer Aida ce deciderent a l'approcher et a l'examiner. Sous le regard de la pirate ils scruterent le corps de la cors'Erh.

-Arretez! Que faite vous!? pesta la rousse en sentant des regards la devisager et des mains inconus l'ausculter.

Ils regardèrent un moment la brulure a son cou ainsi que ses tatouages.

-Intacte. Déclara l'un d'entre eux.

-Vraiment ?Alors comment expliquer son attitude? Demanda la blonde.

-Il suffit ! S'emporta Aïda. Voila des heures que je vous suis sans broncher sans savoir on nous allons. Maintenant je veux la vérité! Tous de suite.

En énonçant les faits. Aïda ce rendit compte qu'elle avait donnée inconsciemment sa confiance en cette femme. Cette pirate. Cette criminelle.  Certe pas l'auteur responsable des crimes qui l'on pousser a ce dans sa mission. Mais une criminelle quand même.

-La vérité.  Ça tombe bien. On est là pour ça. Te rapelles tu comment tu as aquis ce pouvoir ?

-Non.

-Ces gens eux le savent.

-Vraiment? Un don des dieux sûrement. Ironisa la rousse en vue de l'endroit où elles ce trouvent et de son agacement.

-Pas tous a fait. Mais en partit. La repris une vielle femme.

Aïda fut intriguer par ces propos.

Ils firent asseoir la rousse au centre de la piece et ce mirent a tracer un cercles et des dessins étranges autour delle.

Une poudre dorée fût disposé autour du cercle.

Voyant l'inquiétude dans les yeux de la lieutenant, Eoly entra dans le cercle avec elle.

-Ah quoi tous cela apporte t'il? Ce sont des simples d'esprit et des croyant avéré en nos dieux. Voilà tout...! Ce justifia Aïda.

-Tais toi donc. Ordonna la pirate en dévisageant celle ci.

La piece s'assombrit peu à peu. Puis les tuniques grisatre des etranges individues ce mirent a briller de milles feux. Comme la porte.

Eoly prit les mains d'Aïda et la fit s'asseoir avec elle face à face en tailleur.

La sensation de chaleur sur les joues d'Aïda réapparu. Vraiment étrange.

Le temps sembla s'arrêter.

Comme figée par l'instant, Eoly ce perdit dans les yeux orangé de la cors'Erh.

Ce tourbillon de couleurs allant du jaune pâle au centre de l'iris,  entouré d'une nuance de miel, suivis d'une teinte doré et dégradé par un orange vif aux extrémités de l'iris. Eoly était aspiré par ce regard, ce regard désapprobation et inquiet de sa cadette.  Ces faucettes boudeuse, ce sourire absent et ses joues rosées par sa faute.

Aïda ce perdit a son tour dans le tourbillon bleux cendré des yeux de la blonde. Une peau pâle d'une douceur incroyable, ce petit nez, ses lèvres si délicates, et ce menton qui ce fronce a chaque fois que la pirate est contrariée ou en réflexion.

Devant cette observation détaillée et cette proximité , la chaleur de ses joues devint un feu.

-Maintenant Eoly. Indiqua un des hommes.

Eoly ne détacha pas son regard de la lieutenant. Elle ce saisit de l'un de ces poignards et entailla une des mains de la rousse. Aussitôt un etranger accouru récupérer les gouttes de sang et lui panser sa plaie.

Aïda realisa a peine ce qui vient de ce produire.

Elle est envoûtée.

Aïda et le courant d'ErhWhere stories live. Discover now