Eh ~ Je vous sors ENFIN après quelques mois de travail à écrire sur cette fiction ce premier chapitre. J'espère, de tout coeur, que ça vous plaira. Ce chapitre est vraiment très long, mais place très bien le début de l'histoire. Le chapitre 2 sera d'autan plus long pour bien continuer à mettre en place la personnalité de ma OC et de l'univers écolier qui l'entoure avant de mettre en avant le surnaturelle et le monde de l'Olympe. Bref, j'espère que vous allez être nombreux à apprécier cette nouvelle histoire et ma OC. Dites-moi en commentaire, si y'a des choses que vous aimeriez voir améliorer, une personnalité que vous avez vu -et que je n'ai pas spécialement remarqué et que vous aimeriez voir- dans ma OC a développer ou à rajouter ?
Bref... sur ce, je vous laisse une très très bonne lecture ! 📖
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Une jeune adolescente, nommée Alycia, parcourra les couloirs de son bahut, des étudiants la bousculèrent sans s'excuser en retour et la faisant ronchonner plus que tout. Elle se dirigea à son casier et l'ouvrit, prenant ses cours pour la littérature. Elle s'arrêta sur une photo accrochée au rabat de son casier. C'était une photo qu'elle avait prise montrant un écureuil qui mangeait un gland au pied d'un tronc d'arbre dans la cours de l'école. Elle sourit et ferma son casier. Elle se dirigea en cours, regardant les autres étudiants qui étaient accoter contre des casiers, parlant à leur potes ou surfant sur Internet via leur téléphone. Elle reconnût au loin, Zachary, le gars le plus populaire du bahut, flirter avec une jeune fille du club de littérature. Une jeune fille à la longue chevelure mauve et qui avait l'air timide et attentionnée. Elle ne savait plus son prénom.
Du côté droit, près des grandes portes de sortie de la fac, elle pouvait voir de ses yeux noisette, une jeune fille regarder les posters sur le babillard en compagnie d'un skateur, qui tenait sa planche à roulette dans sa main droite. D'autres élèves parcourraient les couloirs pour aller à leur cours. Proche d'elle, elle vit le concierge sortir des toilettes avec son matériel ; signalant qu'il venait de faire le ménage. Elle pouvait entendre des éclats de voix et elle vit un groupe de garçons, les brutes de la fac, rigoler de deux lycéens qui venaient d'entrer dans le bahut. L'un avait les cheveux marrons qui lui encadrait à la perfection le visage, il était habillé d'un éternel jean bleu, d'un haut bleu foncé et d'une veste grise. Son sac pendouillant son épaule droite. Il discutait vivement avec son meilleur ami.
Son meilleur ami était plutôt dans les tons marrons et avaient les cheveux noirs et la peau très mate beaucoup plus foncés que celui de son compère. Elle se rappela que ces deux garçons étaient dans sa classe. C'était Percy Jackson et Grover Underwood. Deux inséparables.
Pourtant, malgré les rires des brutes qui pratiquait le rugby de la fac, ils ne s'en préoccupaient pas le moins du monde. Elle reporta son attention sur sa route et pénétra dans le cours de littérature. Elle passa une main dans ses cheveux auburn, les remettant en arrière afin de ne pas être gênée et dévoilant son cou et son oreille.
La jeune fille avait une corpulence normale et une mince poitrine. Elle portait une robe à deux couleurs. Son haut était noire, il avait la taille d'un bustier, avec de fines bretelles qui laissait apercevoir ses épaules et ses bras. Le dos de la robe était fait de sorte qu'on pouvait voir ses omoplates uniquement. Puis, le bas de la robe était de couleur verte très pâle. Le devant laissait percevoir légèrement ses cuisses et ses jambes. Le derrière était plus long que le devant qui s'arrêtait au-dessus de ses genoux. Une fermeture éclair en argent ornait le devant de la jupe, faisant croire que c'était le zip de la tenue, mais la fermeture éclair, à cette endroit précis, n'était que décoration. Elle portait des bottines noires pour marier le tout.
C'était sa tenue préférée parmi tous ces vêtements. Serrant ses manuels contre sa poitrine, elle s'installa à sa place habituelle, c'est-à-dire au milieu à droite, prêt des fenêtres comme ça, elle pouvait regarder l'extérieur sans problème pour s'évader quand le cours était lassant et futile. Elle installa ses fournitures scolaires sur son pupitre, positionna son bras gauche sur la table, main sur ses manuels et l'autre contre sa mâchoire ; ses petits yeux noisette regardant l'extérieur ensoleiller. Elle croisa ses jambes et soupira, attendant l'arrivée du professeur.
Alycia était du genre patiente et ne s'attendait pas qu'on l'aide en retour. Elle était autoritaire, studieuse et rationnelle, bien que parfois, elle se laissait être lunatique et rêveuse. La jeune fille soupira et vit un corbeau croasser sur un fil électrique au loin avant de s'envoler. Un étrange frisson la parcourut.
La porte s'ouvrit sur les deux lycéens qu'elle avait aperçue à l'entrée de la fac, taquiné par les joueurs de rugby. Elle n'y prêta pas attention et l'enseignante arriva derrière eux. Elle avait des cheveux gris mis en chignon, une paire de lunette sur son nez et un collier ornait son cou. Elle portait un pantalon beige et un haut noir. Elle mit ses manuels de cours sur son grand bureau et écrivit les premières leçons au tableau, parlant en même temps de la matière.
Cependant, au bout d'une heure, Alycia sentit un regard sur elle. La jeune fille se retourna et vit le jeune homme de tout à l'heure l'observer. Celui-ci se mit à rougir et à détourner les yeux sous le rire de son meilleur ami. Ce n'était pas le premier jour de la rentrée et la jeune fille sentait bien les regards perçants de ce jeune garçon sur sa personne. Bien que ce fût étrange au vu qu'ils ne se parlaient que dans les cours, en cas de nécessité pour un travail de collaboration d'équipe de quatre personnes, ils ne se parlaient que rarement à l'extérieur. Elle le voyait souvent en compagnie d'une jeune fille et de son meilleur ami, Grover. La jeune fille n'était pas dans leur classe, mais elle trouvait toujours le temps d'être avec eux.
Au tout début, Alycia avait eue du mal à accepter les regards incessants du jeune homme sur elle, mais elle fut prise au jeu et par moment, elle l'observait du coin de l'œil discrètement. Parfois, leur regard se croisait et s'intensifiait laissant place à une sensation étrange, mais agréable pour la jeune fille. Quelques fois, elle sentait ses pouvoirs revivre en elle et s'activer lorsqu'elle regardait trop le jeune homme et du coup, c'était forcément elle qui détournait le regard la plupart du temps pour ne pas éveiller ses pouvoirs au public et par peur de perdre le contrôle sur elle-même. Parfois, elle sentait des papillons dans son ventre et ses joues rosir lorsque leur regard prenait plus de temps et d'ampleur. Mais leur échange visuel formait une belle relation silencieuse qui n'avait pas besoin plus que de ça de contact ou de parole. Un simple regard suffit pour les deux jeunes hommes pour se comprendre émotionnellement.
Un regard qui unissait d'une façon ou d'une autre leur liens psychiques et qui les rattachait à l'autre. Pour les deux jeunes, ce n'étaient pas des sentiments amoureux qu'ils ressentaient pour le moment, mais plus des sentiments d'affection même s'ils ne se voyaient pas hors des classes, ils savaient qu'ils n'avaient besoin que d'un regard pour subsister leur faible relation amicale qu'ils entretenaient à distance. Mais tôt ou tard, ils savaient que ce jeu de regard qu'ils entretenaient n'allaient plus leur suffire. Mais pour l'instant, c'était ce dont ils avaient le plus besoin pour le bien de leur relation amicale. Par ailleurs, les travaux d'équipe qu'ils faisaient dans le cadre des cours remplissaient à merveille le rôle du contact humain et la parole qu'ils avaient besoin.
Cette fois-là, Alycia fronça les sourcils en le voyant donner un coup de coude à son meilleur ami. Celui-ci lui fit un signe de salut et elle haussa les épaules, retournant à sa contemplation à l'extérieur. Finalement, elle finit par se fatiguer et fermer les yeux. Elle ne dormait pas beaucoup ces derniers temps par cause de rêve qui se transformait en cauchemar. De ce fait, le manque de sommeil commençait à la rattraper. Elle rêvait qu'elle courrait sur de grandes plaines de verdures et de sables.
Dans son rêve, l'humidité était à son désavantage tout comme son manque d'endurance. Alycia n'était pas une très bonne sportif, ce n'était pas son truc, même si elle faisait des petits joggings tous les deux soirs par mois. Cela étant, elle sentait une lourde présence qui consommait son énergie et qui la fatiguait encore plus comme une aura malfaisante.
Par la suite, dans son mauvais rêve, elle atterrissait devant un pont en bois qui n'était pas dans un très bon état. Elle regardait derrière elle, une grande forêt de sable se dressait. Elle ne savait pas ce que faisait du sable dans une forêt. Elle reportait son attention sur le pont et déglutit avant de le traverser. Cependant, à mi-chemin, elle sentit quelques planches se casser et le pont se détruisit par une bourrasque de vent trop violente qui fit trembler les planches effritées et casser les cordes.
Elle se mit à courir et son souffle devient erratique, montrant sa faible prestance sportive. Elle se mit à hurler en tombant dans le vide. Dans sa chute infernale, elle pouvait entendre un rire diabolique et amusé par la situation. En réalité, elle se retrouvait dans un sablier de temps qui se faisait balancer de gauche à droite par son porteur. Le coude droit sur la manche du trône, sa main droite maintenant sa mâchoire et sa tête penchée vers la droite regardait le sablier de temps dans sa main gauche qui était suspendue dans le vide.
Alycia ne le reconnaissait pas immédiatement avant de plonger ses yeux noisette dans ceux ténébreux de son hôte. Elle le reconnut comme étant Hadès. Fan de mythologie grec, Alycia s'était beaucoup penchée sur les livres qui racontaient milles et une légende sur ces mythes et elle pouvait reconnaître, à la perfection, les Dieux et Déesses les plus connus comme les moins connus de la mythologie. Mais plusieurs questions trônaient dans son esprit : Comment était-elle arrivée à cette situation ? Comment pouvait-elle s'en sortir ? Était-ce une prémonition qui allait se réaliser ? Pourquoi ? Comment ? Quand ? Où ? Elle faisait, tout le temps, ce rêve et jamais elle arrivait à s'en sortir, car avant qu'elle ne le fasse, une grande lumière blanche l'envahissait et la faisait retourner dans la réalité en sursaut.
—Alycia ! ALYCIA ! cria l'enseignante, je vous prie de rester concentrée en cours ou d'aller dormir à l'infirmerie au mieux.
Alycia sursauta et toussota. Elle regarda autour d'elle tandis qu'elle pouvait entendre le rire de ses camarades se moquer de la situation qui ne l'avantageait pas encore une fois. Alycia était une bonne élève, mais elle ne faisait rien pour faire en sorte d'être apprécier par les autres élèves et ne faisait, donc, pas des privilèges pour avoir des avantages sur son dossier scolaire. Ça ne l'intéressait pas. Elle n'était pas autant ambitieuse pour intégrer une école prestigieuse.
—Excusez-moi, madame Flicis, ça ne recommencera pas.
—Je l'espère bien. C'est la sixième fois en à peine 2 mois. La prochaine fois sera au bureau du Directeur, compris ? Pour l'heure, tu viendras me voir à la fin du cours, déclara la gente dame.
Alycia hocha la tête, compréhensif. Tout ce qu'elle désirait, c'était de ne pas rencontrer le Directeur pour ce genre de broutilles. La fin de l'heure décrocha et les élèves, dans un brouhaha éternel, se levèrent en rangeant leurs manuels sous les paroles criardes de Mme Flicis. Du coin de l'œil, Alycia vit le jeune homme qui l'avait observé quitté la salle de classe en riant avec son meilleur ami. Elle fronça les sourcils en le voyant lui jeter un coup d'œil par-dessus son épaule, l'air inquiet. Elle rangeait ses affaires scolaires tout en regardant la salle se vider. Puis, machinalement et respectueusement, elle se dirigea vers l'enseignante qui effaçait le tableau en murmurant des choses incompréhensibles.
—Mme Flicis ? appela Alycia d'un ton neutre, serrant ses manuels de littérature contre sa poitrine.
Mme Flicis se retourna et sourit en voyant sa jeune élève. Elle posa, automatiquement, l'efface sur le rabat du tableau et épousseta ses mains, enlevant la craie et la poussière blanche sur celles-ci. Puis, elle rangea une mèche de ses cheveux gris derrière son oreille pour mieux voir son étudiante.
—Mademoiselle Brown, merci de venir me voir avant que vous ne vous enfuyiez. Je sais que la plupart des étudiants de la Fac le ferait, mais je sais que vous ne le feriez pas. Vous êtes trop studieuse et respectable pour ça.
—Euh...Oui, merci. C'est juste un comportement d'étudiant, dit la jeune fille en haussant les épaules.
Alycia pouvait entendre le rire cristallin de l'enseignante parvenir à ses oreilles. Mme Flicis releva ses petites lunettes rondes sur son petit nez et de ses yeux perçants regarda le visage mate de la jeune fille.
—Ce n'est pas pour ça que je voulais vous parler à la fin du cours, Mademoiselle. Vous savez, j'ai comme l'impression que vous n'êtes pas réellement bien, je me trompe ? Vous savez, j'ai le sens de l'observation et je sais quand mes étudiants ne vont pas vraiment...bien. Si vous avez besoin d'aide pour quoi que ce soit, sachez que la faculté des arts modernes et le cadre enseignant sont à votre disposition. Si vous désirez que ça reste entre nous, je peux m'accorder des petites heures supplémentaires à chaque fin de journée, après les heures de cours, pour qu'on ait une petite discussion sur ce qui ne va pas, déclara Mme Flicis.
Alycia clignota des yeux. Elle humecta ses lèvres et hocha la tête.
—Je comprends votre inquiétude envers moi, professeure, mais je vous rassure que je n'aie pas besoin d'aide psychologique. Je vais parfaitement bien.
—Pourtant, ce n'est pas l'impression que vous donnez. Vous semblez lunatique, vous êtes peu présent en cours et vous n'y participez pas...
Comme la plupart de ses étudiants, pensa Alycia amèrement.
—...De plus, vous regarder souvent par la fenêtre et je me demande si je ne dois pas vous changer de place pour que vous puissiez rester concentrée sur ma matière. Et puis, votre moyenne a énormément baissé depuis le premier trimestre. Je pense que vous avez beaucoup de misère à assimiler la matière. Si vous voulez, je peux vous donner un tuteur, qui serait étudiant assez haut dans la moyenne de la classe, pour vous aider. Est-ce que ça vous conviendrait ? Je sais que la plupart des étudiants ne sont pas à l'aise avec les adultes et ont beaucoup de difficulté à s'exprimer envers les adultes, je suppose, que si je vous appose un élève, ça sera plus...disons facile à exprimer vos difficultés, expliqua Mme Flicis en triturant ses mains.
Alycia souffla d'exaspération. Ce n'était pas parce qu'elle semblait être lunatique, qu'elle allait forcément mal. C'était naturellement, enfin, elle essayait de se le persuader en tout cas. Et...ça fonctionnait plutôt pas mal. Mais, c'est vrai, elle devait se l'avouer que ses notes baissaient grandement et qu'elle avait dû mal pour récupérer la matière perdue. Cependant, elle n'allait pas faire le plaisir à Mme Flicis d'avoir le bénéfice du doute.
—Je...Laissez-moi y réfléchir sur ce point, Mme Flicis. Mais, je ne pense pas en avoir besoin. Je travaillerais de mon côté pour récupérer la matière, je vous fais le serment.
—Oh je ne veux pas de promesse que vous ne tiendrez pas, Mademoiselle Brown. Je sais que vous êtes studieuse, mais je pense que vous vous laissez aller beaucoup trop souvent, ces derniers temps. Cependant, je veux bien vous accorder trois jours de réflexion. Sinon, votre patience et votre mauvaise foi paraîtra sur vos résultats. C'est cela que l'on veut, Mademoiselle Brown, des résultats pas de la prédiction ni des fausses excuses.
Alycia hocha la tête et souffla. Subitement, l'heure de la prochaine heure sonna et la jeune demoiselle s'excusa auprès de son enseignante pour s'éclipser.
—Oh oui allez-y, je ne voulais pas vous attardez aussi longtemps. Excusez-moi, je suis une vraie pipelette de temps en temps, mais ma profession me tient vraiment à cœur. Je ne suis pas là pour vous faire échouer, Mademoiselle Brown. Croyez-le ou non. Bon cours et dépêchez-vous avant d'être en retard, dit Mme Flicis en pointant la porte de sa paume de main relevée vers le ciel.
Je suis déjà en retard, pensa Alycia, mécontente.
Alycia sortit précipitamment de la salle de cours et se faufila dans la ribambelle d'étudiants qui se collaient dans les couloirs étroits de la faculté. Elle arriva à son casier et changea ses manuels de cours pour celui de langues. Elle fit le chemin inverse afin d'aller vers les marches pour monter à l'étage supérieure. Elle les gravit en peu de temps et se dirigea vers un petit couloir qui la menait vers la bibliothèque à gauche, et à droite, les salles de classe. Alors qu'elle allait prendre celle de droite, elle se cogna et échappa ses manuels tout en tombant sur le sol.
Elle ferma les yeux durant la chute et se frotta les cheveux en grimaçant.
—Excuse-moi, je ne t'avais pas vu. Est-ce que tout va bien ? Je ne t'ai pas fait mal ? demanda la voix.
Elle rouvrit les yeux en entendant une voix qui ne lui était pas familière. Un jeune homme se tenait devant elle. C'était celui qui l'avait observé avant de quitter la salle de classe et qu'elle avait vu entrer dans le bahut. Celui-ci lui tendait la main et elle la saisit avec hésitation. Lorsque ses doigts touchèrent les siens, elle sentie un électrochoc qui la sursauta et elle se redressa : retirant vivement sa main pour la cacher derrière son dos.
—Merci, je vais bien.
—Je vais t'aider à ramasser tes manuels. Excuse-moi, encore.
Ils s'agenouillèrent, Alycia hocha la tête et ils ramassèrent les manuels tomber au sol. Le jeune homme lui tendit son dernier manuel et il se retourna lorsqu'il entendit son prénom dans le couloir.
—PERCY !
Il se retourna vers la jeune fille qui l'observait.
—Je crois que je vais devoir y aller. Excuse-moi.
—Arrête de t'excuser, c'est bon. C'était qu'un petit accident qui arrive à tout le monde.
—Mmh. À bientôt.
Elle hocha la tête et elle le vit rejoindre son meilleur ami. Elle pouvait entendre des brides de conversation comme « —Alors, c'était qui ? Comment s'appelle-t-elle ? Elle te plaît ? », des questions gênantes données par son ami. Elle entendait le rire de Percy, un rire doux, joviale et communicatif. Alycia sourit et hocha les épaules, oubliant cette rencontre inattendue, qui pour elle, ne serait pas d'une grande importance. Elle continua son chemin et entra dans la deuxième salle à partir de la gauche pour son deuxième cours de la journée.
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Qu'en pensez-vous pour un premier chapitre ?
Qu'attendez-vous d'Alycia ?
De ce que vous voyez dès le premier chapitre, avez-vous des points communs subtiles avec elle ?
Qu'attendez-vous des prochains chapitres ?
Dites-moi tout ! Je suis curieuse de connaître vos avis. 🤗