Je regarde cette fille qui tremble comme une brindille parterre alors que je m'approche d'elle pour lui faire subir sa toute première punition. Cette fille qui me répondait y à même pas deux minutes devant ce locale me craint maintenant, ou est donc passé Baby G, celle que j'ai vu dans une boite de strip, celle que j'ai vu chez moi, froide forte n'éprouvant rien. Elle change de personnalité aussi vite que je fais jouir une meuf, elle est vraiment bizarre et je n'arrive pas à la cerner. Lorsque je l'ai vu arrivé, elle avait un air triste, innocent et fragile. Sa tenue toujours aussi fade allant parfaitement avec ce qu'elle montre, une fille réservée et coincée alors que je sais que ce n'est pas le cas. Je revois d'ailleurs parfaitement ses formes appétissantes et mes pensées dévie rapidement sur quelque chose que je ne souhaite pas à tel point que mes penséesinterdite dépasse mes lèvres :
"Déshabille-toi !"
Mais qu'est-ce que je viens de dire !? Bordel qu'est-ce que je fou ? Tout ce que je voulais c'était de me foutre un peu d'elle pas de profiter de la situation dans laquelle je l'ai volontairement mis. Je passe pour un gros pervers, un fdp en puissance alors pourquoi je n'arrive pas à retirer ce que je viens de dire alors que le silence nous entoure et qu'elle me regarde avec un mélange marrant d'incompréhension, de surprise et un soupçon de colère bien visible dans ses iris bleues si captivante. La bouche ouverte par une grimace qui n'a pas bouger depuis bientôt... quoi ? 5 minutes. Je ne sais pas à quoi m'attendre avec elle, mais je sais qu'elle va me répondre et que ça va piquer.
Oh en parlant du loup... elle se reprend au bout de cet interminable silence gênant. Ses jolies lèvres pulpeuses se referme pour former une moue de dégoût. Pendant que je reste impassible prêt à recevoir les coups.
"Qu'est-ce que toi, la putain suprême des salopes de ce lycée viens de dire ?" Demande-t-elle froidement.
Ça pique un peu mais je ne lui montre pas au contraire je souris parce que jamais personne ne m'avait appelé une putain. Connard, oh oui j'ai l'habitude mais putain, cette fille m'amuse autant qu'elle m'intimide et m'irrite. Je m'accroupis et réfléchis à la meilleure des manières pour lui faire regretter ses mots tout en retirant discrètement les miens. Elle me regarde comme un pauvre animal sauvage qui est sur le point d'attaquer parce qu'il se retrouve acculer par un prédateur.
"J'ai dit. Déshabille-toi !" Mais bordel non ! Je crois que ma bite à pris le contrôle de mon corps empêchant mon cerveau d'atteindre la moindre pédale. Je suis totalement guidé par mes pulsion malsaines et cette envie de la voir une nouvelle fois dans une tenue légère. Je... enfin ma bite, a besoin de confirmer si cette fille est vraiment baisable ou si l'alcool m'a fait voir flou.
Un rire cristallin me sort de mes pensées, elle rigole alors que je pensé recevoir une farandole d'injures virevolté jusqu'à mes tympans. Au lieu de ça son rire me frappe et ce jusqu'à mes bourses et mon mini-moi qui frétille. Je me sens tellement sale ! Et je hais le fais qu'elle puisse me rendre tout chose rien qu'avec son rire. La vu qu'elle offre est pourtant horrible... je crois que je dois vraiment consulter.
"Pourquoi tu rigoles je suis sérieux." Je lui dis sérieusement.
Elle rigole encore un peu avant de s'arrêter et de me regarder faussement confuse, parce que je sais qu'elle ne l'est absolument pas.
"Oh c'était pas une blague ? Pardon maître je pensé que vous rigoliez." Dit-elle en faisant une moue désolée absolument insupportable.
Je tends ma main vers le tissu de sa jupe et le caresse pour ressentir la matière sur la pulpe de mes doigts. J'effleure son genou m'attendant à ce qu'elle se décale mais rien. Elle reste sans bouger et me fixe de son regard noir de colère.
"Non, pas cette fois." Ma bite me fait dire.
"Tu sais, ce genre de service son payant et seulement visible pendant mes horaires de travailles. Et je ne fais pas de prix pour les gens blindé de fric, non je les fais cracher un max au contraire." S'applique-t-elle à m'expliquer en frappant ma main toujours accroché à sa jupe.
Je rigole une nouvelle fois et sincèrement cette fois, elle me fait vraiment rire, comme je le pensé l'avoir comme petite servant risque vraiment d'être distrayant autant ça me fait chier de me l'avouer autant son caractère bien tremper m'offre autre chose que ce que les filles qui se traînes à mes pieds me présente.
"Tu devrais pourtant faire une exception pour ton maître." J'insiste lourdement.
Elle secoue la tête de gauche à droite l'air dépité avant de me regarder dans le blanc des yeux et se pencher vers moi.
"Certainement pas pour toi." Susurre-t-elle à mon oreille.
Ma bite n'appréciant pas cette réponse, attrape délicatement son genou. Et le serre doucement, les mots sortent seul de ma bouche et je sais qu'il n'y a plus de retour en arrière. Je dois assumer ce que je dis et ce que je veux et actuellement j'ai vraiment envie de la voir se dénuder sous mes yeux.
"Alors pour toi." Elle comprend rapidement mon sous-entendu, elle se redresse et change en un clin d'œil d'expression. Des yeux pétillants, un sourire séducteur puis une moue sexy.
Elle me prend de cours lorsqu'elle se redresse et me pousse sur mes fesses. Je la regarde surpris et curieux de voir ce qu'elle compte me faire. J'appréhende ce qu'il va se passer ensuite, cette fille, la vrai Maya n'est pas du genre à se laisser faire aussi facilement. Ses mouvements me font perdre le fil de mes pensées et ravissent ma bite qui saute littéralement de joie. Elle a retirer ses lunettes et les a posés à côté d'elle. Elle repose son regard ardent sur moi et monte ses mains dans son cou pour les descendre doucement sur sa poitrine, subjugué je suis ses mains comme hypnotisé, lorsqu'elle fait sauter le premier bouton de sa chemise je déglutis difficilement et fixe ses doigts défaire un à un chaque bouton de sa chemise blanche jusqu'à arriver à son nombril percer. Ses doigts effleurent sa peau caramel jusqu'à la dentelle de son soutien-gorge en dentelle noir. Elle écarte légèrement le tissu de la chemise laissant entre voir sa poitrine voluptueuse mais pas trop.
"Normalement, j'ai de la musique." Murmure-t-elle en se levant en remontant sa jupe sur ses cuisses laissant voir des jarretelles retenue les fameux porte-jarretelles. Je déglutis à cette vision et oublie totalement que j'étais censé la filmer pendant son moment d'humiliation mais clairement ce n'en est pas un. Elle est entrain de me mener par le bout du nez avec ses mouvement sensuelle et je ne vois rien de honteux juste une fille que je me serais bien fais, là tout de suite dans ce placard crasseux mais il est hors de question que je l'avoue, à elle et que je me rabaisse à céder à mes plus bas instincts en lui sautant dessus. Elle prendrait conscience du pouvoir d'attraction qu'elle a sur moi et risque de se jouer de moi.
"Je ne t'ai pas demandé de me faire un strip-tease !" Je grogne sans relever les yeux de son corps.
Je sens pourtant son sourire vainqueur sur son visage. Sa prochaine action me choque, je n'aurais jamais cru qu'elle irait jusque-là. Le petit bout de dentelle noir qui lui serre de culotte se retrouve juste là, entre mes jambes. Je le fixe me demandant si c'est bien ce que je crois et m'apprête à la prendre pour l'inspecter de plus près, mon cerveau n'est absolument pas sûr que ce soit vraiment ça, elle n'a pas pu...
"OUF !" Je souffle bruyamment lorsqu'elle atterrit lourdement sur mes cuisses, ses jambes de part et d'autre des miennes. Elle passe ses mains autour de mon cou et me force à la regarder dans les yeux.
"Je me suis déshabillée, à ton tour." Ordonne-t-elle autoritaire.
C'est à mon tour d'être surpris et de faire les gros yeux, elle a cru quoi ? Que c'est elle qui décidait ? Non, certainement pas, ce n'est pas parce que j'ai apprécié son petit spectacle qu'elle a ramollis mon cerveau au point de lui obéir.
"A ce que je sache, ce n'est pas toi qui donnes les ordres dans notre petit arrangement." Je me permets de lui rafraîchir la mémoire.
Elle m'observe longuement ses yeux pénétrant les miens. Je me noie dans ses iris bleues aux nuance violine, oubliant même ce que je disais ou ce que nous faisions, je ne sens même pas sa main descendre sur mon torse pour toucher mon entre-jambe gonfler. Je sursaute sous la pression de sa paume et essaye de me dégager de sa prise. J'attrape son poignet pour la faire arrêter alors que la colère commence à monter comme la frustration. Elle me sourit avec ce même sourire victorieux.
A quoi elle joue ?
"Qu'est-ce qu'il y a maître, je penser que c'était ce que vous vouliez ?" Minaude-t-elle.
"Qu-"
Elle se décale suffisamment pour que je puisse mieux voir son buste. Je me lèche distraitement les lèvres et elle en profite pour reprendre le dessus sur mon faible esprit d'ado en chaleur. Elle attrape ma main et la pause sur son ventre la faisant monter vers sa poitrine.
"Oh bordel !"
Rapidement elle me lâche et laisse ma main caresser son corps, j'en profite pour glisser l'autre mains sur sa hanche gauche. Sa taille est fine et son ventre plat, j'ai l'impression que je pourrais la briser si je serre trop fort. Sa peau est douce, délicate et je meurs d'envie de la goûter, lécher et marquer. Mes mains remonte sur ses côtes à un doigt de sa poitrine pulpeuse elle m'arrête.
"C'est du donnant, donnant. Laissez-moi voir." Me demande-t-elle en passant ses mains sous mon t-shirt. Une lutte intérieure se produit, je ne lui fais pas confiance, elle mijote quelque chose je le sais mais ma libido s'en contre fou, tous ce qu'il veut c'est la toucher et la voir dans son plus simple appareil, vulnérable sous mes doigts. Mais je ne dois pas céder, ce n'est pas ce que voulais, j-
"Pitié maître. J'ai envie..." Susurre-t-elle à mon oreille puis l'attrapant avec ses dents, son bassin bascule en avant son humidité frôlant mon membre douloureux. Je serre la mâchoire ne voulant pas céder mais elle recommence et pousse un gémissement qui me surprend autant qu'il m'excite.
"Fais chier !" Mon excitation explose et je retire mon t-shirt pour le balancer je ne sais où. Je saute sur elle pour lui embrasser le cou reniflant son parfum et goûtant à sa peau qui me fait tant envie et comme je le pensé elle est douce contre mes lèvres et sucré contre ma langue rien à voir avec son caractère amer.
Elle passe sa main droite derrière ma nuque me poussant à la dévorer. Je la serre contre moi, plaquant sa poitrine contre mon buste. Mes mains curieuse, avide de cette douceur inédite veulent explorer chaque recoin de ce corps chaud tout comme mes lèvres. Mais elle ne semble pas vouloir s'éterniser et défait le bouton de mon jean pour l'ouvrir et me force à me mettre à genoux puis de nouveau sur mes fesses pour me retirer mon complètement. Je la tire de nouveau sur moi la surprenant vu le petit cri qu'elle pousse. J'essaye de défaire son soutien-gorge mais elle m'en empêche, elle me sort une excuse que je n'écoute même pas mais accepte son choix, tout ce que je veux c'est ma bite dans son petit minou humide. Je la pousse contre mon membre la faisant aller et venir doucement, je la sens frémir contre moi alors que mini-moi grossis un peu plus se préparant pour l'acte même. Elle frémit une nouvelle fois et gémis à chaque fois que je touche à son clito. Je me détache de son cou et baisse les yeux pour voir son sexe tremper le mien, ça ne ressemble à rien de ce que j'ai fait et pourtant tout ce qu'on fait c'est du frottis frotta alors qu'est-ce que ça sera quand je plongerais à l'intérieur d'elle.
"Bordel ! Qu'est-ce que je fou ?" Grognais-je appréciant son humidité traversant mon boxer.
"C'est exactement ce que je me demande." Elle répond en s'éloignant subitement de moi. Elle se lève se rhabille et attrape ses affaires.
Je la regarde ahuris, avec la bite en feu.
"Quoi ? Qu'est-ce que tu fou ?"
"Ce que je fais ? C'est pourtant évident, je vais à mon prochain cours." Dit-elle l'air de rien, elle finit de boutonner sa chemise ramasse ses affaires et me dépasse alors que j'essaye de comprendre ce qu'elle vient de dire.
"Comment ça ?" Je lui demande en me levant.
"T'as pas entendue la sonnerie ? C'est bizarre parce qu'on l'entend bien d'ici. Mais bon je n'ai pas le temps de parler de sonnerie, je te laisse prendre soin de... tu vois et moi j'y vais. En espérant ne pas te revoir." Elle ferme la porte sur ses mots me laissant comme un con seul et frustré. Je regarde autour de moi à la recherche de mes vêtements mais ne trouve ni mon jean ni mon T-shirt et c'est là que je comprends son petit sourire vainqueur.
Je me lève rapidement enrager et prêt à courir derrière cette salop-
"Ah oui, j'oublié. Ton portable est dans la poubelle juste à côté. Je n'ai pas envie que tu me fasse encore un sale cou genre m'accuser de vol et pour t'es vêtements..."
"Espèce de salope ! Rend moi tout de suite mes vêtements !" Je hurle derrière la porte prêt à l'ouvrir.
"Je te déconseille de sortir avec ton... enfin tu vois."
"Dès que je sors d'ici je te bute ! Donc rend moi tout de suite mes vêtements !"
Je l'entends soupirer fortement et ses pas s'éloigner.
"Reviens ! Bordel, l'Alien !"
"Vu que tu me menace je ne vais pas te dire ou je vais mettre t'es vêtements. Ça t'apprendra à être méchant avec moi et pensé avec ta bite. Et puis ça pourrait être amusant non ? Te voir te promener à moitié nu dans les couloirs de ce grand lycée, je suis sur que toute les filles du lycée vont apprécier." Dit-elle en ricanant.
Je vais la tuer, je jure que je vais la buter.
"L'alien ! Ramène-toi tout de suite ! Je suis ton maître ! Je te jure que si tu ne reviens pas je déballe tout !" Je hurle derrière la porte.
Pas de réponse, elle est déjà partie, elle m'a vraiment laisser à poil dans le placard du concierge. Je n'arrive pas à croire que je me sois fais avoir par elle. Par une putain de vierge de surcroît, elle à réussi a m'avoir avec le sexe alors qu'elle n'a jamais fait la bête à dodo. Je me mets à rire de mon malheur, je suis pathétique et elle est vraiment forte. Comme elle l'a dit ça m'apprendras de penser avec ma bite et de sauter sur tout ce qui fait palpiter la bête.
Je regarde une dernière fois partout autour de moi dans l'espoirs de trouver n'importe qu'elle vêtement pour me couvrir un minimum. Un bout de dentelle attire mon regard, je le prend et l'examine, je rigole en comprenant qu'elle se promène sans culotte. Elle aussi à perdu quelque chose dans l'histoire mais elle à fait comme si de rien était.
Elle est forte, vraiment forte. Je vais devoir trouver un moyen de lui rendre l'appareille, il est hors de question que je la laisse sentirez comme ça. Et je sais déjà comment je vais m'y prendre mais avant ça, je dois récupérer mon téléphone.
Coucou👋🏾, après une longue période sans chapitre, je me dois de m'excuser (encore 😳). Je voulais vous publier des parties mais la fatigue accumulé à eu raison de moi 🥱. Je profite donc de ma petite semaine de repos pour écrire autant que je peux et publier ce petit chapitre 😊.
Enjoy 😘😘