karim et nana

By NanaNiang2014

7.7M 524K 21.3K

Karim et nana More

chapitre 1
chapitre 2
chapitre 3
INFOS
chapitre 4
chapitre 5
chapitre 6
chapitre 7
chapitre 8
chapitre 9
chapitre 10
INFOS
chapitre 11
chapitre 12
Chapitre 13
chapitre 14
chapitre 15
chapitre 16
chapitre 17
Chapitre 18
chapitre 19
chapitre 21
chapitre 22
Chapitre 23
chapitre 24
chapitre 25
chapitre 26
chapitre 27
chapitre 28
chapitre 29
chapitre 30
chapitre 31
chapitre 32
chapitre 33
chapitre 34
publicité chapitre 1 du tome 2 de brisee
chapitre 35
chapitre 36
chapitre 37
chapitre 38
chapitre 39 fin
TOME 2 en prepa...
hello guys
CONTINUITÉ...
Est ce que vous avez lu le tome 2????
BONNE NOUVELLE
NOUVELLE HISTOIRE
NOUVELLE HISTOIRE
Nouvelle histoire

chapitre 20

158K 11.7K 271
By NanaNiang2014

PARTIE 20 :

DANS LA TETE DE NANA
Depuis la crise de ma belle-mère je faisais  tout pour ne pas la contrarier. Mais depuis quelques temps déjà je voyais comment Ndeye Fatou et mon mari étaient proches. Ils discutent presque tout le temps et Karim n’avait même plus de temps à m’accorder car aussitôt descendu du travail il prenait sa douche et était en bas avec sa famille. C’est normal je ne devais pas l’en blâmer à cause de cela mais je commençais à être lésée par son comportement.

Cependant, pour le moment c’était encore le cadet de mes soucis. En effet, depuis quelques temps jours, je ressentais une petite douleur au niveau de mes seins.
Et ce matin,  J’avais tellement mal que je ne pouvais pas me lever. La douleur continuait et je n’avais pas d’autres choix que de réveiller Karim.

«  Karim »

Karim : humm

«  J’ai mal »

Il murmura : nana il n’est même pas encore  60h.

«  Il est 10h Abdou Karim »

Karim : quoi ? Pourquoi tu ne m’as pas réveillé.
Je lui criai de colère : PARCE QUE J’AI MAL AUX SEINS.

Il se leva  et me scruta.

Karim : comment ça tu as mal ? Depuis quand ?

«  Je sentais de petites douleurs depuis quelques jours maintenant mais là ça continue et Karim j’ai peur »

Karim : hey viens la… de quoi t’a peur ?

Je m’approchai de lui et me blottit dans ses bras : ce n’est pas normal d’avoir des douleurs la bas en plus bb tête toujours …

Karim : laisse-moi toucher

Il le palpa un moment puis je le vis se crisper quand il atteint une boule que j’avais crue normal…

« Aie »

Karim : prépare toi je t’amène à l’hôpital.

Vu son visage il était paniqué mais ne voulais pas me le montrer. Je me préparai donc puis on se dirigea à la clinique de l’amitié. Il n’avait rien dit pendant tout le trajet et je le comprenais, il était paniqué et aussi stressé que moi. Heureusement que le petit était avec nous car sinon, l’attente aurait été beaucoup plus stressante.
Nous arrivions très vite à la clinique. Heureusement qu’il n’y avait pas beaucoup de monde car le docteur nous avez vite reçu. Il m’avait demandé de me déshabillé et Karim avait été autorisé à venir avec moi. Il pratiqua ainsi une mammographie et quelque minute plus tard, me demanda de me rhabiller.

Docteur : madame vous avez des boules contiguës au niveau des deux seins. Ce sont des nodules mammaires. Vous les avez depuis longtemps mais vous ne vous en êtes rendu compte que maintenant à cause de l’allaitement.

Karim : docteur j’espère que ce n’est pas grave ?!

Docteur : non ce n’est pas grave pour le moment. C’est juste des nodules. Mais il va falloir l’enlever par une opération. Et le plus tôt sera le mieux.

Quand J’avais entendu le mot opération je fus comme abattue.

Karim : il n’y a pas une autre solution ?

Docteur : non monsieur l’opération est plus sûr en ce moment. Et elle doit le faire rapidement. Mais madame ne vous faites surtout pas de souci. C’est juste une intervention très simple sans risque. Avec seulement quelques jours de convalescence et c’est tout. En tout vous ne resterez pas plus d’un mois chez vous. Et vous pouvez rentrer  le même jour auprès de votre famille.

« Ok qu’est ce qu’on doit faire alors ? »


Docteur : vous allez prendre rendez-vous à l’hôpital le DANTEC ou il y a un excellent médecin qui traite ce genre de maladie.
Karim : docteur je veux que ma femme soit dans de bonnes conditions soit ce que vous pouvez nous recommander une clinique spécialisée ?

Docteur : oui bien sûr si vous pouvez payer une certaine somme je vous recommande docteur WILSON. Voici son numéro.

Il lui tendit une fille ou il avait griffonné le numéro du chirurgien ; on le remercia puis on prend congé. Sur la route mon fils s’était endormi et Karim et moi on ne disait rien.
C’est vrai que j’avais peur mais lui encore plus. Seulement il ne voulait  pas m’inquiéter davantage mais je le connaissais. Il me dit soudain…

Karim : tu as peur ?

« Oui »

Karim : ce n’est rien toi aussi tu as entendu le médecin ? Il dit que cela ne te prendra même pas un mois.

«  N’empêche que j’ai peur. »

Karim : bon d’accord. Demain on ira voir le docteur WILSON. Et on verra ce qu’il va nous dire. Plus tôt qu’on fera l’opération et mieux ce sera.

« : Ok »

Karim : j’ai aussi quelque chose à te dire

« : Vas-y »

Il avait soudain l’air pensif et un peu ailleurs. Il regardait la route pendant que moi je le regardais, un peu perturbé par les gazouillements de bébé.

Karim : maman a une tumeur au niveau des seins. Elle va se faire soigner en France mais personne n’est au courant seul toi moi elle et Astou.

«  Oh mon dieu ; c’est horrible. Pourquoi tu ne m’a rien dit ? Je savais qu’il se passait quelque chose. »

Karim : j’en e voulais pas t’inquiéter c’est pourquoi je t’ai menti sur la raison de son voyage avec Astou.

« Que Dieu fasse qu’elle se rétablisse vite.

Karim : amen.

Je me rendis compte qu’il avait gardé cela pour lui tout seul. En réalité, quoi que sa mère puisse faire, il l’aimait plus que tout et avait vraiment l’air perturbé par sa maladie. Je me rendis donc à l’évidence et remarqua que c’était surement la raison pour laquelle il s’inquiétait du diagnostic du médecin tout à l’heure.

J’avais également de la peine pour ma belle-mère, car après tout, je n’étais qu’un humaine et que quoi qu’elle puisse faire, je ne pouvais m’empêcher de prier pour qu’elle ait une meilleure santé, pensais je.

Comme convenu, Le lendemain matin on se dirigea vers la clinique mamelle. J’avais un peu le Trak mais mon mari était avec moi. Il était encore très tôt et nous n’avions pas emmené le petit avec nous.

Nous avions attendu une bonne dizaine de minute avant d’être reçu en premier par le docteur.

Karim : bonjour docteur, je vous présente ma femme nana et je suis Karim… nous vous avons appelé hier soir…

Docteur : ah ok je vois…

Le docteur était un blanc. Il avait l’air chaleureux et n’arrêtait pas de sourire. Je me sentais ainsi plus à l’aise comme ça…

Il me demanda de me déshabiller toujours devant mon mari et me consultât. Il prit en même temps les résultats de l’échographie et confirma ce que l’autre médecin avait dit.

Lui : vous avez des nodules mammaires bilatéraux madame. Et comme c’est écrit ici une opération s’impose le plus rapidement possible.

« D’accord docteur, quand ? »

Il consulta son agenda et quelques instant après me dit : si vous êtes prête on peut le faire le 22 décembre. C'est-à-dire dans 20jours
« : D’accord j’aurais peut-être l’occasion de fêter l’anniversaire de mon fils qui est le 20janvier.

Docteur : bien sur vous serez en pleine forme à ce moment-là.

Karim : c’est vous qui allez l’opérer ?

Docteur : oui

Karim : d’accord qu’est ce qu’on doit faire pour que vous l’opériez avant la date que vous avez choisi ?

Je ne comprends pas Karim voulait qu’on m’opère avant la date prévue, mais pourquoi ? Me demandais-je. Mais je ne disais rien, j’attendis de savoir où il voulait en venir.

Docteur : euh oui on peut le faire le 10 décembre c'est-à-dire dans 12jours.

Karim : d’accord c’est mieux parce que docteur ma femme oublie que c’est le 21 décembre son anniversaire. Et je voudrais qu’elle la fête en bonne santé.

Oh mon dieu j’avais complètement oublié. C’est vrai que m’on anniversaire c’était le 21. Moi qui me préparais à me disputer avec lui alors alors qu’il le faisait pour que je puisse ester en bonne santé le jour de mon anniversaire.

Docteur : d’accord donc on maintient le 10 donc. Vous êtes asthmatique, drépanocytaire, diabétique ?

«  Seulement asthmatique »

Docteur : vous n’avez pas une autre maladie à nous signaler ?

«  Non »

Docteur : ok on va vous faire une série d’analyse aujourd’hui pour voir s’il n’y rien mais sachez que vous ne serez pas vraiment en super forme le jour de votre anniversaire. Vous ferez juste attention.

«  D’accord »
On me fait ainsi des analyses beaucoup d’ailleurs, le médecin me prescrit quelques cachets pour apaiser la douleur jusqu'à l’intervention, puis on rendrait chez nous.

DANS LA TETE DE KARIM
Comme l’opération de nana était  dans quelques jours je ferais tout pour ne pas qu’elle en pense tout le temps ; je la connaissais.  Elle était de nature très peureuse et si elle stresse beaucoup selon le médecin elle risquait  d’être renvoyée le jour de l’intervention. Et donc, je ferai tout pour qu’elle stresse le moins possible.

Ma mère et Astou étaient donc parti en France pour le traitement de maman. Sokhna quant à elle passait tout le mois de décembre avec la famille de sa mère qui se trouve aux parcelles.
J’avais pris 1 mois de repos et je me permettais ainsi de travailler de temps en temps à la maison. J’avais décidé d’aller passer semaine à Mbour avec ma femme histoire de la divertir un peu.

Et donc, on venait de faire l’amour quand je lui annonçais la nouvelle…

«  Bbc»

Nana : humm

«  Je veux qu’on passe une semaine à Mbour dans la maison de papa qui se trouve la bas. »

Nana  toute contente : c’est super on part quand ?

«  Demain matin »

Nana : mais Karim fallait me le dire plus tôt pour que je me prépare. Et junior ?

«  Junior reste et stp pas de protestation. On le confie à Ndeye et on y va »

Nana : je refuse de donner mon fils à cette fille. Elle va le tuer le mal traiter…

«  Nana arête elle ne va rien faire c’est son neveu après tout. Et elle n’est pas aussi méchante que tu le penses. »

Nana : …

«  C’est juste une semaine loin de tout et de tout le monde. »

Nana : bon ok mais je vais appeler mon fils tous les jours pour voir comment il va.

«  Fait comme tu veux mon cœur. »

Nana : il faudra  donc faut que je me lève vite pour préparer nos habits… et tout mettre en place pour bbc aussi… oh Karim pourquoi tu attends au dernier moment pour me le dire ?

Elle allait se lever quand je l’attirail  vers moi. « On n’a pas besoin de beaucoup d’habit toi et moi on sera nus toute la semaine. On ne fera rien à part manger, piscine et faire l’amour »

Elle me chuchota : tu veux me tuer c’est ça ?

On éclate de rire tous les deux puis on reprit notre activité habituelle ;

Ce n’est que vers 3h plus tard qu’on se leva pour préparer nos bagages. J’avais déjà averti Ndeye qu’on allait la confier le petit et elle était aux anges. Heureusement que junior ne faisait pas trop d’histoire et qu’il ne tétait quasiment plus. Pensais-je.

On prit  notre douche ensemble. Comme toujours c’est elle qui me sortit les habits que je dois porter. J’avais tellement la paresse de le faire qu’elle s’en chargeait toujours avec beaucoup de plaisir. Ce qui fait que depuis qu’on était mariés, j’avais un autre style… toujours classe et elle s’assurait que je sois correcte à n’importe quelle circonstance.


Elle me sortit donc un Lacoste et un jean accompagné des mocassins qu’elle m’a acheté le jour de notre anniversaire de mariage.

Elle opta pour une robe bleue un peu courte d’ailleurs et des nus pieds. J’aimais tout ça mais… c’était trop sexy. Je l’interrompis avant qu’on ne sorte.

«  LI NGA SOL FOUMOU DJEUM ? (tu vas ou avec ce que tu portes la ?) »

Nana : mais c’est assez long pour sortir ah toi aussi pas d’histoire…

Elle était sur le point de sortir  sans accorder de l’importance à ce que je lui ai disais.  Comme elle était têtue je comptais lui montrer que je l’étais plus.

« Tu ne sors pas comme ça. J’attends que tu te changes.

Elle soupira puis riait : bon je l’enlève

Elle mit à la place,  un jean tellement serré que je me disais comment elle allait faire pour marcher. Assorti d’un haut très mignon et classe que j’adore d’ailleurs. Je me tu sur le jean serré avant qu’elle ne s’énerve.

Ainsi on descendit avec peu de bagage comme je l’avais dit. Bbc était déjà avec Ndeye et quand on est entré dans sa chambre pour les dire au revoir elle l’avait mis derrière son dos

«  Ndeye on part comme ça. Et merci de garder le petit pour nous »

Ndeye Fatou : non ce n’est pas grave toi aussi c’est le minimum. Comme je suis en congé je peux bien m’occuper de mon neveu.

Nana : merci de t’en occuper. S’il a faim lui donne son biberon celui qui est dans sa chambre. Tous les soirs tu lui donne la bouillie de mil que Mimoun (la bonne) lui prépare. S’il a la fièvre donne lui le sirop qui se trouve à mon chevet. Et s’il ne dort pas la nuit appel nous je lui parlerai.

Ndeye : lolou nana on dira que vous partez pour des années. Rire ne t’inquiète pas. Partez tranquille et amusez-vous bien.

On partit donc avec la voiture de ma femme. Elle était un peu inquiète mais je la rassurais très vite.

On arrivait ainsi à Mbour une heure plus tard… ma femme découvrit la maison et était aux anges. On s’installa  dans la chambre principale ou tout était prêt pour notre arrivée. Il y avait une grande piscine.
Nous avions donc  passé le reste de la journée à dormir et à faire l’amour. On n’en avait jamais assez. Il nous arrivait même de faire l’amour dans la piscine pendant la nuit lolou. Il faisait un peu chaud à Mbour mais la nuit il faisait froid. Le gardien s’assurait de réchauffer la piscine toujours avant d’aller dormir.

De temps en temps nana appelait à la maison pour parler à junior ; il fallait entendre leur conversation c’était à tomber par terre. Mon fils parlait maintenant même si ce n’est pas bien compréhensible.
Quand sa mère lui parlait Ndeye disait qu’il souriait presque le restant de la journée.

Un jour où il n’avait pas arrêté de pleurer, Ndeye nous avait appelés en plein milieu de la nuit. Mais il suffisait qu’il entende la voix de sa mère pour s’apaiser. Et quand nana avait commencé à chanter, il avait aussitôt arrêté de pleurer. C’était là que je me rendis compte de ce lien si fort qui existait entre une mère et son enfant. 

A part ce petit caprice de notre fils, nous passions d’excellents moments dans cette grande maison. Et donc, pendant toute la semaine, j’avais fait en sorte qu’elle ne pense à rien d’autre qu’à ce que je lui faisais. Elle était de plus en plus délicieuse et j’avais toujours envie d’elle en rentrant à la fin de la semaine…

Plus on approchait de la maison et plus je la sentais se crisper un peu. Normal, son opération approchait.

On se gara devant la maison et je vis son air triste…

« Hey regardes moi… »

Elle se tourna vers moi…

« C’est quoi cette tête ? »

Nana : j’ai peur…

« Rire bon, j’ai envie de faire une bêtise… et si on allait se faire tatouer ? »

Elle fronça les sourcils : quoi ???

Je ne répondis pas, je démarrais la voiture, direction la clinique. Bien sûr je savais qu’elle ne me croyait pas mais j’avais réussi à revoir son sourire…

Nana tu es fou tu sais…

« Haha haha on verra… »


NANA

Au moment d’arriver à la clinique qui faisait des tatouages, je n’en croyais toujours pas mes yeux. Mais mon mari n’avait pas hésité et comme il l’avait dit, il avait demandé à faire un tatouage. Je le suivais toujours amusé par la folie qu’il était sur le point de faire.

Devant le docteur, il lui dit de lui faire un tatouage. Je riais toujours quand il écrivait ce qu’il voulait. Mais quand le docteur finit et que je vis les initiales Sdk (nana et Karim) j’avais crié de stupeur…

« Lahilaaaa je te jure tu es fou… »

Il se tourna vers moi : à ton tour maintenant…

Je voulais fuir mais il me retint fermement devant le docteur qui riait de cette scène. J’avais donc tout fait pour ne pas me faire tatouer par peur de ces aiguilles…

Il m’avait ainsi montré qu’il sera toujours là et que le temps d’une semaine j’avais tout oublié.

.
.
.
.

La veille de mon opération, on passait la nuit tous les trois : mon fils Karim et moi. J’avais besoin de les sentir à côté de moi. Et même si je n’étais pas arrivé à dormir, je pouvais sentir leur respiration à côté de moi. Ça m’apaisait.

On se réveilla donc très tôt et nous avions suivis l’instruction du médecin. Ne rien avaler avant de venir. Une fois à la clinique je me rendis compte qu’il était déjà venu et donc tout juste après notre arrivé, une infirmière m’avait demandé de la suivre. J’embrassai tendrement mon mari puis mon fils avant d’y aller. J’avais peur certes mais je savais qu’il était là pour moi et qu’à mon réveil je le reverrai.

C’est ainsi que je revêtis le vêtement que la jeune infirmière m’avait remis et quelques minutes plus tard, elle me demanda de m’allonger sur un des lit de la salle puis me fit une perfusion.

J’avais le cœur qui battait la chamade, mais quand l’anesthésiste vinrent enfin vers moi, je me souvins plus de rien. La dernière chose à quoi je pensais était mon mari et mon fils… et c’était tout ce qu’il y avait de positif dans ma tête.

A suivre

Continue Reading

You'll Also Like

212K 11.7K 44
Il a suffi d'un regard à Isaac Miller pour tomber sous le charme de Lev. Rongé par la timidité, il n'a jamais osé faire le grand saut. Cette dernière...
31.2K 4.3K 26
Sante Borom_Khelcom❣️ "Lui- Sokhna Maï ce qui nous lie ( lii nu bolé) ce n'est pas une question de tariha mais un amour pur et innocent qui grandi en...
702K 15.1K 66
« 𝐈𝐥 𝐲 𝐚𝐮𝐫𝐚 𝐭𝐨𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐦𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞́𝐜𝐫𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐟𝐮𝐭𝐮𝐫, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐠𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞𝐟𝐟𝐚...
539K 70K 53
Mère:mane mi sa ndéye guér bou sét wétt la sa baye di Khalif général kouli guér nga bone sa mbonou bop mala djépi* Amy: yaye mane Alassane thiam la b...