karim et nana

By NanaNiang2014

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Karim et nana More

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chapitre 31
chapitre 32
chapitre 33
chapitre 34
publicité chapitre 1 du tome 2 de brisee
chapitre 35
chapitre 36
chapitre 37
chapitre 38
chapitre 39 fin
TOME 2 en prepa...
hello guys
CONTINUITÉ...
Est ce que vous avez lu le tome 2????
BONNE NOUVELLE
NOUVELLE HISTOIRE
NOUVELLE HISTOIRE
Nouvelle histoire

chapitre 7

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By NanaNiang2014

Karim était un homme vraiment extraordinaire. Il était parvenu à me faire oublier le stress qu'avait généré notre mariage et donc, j'ai pu me détendre. Cela faisait maintenant une semaine qui nous étions dans cette maison et l'incident de la dernière fois ne s'était cependant plus reproduit. Je considérais cela comme un moment de faiblesse de notre part à tous les deux.

Il était ainsi très respectueux envers moi, se souciant de tout ce que je faisais et en même temps, très attentionné. Même avec cela, il émanait de lui une certaine retenue et depuis la dernière fois, on n'avait plus joué au tennis de table. De toutes les façons j'étais nulle dans ce jeu, pensais j'en souriant.

Il m'avait fait visiter la maison, et à chaque fois, je m'émerveillais devant tant de luxe. J'avoue que c'était bien la première fois que j'entrais dans une maison comme ça, et tous les jours donc, je découvrais quelque chose de nouveau.

Il avait appelé maman pour lui dire qu'il était satisfait de sa femme. Et que dès que possible il donnera le pagne traditionnel à Badiene Aïssatou. Maman était tellement heureuse et fière que je m'étais sentie mal. Mais bon, ils l'ont bien cherché pensais je, et d'un côté je ne me plaignais pas, car comme le disait Karim, à partir de maintenant, tout ce qu'on fera ou pas ne leur concernait plus...

C'était en quelque sorte la nouvelle résolution qu'on avait prise. Il m'avait donc acheté un nouveau telephone vu que celui que j'avais n'était pas en bon état. Quand j'avais voulu refuser, il avait insisté en me disant que c'était la récompense pour avoir réussi haut la main mon bac. J'avais fini par accepter et depuis, je ne m'ennuyais jamais. J'avais accès à toutes les applications dont Fatou nous saoulait tout le temps et je pouvais ainsi discuter avec Marième pendant toute la journée...

Cependant, malgré mon insouciance, quelque chose me tracassais : mon comportement envers mactar. Je ne lui avait même pas dis que je m'étais marié, laissant Marième s'en charger pour moi. En réalité, j'avais été une vrai conne sur ce côté, car j'aurais au moins pu lui faire part de notre marché avec Karim, pour qu'il comprenne que je vais bientôt lui revenir. Mais au fond de moi, je savais que je ne voulais plus être avec lui. Car bien avant tous ces problèmes de mariage, je ne me sentais plus à l'aise avec ses propos déplacés... j'ose espérer qu'il allait trouver quelqu'un de meilleur que moi.

Selon Marième, il était vraiment en colère, mais Fatou se chargerait de le rassurer.

« Eh bien, elle a le champs libre à présent... »Murmurai je, toujours dans mon lit alors que le soleil était bien haut dans le ciel.

Si c'était chez moi, c'est mon père qui allait se charger de me réveiller... juste parce qu'une fille ne dort jamais tard selon lui....

Je me levai donc de très bonne humeur car papa n'étais pas là et je me sentais plus libre que jamais. J'en profitai pour prendre une douche joyeuse, et après avoir fini, je me dirigeai vers le jardin pour appeler Matar, profitant du fait que Karim devait dormir encore...

Après deux à trois sonneries, il décrocha...

Mactar : allo

J'avais le cœur qui battait la chamade mais je pris sur moi avant de répondre : salut c'est nana.

Il était aussitôt sur la défensive : Nana ??? Pourquoi tu m'appelles ? N'est-ce pas que tu as déjà envoyé ta copine pour me parler non ?

Moi : je t'ai appelé pour te présenter mes excuses. Je devais te le dire moi-même mais je n'ai pas eu le temps tout est arrivé très rapidement et contre mon gré...

Mactar : oui c'est ça !

« : Mactar ni moi ni mon mari ne voulions de ce mariage... »

Il se mit à rire au téléphone avant de répondre : tu l'appelles déjà mon mari et tu me dis que vous ne vous aimez pas... arrête nana, ne me prend pas pour un idiot.

Je voulu le rassurer : écoute Matar, on s'est marié par contrainte. On n'a même pas consommé notre mariage...

Il m'interrompit : mais nana tu penses que tu parles a un enfant ou quoi ??? Pourquoi je devrais te croire hein ??? Tu es en lune de miel, et tout le monde sais que ton mari est fier de toi parce que ces genre de chose au Sénégal ça ne reste pas caché. Donc à quoi tu joues ma chère ??? Écoute je suis un homme franc et je te dis tout de suite que je n'ai rien à faire avec la femme d'un autre est ce que c'est clair.

Il me raccrocha au nez sans que je puisse terminer ce que j'avais commencé. J'étais soudain énervé... après tout, c'était son problème de toutes les façons, je n'étais pas vraiment amoureuse de lui, pensais je en verrouillant mon telephone. Mais en même temps, il m'avait fait un peu de peine et...

« Tu parlais avec qui ? »

La voix d'Abdou Karim me fit sursauter.

« Tu m'a fait peur. Je parlais avec... mon copain.... »

Il fronça les sourcils : ton copain ??? Tu oublies que tu es mariée ? Donc plus de copain à ce que je sache...

Moi : on a un accord et je n'appelle pas ça un mariage.

Lui : je ne veux plus que tu parles à un mec de si oui ou non on a consommé notre mariage.

Je rêve ou monsieur est jaloux ?

Moi : et pourquoi pas ?
Il se mit soudain à crier, me faisant un peu peur : PARCE QUE CA PEUT FOUTRE EN LAIR NOTRE PLAN BON SANG. SI TU LE DIS A TON MEC QUI VA LE DIRE A SA SŒUR QUI LE DIRA A UN AUTRE ET AINSI DE SUITE. TU PENSES QUE LES PARENTS SONT FOUS. EN PLUS NOUS SOMMES MARIEE NANA ET TU N'A PAS LE DROIT D'AVOIR UN COPAIN ALORS QUE...

Je l'interrompis sur le même ton : ... ENCORE UNE FOIS, JE N'APPELLE PAS CA UN MARIAGE MOI...

Karim : tu veux un vrai mariage c'est ça ? D'accord.

Il s'approcha de moi et me pris violement la main, alors que je me débattais : laisse-moi Karim tu me fais mal !

Karim : tais-toi et suis moi tu ne diras plus aux gens qu'on n'a pas consommé notre mariage.

Le temps de comprendre ce qu'il disait, j'étais déjà dans sa chambre et il ferma la porte à clé. Je commençais à avoir peur. Je ne le reconnaissais pas je ne le reconnaissais plus. Il m'avait jeté sur le lit et m'ordonna de me déshabiller.

Je m'éloignai de lui : QUOI ????? NON !!!!!

Karim, sur le ton de la menace : tu vas te déshabiller je suis ton mari et j'ai le droit de faire tout ce que je veux avec ton corps.

Moi : non mais tu es fou ou quoi ?

Je me levai tout à coup et me sentant humiliée, lui avait donné une bonne gifle. Il écarquilla les yeux, de surprise... oui, il ne s'attendait pas à ça. Et ainsi, je me sentais forte et puissante ... je me mis à crier : TU PENSES QUE TU PEUX ME TRAITER COMME TES P... ???? TU PENSES QUE JE SUIS L'UNE D'ENTRE ELLES ???HEIN ??? MEME SI ON A UN ACCORD TU ME DOIS AUSSI DU RESPECT.... QU EST-CE QUE TU ALLAIS FAIRE ???? ME VIOLER ????

Il ouvrit grand les yeux pour répondre précipitamment : bon sang non, jamais !! Je suis désolé je ne sais pas ce qui m'a pris.... Je...

Il s'assit sur le lit à côté de moi et avait l'air désolé je le voyais sur son visage. J'avais un peu de peine pour lui car les remords couvraient son visage. En même temps, je ne comprenais pas cette subite colère. Et si cela avait continué, allait il me prendre de force ??? Je n'en savais rien. Moi qui avait pensé qu'il était différent et qu'il allait nous aider à sortir de ce trou, je m'étais rendue compte qu'il était juste un dictateur comme mon père. À un moment donné, je me suis sentie seule, abandonnée et cela, je ne l'avais plus ressentie depuis le jour où j'ai commencé à le côtoyer. Ainsi donc, j'étais un peu déçue et j'avais peur en même temps. C'est ainsi que mes larmes tombèrent sur ma joue.

Il s'approcha prudemment de moi : qu'est-ce que je peux faire pour que tu me pardonne nana ?

Je ne pouvais pas répondre car j'avais le coeur en mille morceaux. Il se leva s'approcha doucement de moi et se mit à genoux en face de moi, afin de mieux me voir : ne pleure pas s'il te plait...

Et sans crier gare, il me prit instantanément dans ses bras, il me caressait lentement le dos et On avait l'air d'un couple qui avait eu une petite dispute qui s'est vite arrangé...
On était resté sur cette position pendant plusieurs minutes et comme ça, il avait réussi à effacer toute la peine qu'il avait causé...

Quelques minutes plus tard, il se détacha doucement et s'assit à côté de moi. On ne se touchait pas mais nous étions assez proches pour sentir cette petite tension qui naissait entre nous. Et c'était à cet instant la que nos vies avaient changé à jamais.

Karim : il faut qu'on parle... ça commence à me pourrir la vie...

Je fronçai les sourcils, ne comprenant pas ce qu'il voulait. Mais je lui répondis quand même : parler de quoi ?

Il soupira légèrement, comme pour prendre de l'élan avant de commencer : je sais que tu vas dire que c'est insensé, que c'est bête et que ce n'est pas vraiment ce que je pense, mais ...

Il s'était arrêté, me faisant encore plus peur ; Je pensais à tout et à n'importe quoi en même temps, mais je décidai de ne pas le perturber et d'y aller à son rythme...

Il continua : bon, c'est un peu difficile pour moi-même si j'avoue que je n'avais jamais eu ce problème au pare avant. En fait, depuis que je t'ai vu le jour de notre mariage, ma vision de toi a complètement changé. Nous avons juste fais quelques jours dans cette maison, mais... je... je ne sais pas ce que je ressens mais c'est...

Il avait du mal à parler et moi aussi j'avais du mal à croire ce qu'il voulait me dire.

.... Ça fait maintenant plus d'une semaine qu'on est dans cette maison. Et je... je ne sais pas comment te le dire .

« Tu m'inquiète »

Il ne me regardait pas, il fixait juste un coin de la chambre : tu es une femme pieuse, calme et très simple. Tu es intelligente et très ambitieuse, la femme parfaite que tout homme aimerait avoir dans sa vie. En quelques jours seulement, je suis arrivé à connaitre à peu près quelle genre de perssonne tu est et je me suis rendu compte que tu es l'épouse qu'il faut à tout homme qui se respecte...

J'écarquillais les yeux, ne comprenant pas ce soudain revirement. Ce changement brusque. En même temps, je ne le reconnaissais pas. Voulait-il changer d'avis ? NON !!! Il n'avait pas le droit, pensais-je. Mais je le laissai quand même continuer.

Karim : ... on nous a réunis par obligation. J'ai accepté parce que je ne peux rien refuser à ma mère et toi tu as accepté pour le caractère tyrannique de ton père. Mais nana, te rends tu comptes que toutes les conditions sont réunis pour que nous soyons heureux. On fait tout pour trouver un moyen de sortir de ce mariage, et donc on ne voit pas tous les outils à notre portée qui pourraient nous permettre de rester heureux. Je t'ai emmené dans cette maison et j'avais pourtant juré que je n'y emmènerai personne d'autre à part la femme que je... bref... je n'arrive pas à bien m'exprimer et cela ne m'étais jamais arrivé au pare avant...avec une femme que je connais qu'il y a quelques jours seulement...

J'étais bouche bée et choquée en même temps : je ne sais pas quoi dire.

Karim : ne dis rien stp je sais que tu ne t'attendais pas à ce que je te dise une chose comme ça. Moi-même je ne m'y attendais pas.

Ce qu'il venait de me révéler avait tout changé dans mon esprit. Je me disais que les hommes comme lui, avaient plusieurs aventures et avaient toutes les femmes qu'ils désiraient. Je m'étais complètement exclu de ses préférences et de ses gouts en matière femme... c'était donc la raison pour laquelle j'étais surprise de sa révélation. Je ne pouvais pas lui demander si notre plan tenait toujours car en l'espace de quelques minutes, mon avis sur la question avait complètement changé. Quand je pense qu'avec lui, je suis plus libre que chez mon père.... mais étais ce suffisant pour avoir une vie d'amour dont je reve tous les jours ?

Il m'interrompit dans mes réflexions en me prenant automatiquement le bras, m'obligeant ainsi à le regarder...

Karim : dis-moi nana, je ne te forcerai à rien car je n'en ai pas le droit. Mais je voudrais que tu saches que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que ce mariage fonctionne ; Pour être clair, je ne veux pas divorcer dans trois mois. Et si tu es partante, je ferai tout pour que tu sois heureuse et comblée. Si toutes fois tu ne l'es pas dans trois mois, tu peux divorcer... tu seras libre et je ne t'en empêcherai jamais...

J'étais très surprise, mais pas confuse. Oui moi aussi j'avais commencé à développer quelque chose envers lui, et à chaque fois, je me disais que c'était dû au fait qu'on se côtoyait tous les jours ou que c'était ce corps d'homme viril...Enfin bref, la proximité aidant, il avait commencé à m'attirer. Qui ne serait pas attiré à un homme pareil, me demandais-je intérieurement.

Cependant, sa réaction et sa décision m'avaient touché. Il avait paru sincère et honnête. Je ne voyais pas l'intérêt qu'Il avait de me mentir sur ses sentiments subits alors qu'il avait la possibilité d'avoir toutes les femmes qu'il voulait. Je lui faisais donc confiance et commençais à baisser ma garde...

Dans un demi-sourire, je lui dis : tu veux dire que tu me demande en mariage ???

Il éclata d'un grand rire et me serra fort dans ses bras. Je n'avais jamais ressenti cela pour un homme, et Karim était tout simplement adorable. C'était bizarre, mais je me sentais en sécurité avec lui. Et il y avait un adage gui disais, il ne faut jamais juger quelqu'un sans bien le connaitre ; et c'était ce que j'avais fait. J'avais pensé que son arrogance et sa suffisance était le reflet de ce qu'il y avait dans son cœur, mais en moins d 'une semaine, je m'étais rendue compte du contraire. Et quand mes parents, dans le passé, parlait de la bonté de ce jeune homme, je ne les écoutais jamais, disant qu'ils étaient juste des ignorants, pensant moi-même le connaitre alors que non. A présent, je ne savais pas pourquoi mais je me sentais en sécurité avec lui. Oubliant l'incident d'il y a quelques minutes.

C'est ainsi qu'il me chuchota, comme s'il lisait dans mes pensées : je te protégerais contre tout et tout le monde.

Et sur ce il prit doucement mes lèvres explorant ma bouche et se mit à m'embrasser fougueusement. Il était fort sur ce domaine, ça je le reconnaissais.
Naturellement je répondais à son étreinte avec la même fougue... c'était tellement agréable que je ne me rendis pas compte qu'il avait commencé à me déshabiller. Il avait enlevé mon haut et s'était automatiquement mis sur moi... il était un peu lourd mais j'arrivais à supporter... je sentis donc, quelque chose de dure sur moi, à travers son pantalon, mais je n'y prêtais pas attention, du moins pas pour le moment. Ses gestes me rassuraient et cela me suffisait pensais je, en fermant les yeux, m'abandonnant à ses caresses.

Dans un demi-souffle il me demanda si j'étais prête. Ne comprenant pas tout de suite ce qu'il disait je fis oui de la tête. Mais ce que je ne savais pas c'est que j'avais signé mon arrêt de mort. Il commença à explorer tout mon corps avec sa langue. Il n'avait pas touché mes oreilles, c'était bon signe.

Il enleva le reste de mes habits et comme magie, je n'étais toujours pas alarmée. J'étais moi meme etonnée de la facilité avec laquelle il me mettait en confiance.

J'avais la tête ailleurs, je portais toute mon attention sur le plaisir que j'avais à être avec lui. Un moment je me sentis mal pensant que je faisais un péché, mais après tout, nous étions mariés, et je me laissais encore plus aller à ses bras. Je ne connaissais pas ce genre de contact et donc je gémissais doucement, provoquant chez lui un léger bruit d'homme en rogne...

Il enleva à son tour ses vêtements, et l'image de son torse musclé allait me faire fondre... quand il s'en rendit compte, il fit un léger sourire de satisfaction avant de se recoucher, cette fois ci à côté de moi, tout près de mon oreille, ses bras entourant mon ventre... il me chuchota : écoute moi nana je ne te forcerais à rien. Donc on peut attendre jusqu'au jour où tu seras prête pour qu'on passe à l'acte. Pour le moment on va juste jouer comme le font les grandes personnes d'accord ???

J'étais un peu rassurée, car comme il le disait, je n'étais pas encore prête... il continua : laisse toi faire....

Il commença à me mordre les lèvres et comme par magie il était de nouveau sur moi et me mordillait les seins... c'était tellement doux que j'en oubliais même mon propre prénom. Il descendit tout doucement jusqu'en bas... oh la honte ! Heureusement que je m'étais rasé le minou comme j'avais l'habitude de le faire toujours après mes menstrues.

A la vue de mon intimité, il eut encore beaucoup de courage.

Mais jusqu'à présent, je ne comprenais pas ce qu'il voulait faire avec sa langue et donc, je voulus me dégager quand il m'attrapa les cuisses pour m'empêcher de partir. Il mit sa langue sur mon intimité puis se mit à la lécher. Je fermai automatiquement les yeux, sentant à cet instant précis, un plaisir que je n'avais jamais connu...

Conscient de cela, Karim ne s'arrêta pas, et ainsi j'avais envie d'éclater. Je ne comprenais même pas ce qui m'arrivait. Je lui chuchotai : je vais crier...

Karim : crie autant que tu veux chérie...

J'étais sur le point de hurler de plaisir quand il se dégagea brusquement...

Surprise, j'ouvris les yeux : qu'est-ce que tu fais ?

Karim, sur le ton de la taquinerie : je t'ai dit que pour le reste on attendra que tu sois prête.

Moi : oh non non non tu vas continuer !!!

Karim : égoïste va. Allez couche toi on va dormir un peu avant le déjeuner.

Je n'arrivais pas à y croire. Je savais qu'il avait fait exprès de me chauffer. Et donc Frustrée, je lui tournai le dos, lui laissant mon derrière. De toutes les façons, j'étais prête à être avec lui, donc mieux valait continuer ce qu'il avait commencé, me disais je... mais Une minute seulement et il me sauta dessus de nouveaux.

Karim : tu fais exprès ou quoi ??

J'étais déterminée et je lui répondis sans broncher : je suis prête...

Moi-même je ne savais pas pourquoi je lui avais dit cela. Et pourtant je n'étais pas prête, car dans ma tête je me posai toute sorte de question : et s'il me quitte après avoir eu ce qu'il voulait ? Et s'il me déteste après m'avoir fait l'amour ? Et s'il décide de divorcer une fois les trois mois écoulés ? Devais-je lui faire confiance et lui donner mon corps ? Je ne savais pas, mais au fond de moi j'en avais envie, c'est pourquoi je m'étais laissée faire, bafouant d'un revers de main toutes ces questions...

À présent, j'étais toute nue, complètement à sa merci. Et pour me rassurer, il voulut me laisser lui enlever son pantalon, mais je tremblais tellement que je ne pouvais le faire. Il me prit la main et me fixa droit dans les yeux : hey écoute moi, détend toi ok ?

Je fis oui de la tête avant de le laisser l'enlever lui-même. J'aperçu brièvement son membre et j'eu un geste de recul. Mais quand il s'allongea sur moi et me mordilla l'oreille, j'oubliai tout...

Il dirigea délicatement son membre et voulut s'enfoncer quand il sentit une petite difficulté. Il était plus tôt excité et ne put se résoudre à attendre encore. Il s'enfonça tout doucement en moi, et c'est là que je sentis une douleur atroce m'envahir soudain. Je me cambrai avant de crier. Karim était resté sur cette position, bouche bée. Mais je l'encourageai à y aller franco, il fallait qu'on en finisse une bonne fois pour toute, et j'en voulais énormément à Fatou qui m'avait dit que s'il y avait des préliminaires, ça n'allait pas faire mal... et bien c'était faut...

Karim se mit donc à faire des vas et viens. Je retenais mes cris pour ne pas qu'il s'arrête, mais soudain, n'en pouvant plus, j'éclatais en sanglot, et il s'arrêta sur le coup. Il se retira doucement de moi puis se coucha sur le côté, me serrant dans ses bras. Il me chuchota : excuse-moi... je ne savais pas... je... je suis vraiment désolée. Shuuuut, calme toi je suis la...

Voila et il venait de me déflorer... avais je fais le bon choix ?

À suivre...

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