« Musique : Emir Kozcuoğlu – Toygar Işıklı »
-Moi : Mais c'est mon passeport !
-R : Putain !
J'suis choquée, j'ai mon passeport entre mes mains ! Depuis le temps que j'attendais ce moment !
Je me tourne pour regarder Rüzgar et il était entrain de se lever avec la couverture sur lui, et met en une seconde un vieux tee-shirt.
-Moi : Bulmussun.. Rüzgar pasaportumu bulmussun. (Tu l'as trouvé.. Rüzgar t'as trouvé mon passeport.)
-R : ..
Je souriais comme une gamine qui a trouvé son jouet. Vous pouvez pas savoir comment j'étais contente, j'ai enfin la chose la plus précieuse dans mes mains !
-R : Mavi..
-Moi : Oui ?
-R : Arrête.
-Moi : Arrête quoi ? Rüzgar t'as trouvé mon passeport, tu sais ce que ça signifie ça ? Je vais enfin rentrer chez moi !
Il reste silencieux. Pourquoi il parle pas ? Je reprends mes esprits un instant, et pose la fameuse question.
-Moi : Tu l'as trouvé quand ?
-R : ..
-Moi : Rüzgar cevap ver, ne zaman buldun ? (Rüzgar répond, tu l'as trouvé quand?)
-R, en s'approchant de moi : Bir ay oldu. (ça fait un mois.)
-Moi : Nee ? (Quoii?)
Attendez mais j'ai bien entendu là ?? Un mois ? Mon sourire s'efface d'un coup.
-Moi : Depuis un mois mon passeport est dans ton armoire ? Mais t'es sérieux là ?
-R : Ouais.
Il commence à m'énerver là.
-Moi : Tu pensais me le dire quand stp ?
-R : J'sais pas, mais pas aujourd'hui en tout cas.
-Moi : Tu te fous de ma gueule là, vallah tu te fous de ma gueule Rüzgar !
-R : « soupire »
-Moi : Ben burdan gitmek için gün sayiyorum, sende bir aydir bana yalan söyledin yaa ! (Je comptais les jours pour partir d'ici, mais toi depuis un mois tu m'as menti!)
-R : Putain elle recommence.
-Moi : Mais t'es qu'un connard en vrai !
-R, en s'avançant vers moi : T'as dit quoi là ?
J'ai pas peur de lui, j'suis trop énervée pour me concentrer sur les nerfs.
-Moi : T'as bien entendu !
-R : Bak sinirlendirme beni, yoksa fena olur ! (Enerve-moi pas, sinon tu le regretteras!)
-Moi : Mais qu'est-ce tu vas faire ? Tu peux rien me faire maintenant, j'me casse moi !
Je me tourne pour aller vers la porte mais il tient fortement mon bras et me retourne face à lui.
-R : Tu vas nulle part.
-Moi : Mais c'est pas toi qui décide, y'a plus rien qui me retient ici !
-R : Pour toi non, mais pour moi si.
-Moi : Neymiş ? (Et c'est quoi?)
-R : ..
-Moi : Pff vas'y tu soûles, lâche mon bras.
J'essaye de retirer mon bras mais il est déterminé à ne pas me lâcher. J'le comprends pas..
-Moi : Rüzgar biraksana beni ! Artik bitti, anlaşmayi unuttun mu ? Pasaportumu bulunca evime dönebilirim diye anlaşmiştik. (Rüzgar lâche-moi ! C'est fini maintenant, t'as oublié ta promesse ? On s'était dit que je pourrai rentrer chez moi dès que tu trouves mon passeport!)
-R : C'était avant ça..
-Moi : Nasil yani ? (Comment ça?)
-R : Si j'te dis de rester ici, tu restes ici !
-Moi : Mais pourquoi ?
-R : Pose pas de questions.
-Moi : Ya sen manyak misin ?! Gidecem diyorum ! (Mais t'es con ou quoi ?! J'te dis que je vais partir!)
J'essaye de me débattre mais impossible. Je déteste les hommes juste à cause de leur putain de force !
-Moi : Mais lâ..
-R, en me tenant par les deux bras : Eee yeter bee ! Şimdiye kadar sustum ama vallah bıktım şu çenenden ! Burda kaliyorsun diyorsam kaliyorsun ! (ça suffit putain ! J'ai fermé ma gueule jusqu'à maintenant mais vallah j'en peux plus de ta gueule ! Si j'te dis que tu restes là, tu restes là!)
-Moi : T'as pas le droit de me retenir ici !
-R : J'ai tous les droits moi.
-Moi : Non, pas sur moi !
J'essaye de me diriger une nouvelle fois vers la porte mais j'arrive pas putain, comment j'vais partir moi ?
J'le pousse du mieux que je peux mais il me plaque d'un coup contre l'armoire.
-R : Arrête !
-Moi : Non j'arrête pas, y'a quoi ? Je veux partir j'te dis ! Emmène-moi à l'aéroport merde !
-R : Hiç bir yere gitmiyorsun, hayal kurmayi birak ve pasaportunu ver ! (Tu pars nulle part, arrête de rêver et donne-moi ton passeport!)
-Moi : La blague, c'est le mien pas le tien !
-R, en criant : MAVI !
Il a crié tellement fort que j'ai sursauté. Depuis taleur il se retenait, il a explosé ça y'est.
-Moi : J'te donne pas.
Il serre sa mâchoire et regarde ma main qui tenait ma seule pièce d'identité pour m'aider à sortir de ce pays. Il prend ma main de force, si il croit que je vais me laisser faire, il se trompe. Je lui donne tout de suite un coup entre ses jambes..
-R : « se plie en deux » Pu..
En voyant ses yeux hyper flippants, j'ai compris que je suis dans la merde ! Putain Mavi, cours !
Je sors tout de suite de la chambre et cours en direction des escaliers. Un instant, je remarque Cathie sortir de sa chambre. Elle sort toujours quand il le faut pas elle.
-Ca : Il se passe quoi ?
Il se passe quoi ? Tu vois pas que je suis entrain de m'échapper de Rüzgar sale conne?!
Je descends vite des escaliers et me dirige vers la porte d'entrée.. mais en même pas une seconde je me sens retournée rapidement.
-E : N'oluyoo Rüzgar ?? (Y'a quoi Rüzgar là??)
Mes larmes montent en voyant le visage noir de Rüzgar juste à quelques centimètres du mien. Moi qui voulait partir d'ici à tout prix, c'est raté..
-R : La vie de moi tu mérites des baffes dans ta grosse gueule !
-Moi : Rüzgar n'olur birak beni. Ben senden kurtuluyim, sende benden kurturlursun işte. Daha niye tutuyorsun beni burda, anlamiyorum ki ?! (Rüzgar je t'en supplie lâche-moi. J'serai débarrasée de toi, et toi de moi. J'comprends pas pourquoi tu me retiens encore ici?!)
-R : Viens-là !
Il me tire vers le haut en tenant mon bras, j'étais obligée de le suivre. Plus j'essaye d'utiliser ma force, et plus il serre mon bras.. je vous mentirai si j'vous dis qu'il ne me fait pas mal.
Arrivés dans sa chambre, il se tourne vers moi.
-R : Tu me le donnes ou je le prends ?
Il parle du passeport que j'ai toujours en main.
-Moi : Mais pourquoi tu me laisses pas partir ?
-R : JT'AI POSE UNE QUESTION !!!!
Je secoue ma tête de droite à gauche pour dire non.
-R, en serrant mon bras : T'es sûre ?
-Moi : Tu me fais mal, arrête.
-R : Ver ozaman Allah'in cezasi ! (Donne-le moi alors la putain de ta race!)
-Moi : ..
Voyant que je réponds pas, il prend ma main rapidement et arrache mon passeport de ma main.
-Moi, en le frappant : Hayvan herif, versene ! (Sale connard, donne-le moi!)
-R : Düzgün konuş, bir daha uyarmam bak ! (Parle correctement, j'te préviendrai plus!)
-Moi : J'ai juré t'es qu'un bâta..
J'ai même pas pu finir mon mot qu'il pose sa main sur ma mâchoire, et la serre.. ça me fait rappeler les premiers jours, il est redevenu comme avant..
-R : Bir daha bir kelime söylersen, söylediğine pişman ederim seni ! Anladin mi ?? (Si tu dis encore une fois un mot, j'te ferai regretter de l'avoir dit ! T'as compris??)
-Moi : ..
-R : ANLADIN MI DEDIM ?? (T'AS COMPRIS??)
J'ai l'impression qu'il allait casser ma mâchoire si il continue de la serrer autant. Mes yeux étaient remplis de larmes, je les retenais pour ne pas pleurer à côté de lui mais j'avais tellement mal physiquement que je voulais craquer.
J'hoche ma tête légèrement, et il me lâche enfin.
-R : Reste tranquille si tu veux pas retrouver les cordes !
Et il sort de la chambre en fermant la porte à clé. Noonn putaain, pas encore une fois ! J'avais tellement les nerfs que j'avance vers la porte et lui donne des coups !
-Moi : Hakkin yok buna Rüzgar ! Beni burda tutamazsin ! Pislik ! (T'as pas le droit Rüzgar ! Tu ne peux pas me retenir putain ! Connard!)
Et je pleure. Mes larmes coulent sans cesse, moi qui pensait enfin retourner chez moi, bah c'est mort. J'étais tellement contente dès que je l'ai vu, j'me disais « ça y'est, je vais enfin revoir ma mère et partir de ce lieu maudit », mais j'ai pensé trop vite. J'ai volé dans les airs rapidement, pour retomber à la réalité d'un coup. Comme je te déteste Rüzgar, t'es la personne que je déteste le plus dans ce monde !
Du temps passe, j'étais assise sur le sofa et n'arrêtais pas de regarder son lit. Y'a quelques minutes, j'étais entrain de lui faire un massage comme une conne. J'suis une bonne à rien enfaite, il a fait que de m'utiliser pendant tout ce temps, et surtout aujourd'hui. Pourquoi je n'ai pas fouillé ses affaires un jour, pendant son absence ? J'sers à rien vallah.. Je sers à rien mais il me retient encore pour je ne sais quelle raison.
-Moi, en mettant mes mains sur mon visage : Oof çildiracam ! (J'vais devenir folle putain!)
Je me lève et fais le tour dans la chambre. Je fouille son lit, mais y'a rien. Sa commode, et trouve.. un paquet de capotes.
-Moi : Tövbe tövbe.. (Starfoullah..)
Je ferme tout de suite le tiroir, et va ouvrir son armoire. Je vois des habits, des habits, et une menotte.
-Moi : Mais qu'est-ce qu... Allah'im kurtar beni bu sapikdan ! (Mon Dieu sauve-moi de ce pervers!)
Il s'est cru dans les 50 nuances ou quoi lui ?! Cathie m'a fait de la peine d'un coup.. quoi que, si elle restait avec lui, ça veut dire qu'elle aimait ça. Vas'y arrête de parler Mavi, tu commences à perdre le cerveau là.
J'avais peur de continuer à regarder son armoire maintenant. J'vais trouver des objets de partout je crois..
Mais quelque chose attire mon attention. Curieuse que je suis, je tends ma main en-dessous d'un pull, et trouve.. une arme.
J'entends le verrou de la porte, et je sais pas pourquoi mais je prends l'arme dans ma main et la place derrière mon dos.
La porte s'ouvre, et Rüzgar entre.
-R, en voyant l'armoire ouverte : Tu fais quoi là ?
-Moi : ..
Il remarque ma main derrière mon dos, et soulève un sourcil. Il a compris ?
-R, en s'approchant de moi : Pourquoi tu restes pas à ta place ?
-Moi : Yaklaşma. (T'approche pas.)
-R : Yoksa ne ? Öldürecek misin beni ? (Sinon quoi ? Tu vas me tuer?)
Ok il a compris. Pas besoin de cacher encore plus, je pointe mon arme sur lui mais il continue toujours de s'approcher de moi.
-Moi : Yaklaşma dedim ! (Ne t'approche pas jt'ai dit !)
-R : Bah vas'y tue-moi !
-Moi : ..
-R : Tu me détestes non ? Tue-moi alors pour qu'on en finisse !
J'peux pas prendre la vie d'une personne comme ça. J'suis pas aussi cruelle que lui, seul Dieu a le droit de mettre fin à notre vie.
-Moi : Ben sadece burdan gitmek istiyorum ! (Je veux seulement partir d'ici!)
-R : Birakmiyorum. Burda benimle kalicaksin ! (J'te laisse pas. Tu restes ici avec moi!)
-Moi : Ama neden ? (Mais pourquoi?)
-R : çünkü ben böyle istiyorum ! (Parce que moi je veux comme ça!)
-Moi : Mais c'est ma vie merde, je fais ce que je veux !
Il continue de s'avancer, et s'arrête au moment où l'arme se pose sur son torse.
-R : Si tu veux plus me voir, il suffit de tirer.
Il est sérieux ? Mais c'est quoi cet homme ?!
-Moi : Hiç mi korkmuyorsun yaa ? (Mais t'as pas peur?)
-R : Ölümden korkmam ben. (J'ai pas peur de la mort moi.)
-Moi : T'es vraiment anormal.
-R : ..
-Moi : Rüzgar, complique pas les choses. Donne-moi mon passeport, je m'en vais et tu me verras plus, tu m'entendras plus.. plus rien !
-R : Ferme ta gueule et tire putain !
Ma respiration s'accélère, il me défiait tellement du regard.. mais je peux pas. Je baisse mes bras, et il prend direct l'arme de mes mains.
-R : Bir daha cesaret edemeyeceğin şeyleri yapma. (La prochaine fois, ne fais pas des choses que tu n'oseras pas.)
-Moi : Niye beni birakmiyorsun söyle ? (Pourquoi tu me laisses pas, dis-moi?)
-R : ..
Il me regarde quelques instants, et ferme l'armoire, puis va fermer la porte à clé.
-R : J'veux plus t'entendre.
Il faisait nuit, et je suppose qu'il vient dormir. Il s'allonge sur son lit, tandis que moi je regarde le ciel par la fenêtre. Impossible que je m'enfuis d'ici cette nuit, il ne va pas dormir je le sens. Et de toute façon même si j'essaye quelque chose, il va le remarquer et va s'énerver encore plus. Je vais finir attachée dans la salle de bain sinon.. Je le connais à force.
Le mieux, c'est de m'assoir sur le sofa et penser. La nuit porte conseil comme on dit.
Le lendemain matin, j'me réveille seule dans la chambre. Cette nuit j'ai pris la décision de m'enfuir d'ici même si j'ai pas mon passeport. Je peux plus faire confiance à Rüzgar, je ne sais pas ce qu'il veut ! Il me retient de force ici sans me dire le pourquoi du comment. Impossible que je reste encore une seconde ici, j'préfère aller aux flics. Même si il m'a dit de me méfier d'eux aussi, mais je m'en fou, je ne veux plus l'écouter.
Je vais laver mon visage dans la salle de bain, et la porte s'ouvre. Ah, elle n'est pas verrouillée alors.
-.. : Chouchou ?
Il manquait plus qu'elle..
-Moi : Il n'est pas là.
-C : Ah, il doit être en bas alors.
-Moi : Cathie, elle est où Betül ?
-C : Avec son frère. Enes la lâche pas, avec Rüzgar ils l'ont interdit de te voir.
-Moi : Pff.
-C : Tu veux partir c'est ça ?
-Moi : Oui ! J'en ai marre de rester là, j'te jure que j'envie Célia là. Au moins elle est dehors.
-C : Hm..
-Moi : Tu peux pas m'aider stp ? Je sais pas quoi faire !
Je demande de l'aide à la mauvaise personne peut-être, mais qui ne tente rien, n'a rien.
-C : J'peux rien faire moi, si Rüzgar entend, je serai dans la merde.
-Moi : Stp Cathie ! J'ai trop besoin d'aide !
-C : ..
-Moi : « supplie du regard »
-C : Bon d'accord. Je vais demander à un gars en-bas.
-Moi : Quel gars ?
-C : Le gars.. tu sais comme Rüzgar me touche plus, j'passe mes nuits avec un de ses hommes dans le garage.
-Moi : Euh.. ouais ok, je m'en fou. Je veux simplement que tu m'aides !
-C : Je vais essayer. Pas seulement pour toi, mais pour moi aussi. J'en ai marre de voir mon chouchou à côté de toi.
-Moi : Arrête avec ta crise de jalousie, aide-moi à partir d'ici alors pour l'avoir que pour toi !
Et elle part. Elle est folle de penser encore qu'il y a quelques choses entre lui et moi. Je me vois vraiment pas avec un sans cœur comme lui !
Je vous passe jusqu'à l'après-midi, je n'avais pas vu Rüzgar de la matinée. Je trouvais ça bizarre qu'il n'est pas venue me voir alors que la porte de la chambre n'est pas fermée à clé. J'peux m'enfuir enfaite.. quoi que, il y a ses hommes partout devant la maison pff.
La porte s'ouvre de nouveau, et Cathie fait son apparition avec un mec. Il avait un gros sac de poubelle dans sa main.
-C : C'est l'heure ! Comme il y a personne dans la maison, c'est le bon moment.
-Moi : Sérieux ? Mais les hommes dehors ?
-Mec : J'vais te mettre dans le sac à poubelle là, comme ça ils vont croire que je vais jeter la poubelle.
-Moi : Ok, t'as pas trouvé une meilleure idée ? Vous me traitez d'ordures là !
-C : Bah t'en es une.
-Moi : T'es sérieuse là ? Regarde-toi d'abord, toi c'est pire t'es une..
-Mec : Oh c'est bon, faut grouiller là !
Sans attendre, il me met dedans le sac. Heureusement je suis petite lol. Ça me plaît vraiment pas ce type de situation mais pour m'enfuir j'suis obligée.
Des minutes passent, et je suis toujours dans ce sac.. Il me porte sur son épaule lol, j'crois qu'il a dit aux personnes qui ont demandé que c'était un vieux objet.
Au bout d'un moment, je sens qu'il me pose parterre, et je vois enfin le ciel.
-Mec : Vas'y sors.
-Moi : On est où ?
-Mec : A 100 mètres de la maison, fais ce que tu veux maintenant. Mais fais attention de ne pas te faire remarquer, la maison est juste là hein.
-Moi : Dac merci beaucoup ! J'oublierai jamais ton service !
Je lui souris, et me tourne pour partir. J'étais enfin libre, j'suis trop contente !!
-Mec : Attends !
Et.. je reçois un gros coup sur ma tête, puis trou noir.
**
A la base j'avais vraiment pas envie d'écrire, j'avais la flemme mdr. Désolée si vous la trouvez un peu courte par rapport aux dernières parties, mais j'ai quand même bien écrit en 3h j'trouve, malgré que l'ordi s'est éteint et que j'avais pas sauvegardé le fichier pff. En tout cas, la longueur est la même que les premières parties de l'histoire.
Alors que va-t-il se passer par la suite ? Aimez&Commentez !
Concernant la suite, je vais essayer de l'écrire dans la semaine mais pas sûr, sinon elle sera pour le week-end prochain au plus tard. Merci beaucoup de votre patience ! Gros bisous !💙