LOVE IN RED // Charles Leclerc

Per njhxlively

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« Personne ne sait ni quand, ni comment l'amour ou la foudre vont tomber, mais tout ce qu'on sait, c'est que... Més

Zéro.
Un.
Deux.
Trois.
Quatre.
Cinq.
Six.
Sept.
Huit.
Neuf.
Dix.
Onze.
Douze.
Treize.
Quatorze.
Quinze.
Seize.
Dix-sept.
Dix-huit
Dix-neuf.
Vingt.
Vingt-et-un.
Vingt-deux.
Vingt-trois.
Vingt-quatre.
Vingt-cinq.
Vingt-six.
Vingt-sept.
Vingt-huit.
Vingt-neuf.
Trente.
Trente-et-un.
Trente-deux. 🔞
Trente-trois.
Trente-quatre.
Trente-cinq.
Trente-six.
Trente-sept.
Trente-huit.
Quarante.
Quarante-et-un.
Quarante-deux.
Quarante-trois.
Quarante-quatre.
Quarante-cinq.
Quarante-six.
Quarante-sept.
Quarante-huit.
Quarante-neuf. 🔞
Cinquante.
Cinquante-et-un.
Cinquante-deux.
Cinquante-trois.
Cinquante-quatre.
Cinquante-cinq.
Cinquante-six.
Cinquante-sept.
Cinquante-huit.
Cinquante-neuf.
Soixante.
Soixante-et-un.

Trente-neuf.

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Per njhxlively

Nora Wilson.
| Monaco. Lundi 7 Août 2023. |

Depuis dix minutes, je suis assise sur la banquette de mon dressing, en sous-vêtements et fixe mon dressing comme si ma recherche de tenue allait se faire toute seule. J'ai bon espoir d'avoir une illumination soudaine mais après cette journée, j'ai bien peur de ne pas avoir suffisamment de force pour cela. Pourtant, il va bien falloir que ça arrive parce que c'est ce soir que je rencontre la maman de Charles. Cette dernière a d'ailleurs refusé que l'on ramène le dessert, elle a prétexté qu'elle avait déjà commandé une tarte tropézienne pour nous empêcher de le faire. Pour compenser, je n'ai pas pu m'empêcher de passer chez le fleuriste afin d'acheter un bouquet de fleurs colorées. Je ne sais pas si c'est la meilleure idée que j'ai eu étant donné qu'ils partent d'ici quelques jours en Sardaigne mais je suis déjà bien stressée alors je ne me voyais pas arriver les mains vides, surtout pour une première rencontre.

Après quelques minutes, je reprend mes recherches de tenues idéales pour finalement choisir une simple paire de jeans clairs à coupe droite avec un simple haut blanc. C'est simple mais au moins, je suis sûr de ne pas me tromper. Une fois ma paire de sandales à talons noué à mes pieds, je prend mon téléphone qui vient de sonner pour y jeter un coup d'œil. J'ai un message auquel je m'empresse de répondre.

De Charles à moi_
J'espère que tu es prête. J'arrive ♥️

Nous n'avons pas trop eu le temps de discuter par message aujourd'hui. Il a passé sa journée sur son bateau avec tous ses potes, ils ont probablement dû bien profiter mais je sais qu'il ne va pas lui falloir très longtemps pour arriver alors je m'empresse de me parfumer et de me faire une retouche maquillage à travers le miroir avant de récupérer mon sac, mes clés et le bouquet que j'avais mit dans l'eau pour descendre au pied de l'immeuble. Je patiente un instant en jetant un coup d'œil à mon téléphone pour répondre au dernier message de mon meilleur ami avant de voir une Ferrari Pista488 au couleur monégasque apparaître au loin. Arrivée à ma hauteur, il se gare en double file et se contente simplement de baisser la vitre en me faisant un large sourire, ses lunettes de soleil sur le bout du nez.

Charles - Je vous amène quelque part, mademoiselle ?
Moi - Ça dépend, je rigole. Dans quelle direction allez-vous ?
Charles - Sur les hauteurs de Fontvieille.
Moi - Moi aussi ! Quelle coïncidence !

Il rigole et déverrouille la porte en remontant la fenêtre pour me laisser enfin m'asseoir à ses côtés en veillant à ne surtout pas abimer le bouquet que je place sur mes genoux.

Charles - Jolie bouquet !
Moi - Tu penses que ta mère va aimer ?
Charles - Elle va adorer ses fleurs mais elle va t'aimer encore plus, bé' !

Il penche sa tête vers moi et me vole un baiser avant de se remettre en route dans les rues chargées de la principauté.

Charles - T'as passé une bonne journée ?
Moi - Ça va, et toi ? Les garçons vont bien ?
Charles - Ils vont bien et ils te passent le bonjour ! J'ai passé une bonne partie de la journée avec eux et ensuite, je suis rentré et j'ai commencé ma valise en pensant que j'allais partir sans toi.
Moi - Tu as pensé au fait que tu allais m'abandonner à partir de mercredi, c'est ça ?
Charles - Je pourrais te faire une petite place dans ma valise, tu sais ?

Son regard croise le mien, comme si il cherchait à capter ma réponse. Il va passer une semaine avec sa mère et ses frères, je n'ai pas envie de m'incruster. Ça ne fait pas longtemps que nous sommes ensembles et même si je suis folle de lui, je pense que ça serait très mal venue de ma part de m'incruster pour leurs vacances familiales.

Moi - Mon frère revient de Toscane en fin de semaine et on a prévu de se faire une grosse journée shopping avec Livia alors si ça peut te rassurer, je ne serais pas seule.
Charles - C'est pas grave, il hausse les épaules. Mais j'ai pas dit mon dernier mot, sache-le !

Je rigole en attrapant sa main libre dans la mienne. Il enlace ses doigts au mien tout en gardant un œils sur les routes sinueuses des hauteurs de la principauté qu'il emprunte depuis son plus jeune âge pour arriver jusqu'à fontvieille, le quartier où vit la maman de Charles. C'est un quartier que je ne connais pas encore particulièrement. Je passe par là uniquement lorsque je traverse le port de plaisance pour rejoindre le sentier du littoral et dans ses moments, on ne peut pas dire que j'ai vraiment le temps de m'extasier sur les bâtiments autour de moi. Cette fois, je les regarde défiler à travers la vitre pendant que mon brun s'amuse à me faire un tour de ce quartier qu'il connaît si bien.

Charles - Le bâtiment rouge juste là, c'était mon école !
Moi - Tu dois tellement être un héros pour tous ses gamins.
Charles - Je pense surtout que beaucoup n'en ont rien à faire.
Moi - Je suis sûr que non, je lui souris. T'es un héros pour eux !

Il me sourit et en resserre ses doigts sur ma main en guise de réponse. C'est évident que c'est un héros pour tout ses gamins. Avoir un pilote monégasque dans les vingt meilleurs pilotes du monde, ça relève d'un exploit et quelque part, c'est une vraie fierté national dans ce tout petit pays qu'est la principauté.

Quelques minutes plus tard, on se gare sur le parking d'une résidence sécurisée dont mon brun semble avoir le badge magnétique. Il se gare derrière une voiture italienne et sort du véhicule. Je fais de même et le rejoins devant l'immeuble, mes affaires et mon bouquet toujours entre mes mains. Il m'ouvre la porte et glisse sa main dans mon dos pour nous conduire jusqu'à l'ascenseur dans lequel nous rentrons tous les deux.

La boule de stresse en moi est toujours bien présente et s'accentue même lorsque les portes de l'ascenseur se referment sur nous. Je respire bruyamment en croisant le regard de mon pilote à travers le grand miroir en face de nous.

Charles - Tu m'as manqué, aujourd'hui.
Moi - On s'est vu ce matin.
Charles - Et j'ai pensé à toi toute la journée.

Je dois prendre sur moi pour rester neutre et calme le feu qui naît en moi au moment où il se penche pour m'embrasser le cou. Est-ce qu'il pourrait juste arrêter d'être mignon et sexy à la fois ? Il fait une chaleur dans ce si petit espace... Pfiou.

Heureusement pour moi, le "bip" et les portes de l'ascenseur qui s'ouvrent me ramène vite sur terre. On se dirige tous les deux vers le fond du couloir où Charles sonne. En quelques secondes, la porte s'ouvre sur une femme au cheveux blond qui nous accueille avec un large sourire et que je reconnais comme étant la maman de Charles. Elle embrasse son fils avant de se tourner vers moi.

Moi - Bonjour...
Pascale - Bonjour, elle sourit. J'ai beaucoup entendu parler de toi, j'avais hâte de te rencontrer ! Tu vas bien ?
Moi - Je vais bien, je souris. Tenez, c'est...c'est pour vous !

Je lui tend le bouquet que je tiens entre mes mains. Elle semble d'abord surprise mais le prend en souriant.

Pascale - Il est très beau, elle me sourit. Mais il me semblait avoir dit de ne rien ramener ?
Charles - Tu l'as contrariée en disant que tu avais déjà commandé le dessert, maman.
Pascale - C'est vrai ?
Moi - Mais, je... Pas du tout ! Je ne me voyais simplement pas arriver les mains vides !

Mes joues sont probablement aussi rouge voir même encore plus que celle de la combinaison de course de mon petit ami. J'ai bien envie de m'enterrer mais heureusement pour moi, le sourire de Pascale me conforte dans mon idée que cette attention lui fait bien plus plaisir que ce qu'elle ne laisse paraître.

Pascale - Je vais aller les mettre dans l'eau avant qu'elles ne prennent chauds. Allez donc dans le salon, tous le monde vous attend !

La main de Charles se glissent une nouvelle fois dans mon dos alors qu'on s'avance vers le grand salon lumineux où nous attendent les deux frères Leclerc et une blonde assise sur le canapé aux côtés du benjamin de la famille. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre qu'il s'agit de Carla, la petite amie d'Arthur.

Lorenzo - Enfin !
Charles - Les meilleurs pour la fin, c'est ce qu'on dit non ?
Arthur - Les meilleurs ou les losers, au choix...
Carla - Arthur, elle lui donne une tape en souriant. Moi, je suis contente de vous voir !

Elle se lève du canapé et s'approche de nous prenant que je salue Arthur et Lorenzo qui ne manque pas de me charrier sur le fait qu'on passe beaucoup trop de temps ensemble. Elle fait la bise à Charles avant de se tourner vers moi, le sourire toujours figé sur ses lèvres. Je m'attendais à un simple bonjour de politesse mais au lieu de ça, j'ai carrément le droit à une étreinte de sa part. J'ai bien comprit que les choses n'étaient pas tout rose avec le benjamin de la famille mais rien ne transparait sur son visage. Elle est solaire et je me sens tout de suite à l'aise.

Arthur - On te fait visiter ?
Charles - Je vais m'en occuper, il dit. On arrive !
Arthur - Comme tu voudras !

Il me prend la main et me guide à travers l'appartement. Il n'est pas immense mais c'est un vrai appartement familiale. Les chambres des garçons sont presque resté telle qu'elle d'après mon brun qui y va de son anecdote à chacune des pièces dans lesquelles ils m'entraînent. L'appartement est plein de vie. Il est lumineux, il y a des dizaines de photos des garçons enfants encadrées et accrochées entre les tableaux et les murs blancs. Ce sont des magnifiques photos qui méritent amplement leur place sur les mur.

Moi - C'est toi, là ?
Charles - C'est moi, il sourit. Tu remarqueras que j'avais déjà beaucoup de charme à l'époque.
Moi - T'étais mignon, oui.
Charles - Un vrai tombeur, tu peux le dire !
Moi - Non mais l'égo du mec, quoi !

Il rigole alors que je le pousse vers la salle pour aller retrouver tous le monde autour de la table que Pascale a joliment dressée. Charles s'installe en m'invitant à s'installer à ses côtés, juste en face de Carla et aux côtés de la mère de famille qui s'installe en bout de table.

La soirée se passe doucement et dans la bonne humeur. Pascale semble vraiment très heureuse d'avoir ses trois fils réunis autour de cette table, elle en profite et elle a bien raison. La fratrie est particulièrement unie autour d'elle et quelque part, je suis rassurée de me dire que toutes les familles ne sont pas aussi bancale que la mienne.

Mon père a toujours été particulièrement présent pour nous. Il n'a jamais loupé une seule réunion scolaire, allant même jusqu'à reporter ses propres réunions les plus importantes pour se consacrer à nous. Il nous emmenait à nos cours de tennis mais surtout, il nous achetait toujours les plus beaux gâteaux d'anniversaire. Son choix se portait toujours sur des gâteaux à la crème au beurre coloré qu'on pouvait trouver dans les supermarchés anglais et il se donnait tellement de mal chaque année qu'il m'était toujours impossible de lui dire que hormis leurs couleurs attrayantes, je détestais ça. Heureusement pour moi, il a fini par le comprendre sans que je n'ai eu à dire quoi que ce soit.
À côté de ça, ma mère a toujours essayé de concilier sa vie personnelle et professionnelle du mieux qu'elle pouvait. Elle ne faisait pas de gâteaux pour les anniversaires, elle ne venait que très rarement aux réunions mais elle a fait son job et quelque part, elle continue de le faire à sa manière. Elle ne m'appelle tous le temps mais elle m'appelle. On se raconte nos vies, on rigole et c'est peut-être la seule chose qui compte.

La main de Charles sur ma cuisse me sort de mes pensées. Je réalise à ce moment qu'il est simplement occupé à mener une discussion avec ses frères et qu'il fait ça machinalement. Je le regarde un instant avant de simplement reporter mon attention sur la conversation que son activement entrain de mener le petit groupe concernant leurs vacances imminentes. Je me concentre pour essayer de reprendre le fil de la conversation mais n'ayant pas écouté le début, il m'est difficile de le faire et je suppose que ma tête rempli d'incompréhension est parfaitement visible parce que la blonde en face de moi se met à rire en venant à ma rescousse.

Carla - Arthur a organisé le programme des vacances et les garçons ne semblent pas d'accord avec ça, elle rigole. Le pauvre !
Arthur - J'espérais un minimum de soutien de ta part, Carla !
Carla - Tu as tout mon soutien, chéri.
Arthur - M'ouais.

Il croise les bras en s'enfonçant dans sa chaise sous nos rires. Il semble déjà avoir un programme bien précis de ce qu'il souhaite faire, au grand damne des garçons.

Pascale - Bon... Tu as des choses de prévu pour tes vacances, Nora ?
Moi - Hum, je... Je vais rester quelques jours à Monaco, je dis à moitié prise au dépourvu. Mon frère rentre en fin de semaine alors nous allons en profiter pour passer du temps ensemble.
Lorenzo - Comme si il ne se voyait pas déjà suffisamment au travail !
Pascale - C'est vrai, elle sourit. Alors peut-être que tu pourrais venir profiter avec nous ?

Je tourne mon visage vers le brun à mes côtés qui me regarde avec son air qui veut juste dire « ne me regarde pas, je n'y suis pour rien » mais j'ai quand même moyennement envie de le croire. Évidemment que ça me ferait plaisir de passer mes vacances avec lui mais il s'agit de leurs vacances en famille et je n'ai pas envie de m'imposer.

Arthur - Personne n'a le droit de refuser quoi que ce soit à maman, Nora.
Pascale - N'importe quoi ! Je propose mais tu as le droit de me dire non, elle me sourit. Je ne veux pas que tu te sentes forcée d'accepter pour me faire plaisir.
Moi - J'ai bien compris, je souris. Ne vous inquiétez pas.

Toutes les paires d'yeux de cette table sont braqués sur moi. Je me sens terriblement gênée d'avoir toute cette attention sur moi et en même je me sens tellement bien auprès de Charles et de sa famille que je culpabiliserai presque à l'idée de dire non à Pascale. Il se pourrait que je finisse par céder d'autant plus qu'en réalité, je ne vais pas plus être occupé que ça avant de partir à Londres.

Charles - Laissez-là, il intervient.
Moi - Non, non ! Je... je pourrais peut-être m'arranger pour venir mais je ne veux pas que ça vous embête.
Pascale - Tu ne nous embêtes pas, elle me sourit. Je pense que, au contraire, nous serions ravis de t'accueillir !
Carla - Ça serait chouette que tu viennes ! Ça nous permettrait d'avoir un peu de soutien, elle rigole. Ils ne sont vraiment pas facile à vivre quand ils sont ensembles.

Pascale me fait un large sourire, comme si elle confirmait les propos de Carla, alors que les garçons râlent de leurs côtés. Dans tous les cas, je ne pourrais pas partir en même temps mais pourquoi ne peut pas les retrouver ce week-end ? Après tout, passer quelques jours en Sardaigne ne me fera pas de mal.

Moi - Je pourrais peut-être vous rejoindre dimanche ?
Pascale - C'est fantastique !
Charles - Je viendrais te chercher à l'aéroport, il me dit. Ça te va ?

J'hoche la tête en souriant. La fin du repas se passe dans la bonne humeur. Je me sens pleinement détendue et il m'est presque difficile d'admettre, lorsque Lorenzo décide de partir, qu'il est temps pour nous de partir aussi. Je prend le temps de remercier Pascale pour la soirée et salue le jeune couple avant de retrouver mon brun qui patiente déjà devant l'ascenseur du couloir.

Moi - T'es pressé de rentrer ?
Charles - Absolument.

Il m'attrape la main et nous conduit dans l'ascenseur avant que les portes ne se referment sur nous.

Charles - Donc on va passer les vacances ensemble, toi et moi ?
Moi - Il semblerait, oui !
Charles - Je ne voulais pas non plus que tu te sentes obligé de le faire pour ma mère, sa main remonte sur ma hanche. J'ai compris et elle aurait compris aussi, si tu lui avais dit non.
Moi - Tu ne veux plus que je vienne ?
Charles - Bien sûr que si ! J'ai toujours envie d'être avec toi mais je n'ai pas envie que tu te sentes forcé pour faire plaisir à ma mère.
Moi - Je me suis jamais senti forcé de faire quoi que ce soit avec toi, je me colle à lui. Je le fais parce que j'en ai envie... Et parce que je t'aime, aussi.

Il me regarde en souriant et attrape mon menton entre ses doigts pour sceller ses lèvres aux miennes. Nos lèvres entament une danse endiablée tandis que mes doigts se glissent dans ses cheveux que je tire légerement en le ramenant vers moi. Il me donne l'envie d'aimer si fort, s'en est presque irréel.

• • • • •

Bonjour à tous ! Je suis un peu en retard mais le chapitre est là, j'espère qu'il vous a plu ! J'attends vos avis avec impatience pour les améliorations. 🙊

Rendez-vous la semaine prochaine pour la suite et en attendant prenez soin de vous ! 🫶🏼

À très vite,
Léna ♥️

Continua llegint

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