📆 mardi 4 juin
- 𝐅𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧 -
J'avais trouvé la perle rare. A peine était-elle entrée dans la boîte que de suite mes yeux s'étaient posés sur elle, sans jamais plus pouvoir la lâcher.
Étant à la base venu pour fêter l'anniversaire de Joao, il était préférable que je reste avec le groupe. Pourtant, ça ne m'a pas empêché de garder les yeux sur elle toute la soirée. J'avais remarqué qu'elle dansait bien, qu'elle était magnifique et que cette robe lui allait à merveille. C'était elle qu'il me fallait ce soir, et par chance, j'étais sur le point de conclure. Aussi surprenant que cela puisse paraître, j'ai ressenti une pointe de jalousie lorsqu'elle était dans les bras d'un autre homme, en train de l'embrasser. Et c'est simplement parce que j'aurai voulu être à sa place. Cette nana est physiquement parlant, une déesse. Alors au lit, je préfère ne pas imaginer. Et puis de toute façon, je suis sur le point de la découvrir plus en profondeur, pour une nuit seulement.
Lorsque les premiers joueurs sont partis, je me suis dis que c'était le moment idéal pour aller à sa rencontre. Elle qui était sûrement venue avec son amie, à finit par me faire presque ramer. Cependant, j'ai vu le désir intense dans ses yeux, ce même désire qui sommeillait aussi en moi. Alors même si ça ne sera qu'une partie de jambe en l'air, sans lendemain, je sais que je vais passer une excellente nuit.
Camille étant confortablement installée sur le siège passager, je lance enfin la discussion, tout en prenant le chemin de l'hôtel. J'ignorais pourquoi elle ne voulait pas qu'on aille chez elle, mais étant une personnalité publique, il était hors de question que l'on fasse ça chez moi et qu'elle connaisse mon adresse. D'habitude, c'est vrai, les femmes acceptent de faire ça chez elles, mais Madame elle, refusait. Et je dois dire que c'était bien la première fois qu'une situation pareille m'arrivait. C'est sûrement une femme de caractère, et j'adore ça.
- On est d'accord sur le fait que ça n'est qu'une nuit ?! dis-je.
- Complètement. Je ne cherches pas à me poser, ni même à coucher une deuxième fois avec un plan cul. Alors ne t'en fais pas, demain tout ça sera derrière nous.
- Je vois qu'on a les mêmes ambitions, c'est cool.
Sur le chemin qui était en réalité court, j'apprenais qu'elle était à Barcelone depuis un an et demi et qu'elle étudiait la psychologie à la fac. Je n'avais pas le temps d'en savoir plus que l'on arrivait déjà. Camille me suivait de près tandis que je récupérais la clé de la chambre avant de l'entraîner à ma suite jusqu'au deuxième étage.
Lorsque la porte était fermée derrière nous, je plaquais Camille contre celle ci avant de sceller mes lèvres aux siennes, produisant chez moi, des sensations jusque là inconnues. Mais quand le baiser s'approfondissait, mes mains trouvé instinctivement leur chemin dans les cheveux soyeux de cette parfaite inconnue. Mon corps se pressait contre le sien avec une intensité électrisante. Je savais, à travers ce baiser si intense et délicieux, que j'avais la fille parfaite pour cette nuit.
- Attend... il y a une condition... dit Camille en arrêtant ce baiser qui devenait si bon.
- Et... laquelle ? je l'interroge surpris.
- Il faut que tu te protèges. Il ne se passera rien entre nous si tu n'as pas ramené de préservatifs...
- J'ai toujours le nécessaire sur moi, ne t'en fais pas.
Son sourire convaincue me suffisait à l'attraper par les hanches pour l'embrasser à nouveau et la sentir contre moi. Cette robe sur elle était magnifique mais je n'avais qu'une envie : la lui enlever.
C'est pourquoi, toujours dans un baiser aussi fougueux, j'emmenais Camille jusqu'au lit qui, a ma grande surprise, était immense.
- C'est beau ici... dit Camille en regardant rapidement autour de nous.
- Rien comparé à ce que la nuit nous réserve !
Devant l'immense matelas sur lequel nous allons passer une bonne partie de la nuit, je rattrape Camille par les hanches avant de me placer derrière elle, dans l'unique but de coller mon bassin à son dos et qu'elle comprenne a quel point elle m'excite.
Pour ne plus attendre, je caresse ses hanches avant de glisser une main jusqu'à sa cuisse, ouverture de la robe. Ce contact semble la faire frissonner, et elle en profite pour laisser tomber sa tête en arrière, sur mon épaule. Alors que mes poils se hérissent, j'ai un accès total à son cou. C'est pourquoi, je m'empresse de déposer mes lèvres dans celui-ci, le suçant, le léchant et le mordillant. Et comme pour approfondir, Camille passe son bras derrière nos têtes et caresse ma nuque, m'incitant presque à y aller plus fort.
Mais d'un geste brusque, je la retourne face à moi. Son visage d'ange me ferait presque craquer et mes lèvres ne peuvent s'empêcher de fondre sur les siennes. Envoûtés par ce baiser sensuel, nous nous laissons tomber sur le fameux matelas. Je me détache rapidement pour retirer mes vêtements quand au moment où elle compte faire pareil, je la stoppe.
- Laisse moi faire... dis-je.
Camille obéissait et lorsque j'étais nu, je souriais rien qu'à voir sa tête devant ce magnifique engin que je possède. Mais je ne perds pas de temps et me penche sur elle pour l'embrasser, tout en relevant sa robe en même temps. Je la lui fais passer au dessus de la tête avant qu'elle n'atterrisse par terre. Madame était désormais en sous vêtements devant moi, et rien que ça, suffisait à me faire bander fort, même si c'était déjà le cas avant.
Je prenais alors le soin de faire glisser sa culotte jusqu'à ses mollets avant de laisser le bout de tissu par terre. Ensuite, je remontais jusqu'à sa poitrine ou la, a nouveau, je retirais son soutien gorge, qui trouvait refuge avec le reste de nos vêtements. Camille était alors enfin nue devant moi, et ce que j'avais sous les yeux me faisait sourire.
- Tu es tellement jolie Camille... dis-je extasié.
Son sourire pourrait me faire tomber à la renverse mais je me souviens qu'entre nous ça n'est qu'une nuit et que je dois juste profiter. C'est pourquoi, je me penche enfin sur elle et après avoir empoigné ses seins gonflés par l'excitation, je les embrasse longuement. Je les suce finalement si fort que Camille pousse un cri de stupéfaction et de plaisir mêlés.
Elle était bonne. C'était la première pensée qui me venait lorsque j'avais terminé de m'attaquer à ses seins. Mais lorsque j'espérais m'occuper de son entrejambe, c'est elle qui me devance puisqu'elle attrape mon sexe dans sa main avant de me repousser sur le matelas.
Camille semble aimer avoir le contrôle et je dois dire que pour ce coup là, j'accepte de la laisser faire. A genoux devant moi, elle joue avec mon sexe, le suce, le prend dans sa bouche et me procure des sensations nouvelles, me faisant pousser un grognement rare. Le rush d'adrénaline était à son maximum, tandis que j'incitais Camille a aller plus vite et plus loin encore.
- T'es si bonne... avouais-je inconsciemment.
- Mais il ne faudra pas me rappeler, parce que ce n'est qu'une nuit ! dit-elle avant de reprendre en bouche mon sexe.
- Même pas une petite exception ?
- Non.
Sa réponse me rassurait quant au fait que ça n'était qu'une nuit. Parce que même si Camille était incroyable, la revoir n'aurait pas été une bonne idée, moi qui ne veut pas m'attacher et qui ne veut encore moins de relations.
Quelques minutes après, je rassemble mes forces pour la basculer sur le matelas avant de s'attaquer à son entrejambe. Je ne perds pas de temps, j'y fourre la langue et les doigts. Camille tire légèrement sur mes cheveux et j'aperçois même sa main agripper le drap tant je semble lui faire du bien.
Ce qu'il se passe est juste dingue. C'est tellement bon que je ne voudrais que ça s'arrête jamais. Ce moment avec elle est hypnotisant, hors du temps.
Lorsque je retire mes doigts, je me redresse et attrape un préservatif avant de l'enfiler. Je me pose ensuite au dessus de ce corps parfait, et en même temps que nos langues dansent ensemble, je la pénètre, doucement, pour ne pas lui faire mal.
Son jolie visage m'indique que tout va bien, alors, je progresse en elle, tandis que les sensations refluent et l'excitation me gagne plus encore. Camille finit par entourer ma taille de ses jambes et l'extase sur son visage me comble de satisfaction.
J'accélère alors encore, autant que possible et tant c'est bon. Nous n'entendons plus que nos respirations, nos gémissements et les claquements de nos peaux. C'est incroyable. Tellement, que j'en ai un orgasme, quelques secondes après elle. J'ai probablement dû lâcher un cri féroce vu la tête de Camille, mais pour ce qui est de son cri, je suis certain que les chambres voisines nous ont entendu.
Après ce qui semble avoir été une éternité, je me retire tranquillement avant de retirer mon préservatif. Je pars le jeter à la salle de bain, avant de revenir. En temps normal, je serai sur le point de partir, mais aujourd'hui, je ne le ferai pas. Je préfère passer là nuit ici et partir dès mon réveil.
- Est ce que ça va ? je demande.
- Tres bien.
Je grimpe alors à nouveau sur le lit et m'installe sur le côté restant. Je regarde le plafond et sens un léger malaise. Camille elle, s'est recouverte du drap et semble encore sensible à ce tout ce qu'il vient de se passer.
- J'ai trouvé ça vraiment... génial ! avoue-t'elle en se tournant vers moi.
- Moi aussi si tu veux tout savoir ! réponds-je en croisant son regard.
Il était tard, ou tôt selon le point de vu, mais je remarquais rapidement la fatigue et l'épuisement sur le visage d'ange de Camille. Alors, et sans surprise, en quelques secondes, elle fermait ses yeux et plongeait dans un sommeil profond.
Je lui tournais alors le dos, repensant à cette incroyable fin de soirée. Camille avait été parfaite, et je pourrai presque dire qu'elle a été mon meilleur coup jusqu'à présent. Elle m'a fait jouir plusieurs fois et putain, ça, il faut le faire.
Alors... je me tourne une dernière fois, là regarde dormir paisiblement et m'endors moi aussi à une vitesse folle, me rappelant que dès demain, nos chemins se seront séparés.
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qu'avez-vous pensé du deuxième chapitre ? 😏