will the sun go out?( En Auto...

By valencia_luna0

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Entre les pressions sociales, familiales, les traumatismes et l'amour perdu, la vie d'Hélio Skaller semble êt... More

note d'auteur
prologue
chapitre 1: L'Art Délicat du Départ Catastrophique
Chapitre 3:Quand la fête s'évapore : Réalité, nous voilà !
chapitre 4 :Un Guide d'Étude Non Autorisé
Chapitre 5: le prince charmant serait il plus proche de la belle au bois dormant
Chapitre 6: une seconde guerre froide en approche.
Chapitre 7 :Lire ou reproduire notre lecture ?
chapitre 8: simple poésie
Chapitre 9: Messes Basses et Non-Dits
Chapitre 10 : Recrute faux copain, prince pas tourmenté svp
Chapitre 11: « le meilleur accessoires pour une femme : un bel homme »
Chapitre 12 : confession nocturnes.
Chapitre 13: Abysses.
Chapitre 14 : aide moi...Prince
Chapitre 15: because i needed you...
Chapitre 16 : fuck you, prince
Chapitre 17: Past and memories
Chapitre 18:macchiato et cinnamon roll
Chapitre 19:Oh...my familly...

Chapitre 2: Quand les Petits Détails Déclenchent une Guerre Mondiale

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By valencia_luna0

(TW: Ce chapitre contient des scènes de violence physique, de consommation de substances illicites )

PDV Hélio

21h30, 4 septembre.

En quelques heures seulement, j'ai été catapulté dans le monde fascinant et verbeux d'Alex, découvrant un récit captivant qui semblait s'étendre sur plusieurs vies. À partir du moment où j'ai accepté son invitation à la soirée, il s'est transformé en un véritable torrent d'expressions, débordant d'une énergie contagieuse.

Lorsque j'ai finalement pris place pour cette soirée, Alex était littéralement en extase, me pressant de m'installer rapidement pour éviter tout retard, comme s'il avait une horloge biologique programmée sur l'urgence, au moins je sais que ce n'est pas avec lui que je risque detre en retard. Ce simple acte de venir à la soirée semblait avoir déclenché en lui une vague d'excitation inarrêtable.

Pendant que je tentais de m'installer, j'ai consacré trois heures à déballer mes affaires, un processus qui s'est déroulé en tandem avec le récit continu d'Alex. Ses paroles étaient un flux incessant, un tourbillon d'anecdotes qui m'ont emmené en un clin d'œil à travers son passé.

Au fil de ce long monologue, j'ai été transporté à travers le paysage de son enfance à Londres, explorant les recoins d'un appartement typiquement londonien qu'il partageait avec ses parents et sa sœur. Pour lui, ces moments étaient des joyaux, des instants précieux gravés dans les profondeurs de sa mémoire.

L'histoire d'Alex prend une tournure inattendue lorsque, au détour d'une de ses anecdotes, il partage le douloureux chapitre de la séparation de ses parents. À l'âge tendre de sept ans, le socle familial s'effondra alors que son père succomba aux charmes d'une femme rencontrée au travail,sa secretaire, décidant ainsi de partir pour ériger un nouveau chapitre familial ailleurs. Dans le ton d'alex je sens encore l'amertume et le dégoût qu'il ressent envers son paternel.

Ce récit de bouleversements familiaux qu'il était en train de déployer sous mes yeux, sa a ajouté une dimension dramatique à l'intrigue déjà riche de la vie tumultueuse d'Alex qui me paraissait si parfaite comparé à la mienne.

Il était frappant de constater à quel point Alex partageait de nombreuses similitudes avec Nick en termes de personnalité, bien que sa nature soit beaucoup plus extravertie et apparemment plus sociable. Lors de notre rencontre, il s'est montré curieux à mon égard, me posant de nombreuses questions sur ma vie, ma famille, mes années de lycée et même mes anciens amis. Pour ma part, j'ai choisi de rester vague, évitant autant que possible de me plonger dans les détails. Alex semblait un peu déçu de mon manque de réponses détaillées, mais je croyais fermement que moins j'en dévoilais, plus je préservais ma vie privée et le début de relation amicale que l'on avait.

- Il est temps de se préparer, car il est hors de question que tu assistes à la soirée dans cette tenue. Alex scrute attentivement ma façon de m'habiller, passant son regard du haut vers le bas, puis se lève pour se diriger vers mon armoire. L'inquiétude se dessine sur son visage, et je me demande ce qui ne va pas avec ma tenue. Il semble déterminé à me persuader de changer de vêtements.

Cependant, un problème qui d'après ce que je peux déterminer sur la tête que tire Alex se présente : mon armoire est principalement composée de vêtements amples, de t-shirts et de quelques vestes. J'ai toujours adopté un style très minimaliste, évitant pratiquement tous les accessoires, à l'exception du collier que Nick m'a offert. Face à l'expression perplexe d'Alex en regardant dans mon armoire, il semble réaliser que nous ne pourrons pas faire de miracle en matière de tenue. J'en conclus donc que la mienne fera l'affaire et je me lève, prêt à partir.

-Non, non, non, tu remets ton joli cul sur ce lit, tu ne peux pas aller à une soirée habillée comme ça. Je refuse catégoriquement de laisser Céleste GC poster un article sur "une tenue ringarde du petit nouveau qui gâche LA soirée de début d'année". Je l'ai regardé, mais je n'ai pas trop compris ce qu'il disait. Je pense que mon incompréhension se lisait sur mon visage, car il a presque immédiatement repris sa phrase.

-Ah oui, tu ne sais pas encore qui est Céleste GC. C'est un garçon ou une fille, on ne sait pas vraiment, mais il répand des rumeurs et des secrets à tout le monde sur le campus. Au début, nous pensions qu'il n'était qu'un fan de Gossip Girl. D'ailleurs, c'est la meilleure série au monde, et c'est non négociable. Mais ça a duré toute la fin de l'année dernière et toutes les vacances d'été, d'après les anciens étudiants.

J'ai souri à sa révélation. Par conséquent, le campus de Céléstoire est plongé dans un mélange fascinant de mystère, de potins et d'intrigue. Les ragots de Céleste GC, dont l'identité reste énigmatique, semblent avoir capturé l'imagination de chacun, créant une atmosphère pleine de suspense et de curiosité. Alors que la soirée de début d'année approche, la pression de ne pas devenir le sujet de la prochaine publication de Céleste GC pèse sur moi, me forçant à reconsidérer sérieusement ma tenue pour la soirée.

—————

23h30, 4 septembre.

C'est ainsi qu' Alex et moi sommes arrivés en dernier à cette soirée tant attendue. Pendant ces deux heures, Alex a littéralement retourné mon armoire qui ne contenait déjà que peu de vêtements. J'ai dû essayer au moins une vingtaine de tenues différentes pour finalement opter simplement pour un chino noir assorti à ma chemise et à ma paire de baskets. Ces dernières, d'ailleurs, sont mes seules et uniques chaussures en ma possession, des Puma Cali noires.

En arrivant aussi tardivement devant la maison, nous pouvons déjà apercevoir des personnes allongées par terre, en train de discuter, fumant des joints et prenant d'autres types de drogues que je m'abstiendrai de nommer devant Alex. Je ne veux pas qu'il en sache trop sur moi et sur les quelques addictions que j'avais... que j'ai. Je soupire en passant devant ce groupe de gens, constatant que nous avons un train de retard sur les autres qui sont déjà bien alcoolisés ou défoncés.

Quand nous entrons dans la maison, un immense salon s'offre à nous. L'atmosphère est saturée d'une énergie indescriptible, un mélange de musique assourdissante et de conversations entrecoupées de rires nerveux. Les murs semblent imprégnés de vapeurs épaisses, témoignage de l'usage intensif de substances illicites.

Je me glisse à travers la foule, essayant de dissimuler mon malaise devant ce tableau frénétique. Alex me suit, ignorant peut-être délibérément l'ambiance chaotique qui règne dans la maison. Je choisis de ne pas partager avec lui la réalité sombre qui se cache derrière cette façade festive, préférant préserver le semblant de relation amicale que nous avons et maintenir une distance prudente entre lui et mes propres démons intérieurs.

À première vue, la maison semble figée dans le temps, avec une façade extérieure évoquant le charme classique et l'histoire d'une époque révolue. Cependant, une fois la massive porte d'entrée en bois franchie, l'illusion d'un passé lointain se dissipe pour révéler un intérieur moderne, luxueux et épuré. Dès que l'on pénètre dans le vestibule, l'impact est immédiat : un sol en marbre poli, des luminaires contemporains suspendus au plafond illuminent chaque recoin, et une atmosphère où chaque détail respire la sophistication. Les murs en pierre apparente, témoins du temps passé, sont soigneusement éclairés pour mettre en valeur leur texture, tandis qu'un tapis somptueux, aux motifs géométriques subtils, couvre le sol, ajoutant une touche de chaleur à l'ensemble.

En faisant le tour de cette immense demeure à la recherche de la sœur d'Alex, qui commence à paniquer de ne la trouver nulle part, je suis frappé par l'irréalité de ce luxe. Les détails somptueux et l'opulence imprègnent chaque recoin, créant une atmosphère de raffinement presque surréaliste. Les murs semblent revêtus d'une opulence dorée, les tapis moelleux sous nos pieds ajoutent une touche de luxe, et les lustres majestueux suspendus au plafond illuminent chaque pièce d'une lueur éblouissante. La richesse des éléments décoratifs et le mobilier élégant confèrent à cette demeure une allure distinguée, créant ainsi une ambiance à la fois envoûtante et déconcertante.

Face à tant d'opulence, l'inquiétude grandissante de ne pas retrouver la sœur d'Alex contraste avec l'éclat apparent de cet univers luxueux, créant ainsi une tension particulière entre la beauté des lieux et l'urgence de la recherche. Pour ma part, l'agitation croissante engendrée par cette quête et l'irritation face aux personnes qui nous collent commencent à me taper sur les nerfs. Je soupire d'exaspération et suis Alex, profitant de ce tour du propriétaire pour détailler cette maison qui respire la richesse à des kilomètres.


Le salon, baigné dans des éclats de lumière stroboscopique, pulsant en synchronisation avec la musique frénétique, éclabousse les murs et les danseurs d'une énergie pure. Les teintes vives de bleu électrique, de rouge passionné et de vert néon s'entremêlent dans un jeu de lumières en constante évolution, projetant des ombres fugaces qui semblent suivre la cadence des corps en mouvement. La lumière, filtrée par des rideaux légers, révèle un mobilier aux lignes épurées et des pièces design.

Des canapés en cuir d'une élégance intemporelle côtoient des fauteuils contemporains, autour desquels de nombreuses personnes sont avachies, tenant des verres à la main, tous disposés autour d'une table basse en verre aux formes artistiques, saturée de cadavres de bières et de gobelets rouges. Les murs, quant à eux, sont ornés d'œuvres d'art moderne, créant un contraste frappant avec l'architecture traditionnelle extérieure.

La cuisine constitue un mélange harmonieux de fonctionnalité et de style, à condition de mettre de côté l'attroupement d'étudiants s'attelant à discuter ardemment de ce fameux Céleste GC.

Alors qu'Alex s'arrête quelques minutes pour débattre avec eux, me permettant de détailler davantage les lieux, des appareils électroménagers de pointe se fondent dans des armoires laquées d'un blanc éclatant, tandis que des plans de travail en marbre offrent un espace généreux pour la préparation des repas. Une île centrale moderne sert de point focal, à la fois pratique et esthétique.

La salle à manger, séparée du salon par des panneaux de verre délicatement ouvragés, est meublée avec une table en bois massif entourée de chaises contemporaines,
À l'exception d'une partie du quartier où la frénésie et l'animosité émergent entre les participants, avec des cris, des jurons et des rires qui se mêlent, c'est probablement l'une de ces occasions où Nick aurait insisté pour que je participe, prétextant que "je suis bien trop fort à ce jeu". Mais non, ce soir-là, je ne jouerai pas.

La seule chose que je veux, c'est retrouver la sœur d'Alex, cette garce, et fumer un, deux, trois joints, enfin, autant que nécessaire pour oublier Nick pendant quelques heures.

Un lustre artistique suspendu au plafond crée une atmosphère chaleureuse, parfaite pour des repas conviviaux. Dans cette maison, l'harmonie entre l'ancien et le moderne crée un environnement où le charme du passé coexiste avec le luxe contemporain, offrant une expérience résidentielle unique et raffinée. Les contrastes entre les énergies vibrantes du salon et la quiétude de la salle à manger illustrent la diversité de cet espace, où les éléments traditionnels et modernes se conjuguent pour créer une atmosphère captivante et pleine de vie.

Une fois qu'Alex a finalement décidé de quitter cette cuisine pour poursuivre ses recherches, à cet instant précis, un groupe d'étudiants pousse des cris d'encouragement auxquels Alex ne prête aucune attention.

Cependant, ces acclamations attirent mon regard, et je me retourne pour voir ce qui se passe. C'est alors que j'aperçois une fille magnifique au centre de ce groupe, en train d'enchaîner des shots. Ses cheveux, qu'elle tente tant bien que mal de maintenir, lui tombent devant les yeux. Elle les replace derrière ses oreilles, laissant apparaître un décolleté mettant en valeur sa poitrine.

Elle porte une robe noire, courte, et un certain nombre de gars sont en train de la reluquer, tout comme moi. Je me retrouve à observer une jeune femme que je ne connais pas, des mèches de cheveux collées sur son visage à cause de la sueur, enchaînant les shots, et je trouve cela incroyablement séduisant

Je n'ai rien fumé pourtant, enfin, rien pour l'instant, et je la trouve diablement sexy. Cela fait une éternité que je n'avais trouvé une fille aussi jolie. Je ne la lâche pas des yeux jusqu'à ce qu'elle termine son dernier shot et lève les bras au ciel pour signifier sa victoire.

Les gens qui l'entourent la portent en rigolant, mais je reste bloqué sur elle, ses cheveux longs, bruns, sombres, sa robe légèrement remontée quand ils l'ont portée, son rire. Elle a un rire cristallin, elle me rappelle quelqu'un, mais impossible de bien voir son visage qui doit être aussi angélique que son rire avec ces foutues lumières.

-Bordel, Arianne ! Lâchez ma sœur, bande de cons ! Les cris d'Alex me sortent de mes pensées. Je n'ai pas le temps de réagir que je vois Alex frapper l'un des mecs qui portait... Arianne. Je rejoins rapidement Alex quand je vois que les autres mecs commencent à s'approcher de lui pour lui rendre les coups qu'il vient de mettre à leurs potes.

La tension monte dans l'atmosphère, la musique assourdissante, les rires et les conversations en arrière-plan s'estompent alors que la scène devient de plus en plus intense. Je m'efforce de calmer les esprits, essayant de dissuader les autres de s'engager dans une bagarre qui ne ferait qu'empirer les choses mais qui ne sont visiblement pas d'accord lorsque l'un d'entre assène un coup violent à alex.

Ce qui me fait voir rouge.

- Espèce de connard, quand un mec essaie de calmer la situation merdique que ton con de pote a lancée, tu le laisses faire au lieu d'envenimer la situation, surtout quand la personne qui veut calmer le jeu, c'est moi. Alors, si tu ne veux pas que je te fasse ravaler tes putains de pulsions de soi-disant mec dominant, dégage."

Le mec, visiblement échauffé par les mots que je venais de prononcer, s'approche avec une expression farouche. Les mots échangés deviennent inaudibles, noyés dans le bourdonnement de la foule et le rythme assourdissant de la musique.

Le premier coup est asséné par ce mec. D'après ce que j'entends autour, il semble s'appeler Max, mais je ne suis pas sûr. J'esquive habilement avec une agilité presque gracieuse son coup. C'est comme si le temps ralentit autour de nous, je commence à calculer chaque mouvement. Il a l'avantage pour l'instant, mais je ne fais qu'esquiver, du moins jusqu'au moment où l'un de ses coups manque de toucher Arianne, qui aide Alex à se relever en nous regardant avec horreur.

Je réplique à la seconde même, avec une précision surprenante, décochant un coup habile qui fait vaciller Max. Les regards de la foule se fixent sur la confrontation, créant une arène improvisée où je suis le danseur dominant, chaque esquive fluide, chaque coup porté avec une maîtrise apparente me font prendre le dessus sur Max.

Les mouvements sont rapides, presque artistiques, mais l'ambiance reste électrique. Tout en ayant l'avantage, je cherche à désamorcer la situation autant que possible. Les regards que je lance à Max semblent exprimer une invitation à la raison, à mettre fin à cette danse dangereuse, mais ça n'a aucun effet, si ce n'est l'énerver encore plus.

La scène culmine avec un geste ultime : je le fais tomber et lui bloque les bras derrière le dos pour l'immobiliser. Il lève la main en signe d'arrêt, son regard me laisse voir la douleur qu'il ressent à ce moment. Les murmures de la foule résonnent comme un écho dans la salle. Le duel est terminé, me laissant en position de maître de cérémonie, espérant que la paix puisse être rétablie dans cet océan de tension. Je reprends ma respiration et remets les quelques mèches de mes cheveux qui me tombent devant les yeux en arrière.

Je me redresse, scrutant l'environnement qui m'entoure. Les regards de ces individus insensibles commencent à sérieusement m'agacer. La nécessité de m'éloigner et de prendre une pause s'impose. Je ressens un besoin pressant de fumer, une échappatoire essentielle à l'instant présent. Bousculant les gens qui s'affairent à aider Max, je me dirige vers la sortie, passant par la baie vitrée présente dans le salon. L'air frais de la nuit me fait un bien fou, loin de la musique, loin des gens, et loin du putain de regard qu'Alex et Arianne me portent.

Fait chier, j'ai maté et j'ai trouvé incroyablement belle la meuf que je traite de garce depuis ce matin.

Je sors un étui en métal, gravé d'une rose que Nick m'avait offerte, et en sort un joint. Je l'allume avec un briquet trouvé par terre au milieu de canettes et tire la première latte avant de soupirer bruyamment.

-Bordel, ça fait du bien.

Je m'assois contre le mur en regardant le ciel nuageux, mais qui laisse apparaître quelques étoiles.

-Je suis désolé, Nick, cette première soirée était catastrophique, je me retrouve seul. Le seul mec qui semblait m'apprécier un minimum me regarde comme si j'étais un putain de monstre quand j'ai tabassé ce mec, et je n'ose pas m'imaginer ce qu'il pensera de moi quand il saura que j'ai fantasmé sur sa sœur pendant quelques minutes.

Je retire une taffe sur ce joint, cette fois-ci en prenant le temps de profiter de la sensation que le cannabis me procure avant de commencer à subir les effets du delta-9-tétrahydrocannabinol présent dans mon joint. Je souris en repensant à ce mot

"delta-9-tétrahydrocannabinol". C'est Nick qui me l'avait appris quand il m'a vu fumer un joint pour la première fois, suivi d'un cours d'une heure sur ses effets néfastes.

Je sens mes yeux me piquer à cause des larmes qui commencent à monter, soirée de merde. La fumée du joint m'enveloppe, m'offrant un bref répit dans cette nuit pleine d'incertitudes. La réalité semble floue, mais au moins, pour l'instant, le cannabis me procure une échappatoire, un moyen d'apaiser les tourments qui me rongent.

Soirée de merde.

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