Dites aux Quatari que je vaux plus cher que Cavani
Douze janvier
Aujourd'hui jours de repos, et tant mieux avec ce froid sa donne vraiment pas envie de sortir, je regarde la télé c'est pas vraiment intéressant mais c'est pour sentir une présence prêt de moi.
Theïna se dirige vers moi, elle me souri mais elle a l'air tendue, elle mâche ses mot, je suis sur qu'elle a répété son texte avant de venir
-Theïna : Ramza tu sais que je t'aime ?
-Moi : Cool ta vie.
-Theïna : non mais sérieux Ramza s'te plaît dit oui !
Je l'a regarde de haut en bas elle est habillé, elle compte sortir ?
-Moi : Quoi ?
-Theïna : J'vais faire les soldes avec Ramzya , envois des billets poto.
-Moi : T'es sérieuse ? Hier je t'avais donné cent euro, ne me dit pas que t'a tout gaspiller ?
-Theïna : Si, mais c'est la dernière fois, je te le jure.
-Moi : C'est mort Theïna, je te donne rien
je peux pas lui payer tous se qu'elle veut et elle le sais très bien, l'argent sa tombe pas du ciel je galère a le gagner, je me nique le dos pour les factures , la bouffe mais surtout les mandats que j'envoie à mon père, faut qu'elle fasse comme moi, qu'elle s'achète une paire de basket et qu'elle garderas maximum un ans. Mais elle est pas du tous de cet avis non faut qu'elle es des chaussures rouges foncé, clair, bordeaux, flashi . C'est les meufs quoi les meufs... Mademoiselle Theïna n'est pas une princesse.
-Theïna : C'est la dernière fois Ramza !
-Moi : Non.
-Theïna : Que cinquante euro
-Moi : cinq euro
-Theïna : Quarante.
-Moi : Cinq
-Theïna : Trente cinq.
-Moi : Cinq
-Theïna : Vingt ?
-Moi : Cinq
-Theïna : Quinze.
-Moi : Cinq
-Theïna : Mais arrête tu déconne la, avec cinq euro je peux acheter qu'un Mc Flurry
-Moi : C'est mieux que rien.
-Theïna : Je t'en supplie Ramza, regarde je me met à genoux pour toi pitié !
J'explose de rire la meuf qui perd sa dignité pour quelques euros
-Moi : Tu sait quoi ? Ok, mais je viens avec toi.
-Theïna : Pourquoi tu veux venir ?
-Moi : Je vais profiter des soldes moi aussi il me faut une nouvelle veste.
-Theïna : D'accord, donc c'est oui ?
-Moi : Ouais.
-Theïna : Merci le sang.
...
On est dans la voiture en route pour le centre commercial.
Ramzya et Theïna sont derrière
-Theïna : Putain il me faut absolument la parka d'H&M, pourvue qu'elle ne soit pas partis.
-Ramzya : Moi je suis en stresse , j'ai peur qu'il y est plus mon sac à Bershka, l'autre jour j'y suis aller avec Habib mais j'avais pas d'argent sur moi bordel !
Vous connaissez les meufs, sa parle trop.
Je lance quelques regard du rétroviseurs à Ramzya, c'est qui Habib ? Habib genre habibi (*Mon chéri) ou genre le gars il s'appelle Habib.
Dans ma tête, c'est un vrai casse- tête, je suis vraiment perdu, j'ai trop envie de savoir.
-Coeur : Demande lui , c'est qui ce Habib ? pourquoi elle traîne avec ?
-Cerveau : Tu t'en fou d'elle, non ne lui demande pas, après tout elle fait sa vie.
On arrive au centre commercial, je cherche une place, c'est vraiment la galère avec tous ce monde. Je tourne en rond, je suis vraiment impatient.
-... : Là ! Mais t'es con tu l'as raté !
-Moi : Ta gueule Theïna, ferme la, je suis déjà énervé et toi t'en rajoute !
-Theïna : C'est pas moi qui à parlé, c'est Ramzya.
Je me retourne et regarde fixement Ramzya , je lui lance un petit sourire comme pour m'excuser
-Theïna : Attention la route merde ! Regarde devant toi.
-Moi : Ta gueule toi.
Après plusieurs recherches, j'en trouve enfin une, je n'est même pas le temps d'éteindre le moteur qu'elles ouvrent les portières en furie des étoiles plein les yeux elles sont émerveillé, Elles étaient comme deux gamines à DisneyLand
-Moi : Calmé vous wesh, c'est juste les soldes.
-Theïna : Tu peux pas nous comprendre.
On marchent vers le centre commercial, enfin moi je marche elles non, elles trotinent.
-Moi : Theïna, Ramzya , resté a côté de moi.
-Theïna : Normal, c'est toi qui a la carte bancaire.
-Moi : Connasse va.
...
On est dans une boutique, je suis avec Theïna elles se sont séparées, vous même vous savez, quand sa parle de shopping c'est chacune pour sa gueule.
J'ai pas lâcher l'affaire je veux absolument savoir qui est ce Habib ! Je profite que Theïna et moi soient seule pour lui demander.
-Moi : Oh Theïna, c'est qui Habib ?
-Theïna : Anh lui ! C'est son gars, pourquoi ? Rire
Mini crise cardiaque d'une seconde, non c'est impossible.
-Theïna : Je rigole ! C'est son frère.
La tension est redescendu, putain elle m'a fait stressé cette connasse !
-Theïna : explose de rire, c'est quoi cette tête que tu nous fais Ramza ?
-Moi : Ta gueule.
Putain je commence vraiment à m'en lasser. Sa fait une heure qu'elles sont dans la boutique.
-Theïna : Voilà, j'ai fini on va à la caisse !
-Moi : Quesque ta pris ?
-Theïna : Sa. en me montrant les vêtements dans ses mains
-Moi : Le prix ?
-Theïna : Le pantalon Trente deux euros et la veste quarante cinq
Voilà les meufs qui mettent leurs vie entière dans une boutique pour au final prendre deux articles.
-Moi : Tu prends pas les deux
-Theïna : Quoi ? Non vasy Ramza pitié.
-Ramzya : T'abuse, c'est pas trop cher.
Oh putain elle m'a parlé. J'en reviens pas.
-Theïna : rire tu vois c'est pas trop cher.
Ramzya t'es sérieuse ? pourquoi t'as parlé, je suis maintenant obligé de lui acheté.
-Theïna : Alors ? Dit oui dit oui dit oui !
Faut que je fasse bonne impression devant Ramzya, sinon elle va croire que je suis radin.
Je lance un sale regard à Theïna et lui dit et lui donne mon consentement
Ramzya est derrière Theïna, Oh purée elle va croire que le sale regard est pour elle. Quesque je fais ? Putain de merde c'est mort. Elle a fait pareil...
On va à la caisse.
Le but des soldes c'est de faire des économies non ? Ne la tue pas, pas devant tous le monde, surtout pas devant Ramzya.
-Moi : Je te déteste Theïna.
-Theïna : rire moi aussi je t'aime frérot !
Suite, prochainement...