Trahis misérablement I

20. La robe rouge

Je marche qu'avec ceux en qui j'ai confiance, donc des fois je marche seul

Quatorze novembre

je me réveille assez tard , aujourd'hui, le premier réflexe que j'ai , c'est de me mettre à l'encadrement de la fenêtre j'ai l'impression d'avoir rendez vous tout les matins tellement s'en est devenue une habitude
J'observe la fenêtre de Ramzya attentivement passionnément en espérant la voir
Aujourd'hui elle a dix-neuf ans c'est son anniversaire

Une sourire se dessine sur le coin mon visage quand je la vois, elle se brosse les cheveux et je la vois se maquiller, attend attend depuis quand ma bien-aimée se maquille, c'est la première fois. Elle quitte mon champ de vision et reviens quelques minutes plus tard vêtue d'une robe rouge très longue qui laisse complètement paraitre son dos dénuder
Comment expliquer mon extrême jalousie après cette vision ?

j'enfile un sweat puis met mes baskets et sort dehors pour traîner,  non , en faite c'était plus pour espionner Ramzya qu'autre chose, je la voie de loin , clouer sur des escarpins de dix centimètre environs . Qu'est-ce quelle est belle n'empêche 

Mon coeur s'estompe de plus en plus quand je vois Ramzya courir en direction de Bourbier qui lui , est habillé noblement , putain , cette scène elle me tue comme une véritable tumeur, ils se dirigent vers une voiture , je vois de là le sourire de mon amante qui illumine son visage mais , surtout mon coeur
Bordel. J'envie Bourbier non en fait je suis tous simplement jaloux il ne sait pas la chance qu'il à

-Mckenzie : Ça va pas ?

-Moi : Si t'inquiète.

Elle regarde dans la direction dans laquelle mes yeux étaient figé, j'étais pire que déprimer , dégoûter, blazer, niquer, parce que au fond de moi j'espérer je vous le jure que j'espérer comme un merdeux qui attend désespérément sa surprise. Le bon dieu j'espérer comme un fou et à la fin j'me suis fait niquer
Impulsivement je shoot sur une canette qui est en face de moi.

-Mckenzie : C'est à cause de Ramzya hein ?

-Moi : Qui , cette p..

Putain j'arrive même pas à l'insulter, j'arrive même pas . C'est fou comment elle a une emprise sur moi.

-Mckenzie : Soupire, C'est un gros pédé l'autre de toute façons

-Moi : Qui ?

-Mckenzie : Nadir

Elle a beau nier, l'insulter de tout les noms mais je l'ai cramé , ouais , depuis bien longtemps d'ailleurs, quand elle le regarde et tout ça, c'est grillé quelle keaff ce Bourbier.

-Moi : Pourquoi toute les meufs son en chien sur lui zeubi

-Mckenzie : Pas du tous il y a que sa biche là

-Moi : Ramzya.

-Mckenzie : Quoi ?

-Moi : Ne l'appelle pas la biche , appelle la Ramzya.

-Mckenzie : Si tu veux.

-Moi : Je t'ai cramé Mckenzie.

-Mckenzie : De

-Moi : Tu le keaff ?

-Mckenzie : Rire Non.

Alors je lui redemande avec une certaine insistance dans la voix

-Moi : Tu le keaf ?

Elle a souri dans le silence une nouvelle fois avant de baisser les yeux dont son regard la trahissait

-Moi : Alors bienvenue au club des niquer de la vie

Dit-je juste avant de m'en aller a grande vitesse, je traîne des pieds et marche dans cette répugnante atmosphères , les gens , sont tellement habitué me voir déprimé qu'ils on sûrement dû me surnommé comme tel, je met ma capuche sur la tête pour me fondre dans la masse et j'espère de tous mon coeur qu'il pleuve , pour, gâcher le rendez vous des deux personnes que je déteste tant

Mon voeu viens de se réaliser ; puisqu'il commence a pleuvoir des rikiki gouttelette .

-... : RAMZA, RAMZA !

-Moi : Putain , c'est quoi ton problème à crier

-Mckenzie : T'es un batard tu me laisse solo vas-y reste avec moi j'ai pas d'amis

-Moi : Mais il pleut.

-Mckenzie : Mais moi je suis une thug je marche sous la pluie et tout , délinquante ma gueule !

-Moi : Ouah le voyou !

-Mckenzie : Non , non la voyelles

-Moi : Vas-y, ta gueule sa n'veux rien dire.

-Mckenzie : Bah si , la femme du voyou c'est voyelles

-Moi : C'est pas en segpa qu'on apprend ça ?

-Mckenzie : Ferme ta gueule je fait des études de médecine

-Moi : Pourquoi toute les meufs sont attirées par des batards comme lui ?

-Mckenzie : C'est ça qui fait son charme

-Moi : Ouais mais je comprend pas

-Mckenzie : T'es jaloux ou quoi ?

Honnêtement ? Ouais

-Moi : Non je demande comme ça Bourbier c'est vraiment vraiment un enculé , le bon dieu.

-Mckenzie : T'es jaloux Ramza.

-Moi : Tu sait c'est quoi son intention même ? Non donc parle pas pour rien

-Mckenzie : Dit moi alors

-Moi : Tu sait en vrai il n'aime pas Ramzya

-Mckenzie : Ouais c'est ce que je disais tu es jaloux

-Moi : MAIS PAS DU TOUT ZEUBI

-Mckenzie : C'est bon pas besoin de gueuler

-Moi : Mais c'est toi là ! Tu casse les couill..

Bourbier et Ramzya volent soudainement mon attention, ils marchent en direction du bâtiment de Bourbier , ils étaient ; trempé de la tête au pied.
Tu sait comme dans les films de love là.

-Mckenzie : Oh oh Ramza je te parle !

Je vois Ramzya qui a faillit glissée et j'entends leur rire résonner d'ici, ensuite Bourbier porte Ma bien-aimée , oui il l'a porte, le bon dieu
ils entrent alors à l'abri, le bon dieu , le bon dieu je suis pire que démoralisé

[...]Il est tard et je suis par la fenêtre pour ne pas changé, je la vois , elle mon amante se diriger elle aussi par la fenêtre elle a dû sentir mon regard insistant posé sur elle , alors , elle lève la tête.

-Ramzya : Ça va ?

-Moi : Ouais et toi ?

-Ramzya : Ouais, t'aime trop rester par la fenêtre toi.

Non Ramzya c'est toi que j'aime rien que toi

-Moi : Ouais

-Ramzya : C'est mon anniversaire aujourd'hui.

-Moi : D'accord

Elle sourit et ferme la fenêtre sûrement parce qu'il commence à faire froid, oui c'est sûr sa doit être ça

...

Je suis affalé sur mon lit et j'envoie un message à ma bien-aimée en inconnu, ouais , son numéro je le connais par coeur

-Moi : *Joyeux anniversaire Ramzya*

-Ramzya : *Merci, mais c'est qui ?*

-Moi : *J'peux pas dire plus*

-Ramzya : *Heu.. Tu me fait peur la*

Suite, prochainement...