17. Le mendiant de l'amour

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L'amour c'est comme la guerre c'est quand tu crois t'en sortir que tu te prend une balle en pleine tête

Je m'assois sur un banc les écouteur mis au oreilles, les musiques qui défilent les une après les autres.
Putain , comme je suis mal , je pense a ma maman, pourquoi pas la rejoindre en fin de compte je m'y sens pas tellement bien dans ce monde.
Rien , n'est moins sûr que l'instant suivant, il n'y a que des futurs morts parmis les vivants.
Vue que demain n'est qu'une hypothèse
Tous nos projets devraient s'écrire entre parenthèses
Cette arrogance dans notre attitude pourtant nous n'avons qu'une certitude ce qui doit arriver n'est jamais lointain , la mort est notre destin le plus certain.

On pleure en fou rire, parce qu'on doit vivre en acceptant de mourir on a tous un pied dans le trou on vit avec une épée posée dans le cou , personnes ne sait quand elle va trancher

Mourir à petit feu ; c'est vivre.
Tous les jours vont à la mort et le dernier y arrive.
Chaque seconde nous pousse vers le cimetière il y a quelques chose de mortuaire a chacun de nos anniversaire, témoin du temps qu'on gaspille l'horloge nous pointe, nous menace avec ses aiguilles.

«Le mal me guette et on me demande pourquoi je rouspète»

Ramzya me fait sortir de mes pensées en passant devant moi un sourire se dessine sur le coin de mon visage , je ne l'a quitte pas des yeux jusqu'à qu'elle sorte de mon champ de vision , à me voir on aurais cru un psychopathe.
Pour prouver notre amour on est souvent trop lent on croit toujours que la mort prendra tout son temps , alors , on se croise sans se parler , parfois même on se toise sans se regarder , on s'entend sans s'écouter
pas étonnant qu'on se dispute sans discuter ; parce que la vie nous rassemble
Oublie moi et on se verra plus tard jusqu'à cet adieu qu'on prendra pour un "au revoir"

«Parmi les pauvres enterrez-moi sans rose, en espérant qu'il pleuve qu'on pleure au moin pour quelques chose»

Seul la haine nous fait signe
L'absence de conscience assassine aseptise nos âme, plus d'amour seul l'argent nous fascine
Des mots, des mots et un peuple se domine
J'ai des maux, des maux ;
Mais sa ne reste que des mots

Je marche la tête dans les nuages, le ciel se couvre petit a petit
Et laisse paraître un vent aisé un bon vent qui caresse le visage et rafraîchi mes pensées.

J'essaie de me rassurer en me disant qu'il y a pire mais le reflet de cette réalité c'est qu'il y a beaucoup mieux

Je suis destiné a clamsé tel un minable à pourir tel un vulgaire déchet plus aucune lueur d'espoir au fond de mon âme
Je suis censé échoué, finir écroué, la peau trouée et si j'en parle la gorges nouée c'est que j'ai nagé dans des eaux profondes sans bouée
J'ai le Ghetto tatoué dans la peau
Même si l'espoir ne m'a jamais quitté en attendant des jours meilleurs, j'ai résisté. Et je continue encore.

-... :Ramza, tu n'aurais pas vu Nadir ?

Je me réveille de mon monde parallèle, Ramzya se tient devant moi.

-Moi : Hein.. Heu.. Non, non.

-Ramzya : D'accord.

Mon coeur est en feu de détresse, mais seul Blanche-neige réussi a m'apaisé, son sourire me calme et me redonne le goût de vivre je souris seul comme un fou , putain. Je suis fou d'elle.

[...]morfondre sur mon  mon lit j'ai peine à me lever je me dit qu'au final pourquoi pas crevé ? Puis le visage de Blanche-neige apparait , et mon coeur est apaiser même si je me lève avec difficulté au moins la volonté y est

...

Aujourd'hui j'ai décidé d'aller à la boxe, j'ai besoin de me défouler j'en est vraiment marre de jouer le déprimé de la vie , alors , je vais transformer cette peine en haine pour tout simplement vider cette peine
Les nerfs a vif, à cran, je pourrais devenir ouf si je garde tous pour moi, en moi il y a de la tendresse mais je peux être une brute dans ma bouche il y a de la sagesse mais il y a parfois des insultes...

...

-Mehdi (=le gérant): Ramza !

-Moi : Heu.. Ouais ?

-Mehdi : Tu peux l'entraîner s'il te plaît, moi je doit entraîner Amir il a un tournoi important ce soir.

-Moi : Heu.. Ouais pas de soucis

Je vois une jeune demoiselle caché derrière lui la tête baisser ses cheveux ramener en un gros chignon putain.. C'est Ramzya.

-Ramzya : Heu.. Salut.

-Moi : Ta déjà fait du renforcement musculaire ?

-Ramzya : Ouais.

-Moi : Bah viens on fait un petit combat.

Elle met ses gants et on monte sur le ring

-Moi : Vas-y, frappe.

-Ramzya : Hein.. Heu qui toi ?

-Moi : Non le pape François.

-Ramzya : Euh d'accord

Enfin bref elle commence a frappé franchement je ressenté plus des caresses qu'autre chose

-Moi : Stop

-Ramzya : Oui

-Moi : J'vais te donner un conseil, si tu frappe ici j'lui montre le torse sa sert a rien, tape plutôt là c'est un point très faible. Et sur le visage cible le nez c'est la partie la plus fragile du visage

Elle commence a frappé donc j'en profite pour lui montrer les techniques de défense.

-Moi : Tape  plus fort

Donc , elle tape de plus en plus fort

-Moi : Pense a un quelqu'un que tu déteste et frappe.

-Ramzya : D'accord donc j'vais pensée a toi.

-Moi : Ah ouais ?

-Ramzya : Mais je rigole t'es nul tu prends toujours tout mal
.

-Moi : Mais en oeuvre ce que tu connais

Elle use de toute sa force

-Moi : Vient on fait un combat

-Ramzya : Mais t'es complètement fou tu vas me fracasser

-Moi : Je vais me gêner tiens

-Ramzya : rire C'est la première fois je te vois rire.

-Moi : Et bah ?

-Ramzya : Bah c'est vachement bizarre quand tu rigole tes yeux se ferme on dirait un chinois rire

-Moi : Heu.. Pas du tous.

-Ramzya : Si je te le  jure on dirait un petit bébé chinois.

-Moi : Bon ta gueule, on commence.

-Ramzya : Maintenant je vais te surnommer le chinois.

-Moi : Appelle moi comme sa et je te fait mangé le bitume.

-Ramzya : C'est pas comme si je t'avais insulter hein

-Moi : C'est la même

-Ramzya : Anh mais quelle genre de raciste tu es ?

-Moi : Bon aller on commence là

Suite, prochainement...

Trahis misérablement IHikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin