Drive Me Crazy C.L.

Door Fictiong22

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« Plus personne n'aura la capacité de me blesser, plus personne n'en aura le pouvoir. » Vivre seule, être ind... Meer

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Door Fictiong22

Sasha Miller
Monaco
10 janvier 2023

Tout a commencé il y a 5 jours quand Charles m'a envoyé un message. Rien de choquant jusque là. Puis je l'ai lu.

« Ma mère est jalouse de savoir que tes parents m'ont rencontré alors qu'elle me tanne depuis des semaines pour que tu viennes dîner à la maison. »

J'ai rigolé au début, amusée de l'imaginer se chamailler avec sa mère à ce sujet. Pourtant maintenant que je suis assise sur le siège passager de la voiture de Charles, direction l'appartement de sa mère, je ne suis plus sûre d'être aussi confiante.

Rencontrer la mère de son copain ce n'est pas rien. Et alors que ça fait des années que je n'ai pas fais ça, je commence à stresser comme une adolescente.

Je frotte mes mains moites sur mon jean tout en fixant le paysage qui défile à travers la fenêtre. J'ai rarement autant stressée qu'en ce moment même, mais j'ai peur de mal faire, que sa mère ne m'aime pas, ne me trouve pas assez bien pour son fils ou qu'elle pense qu'on est pas fait pour être ensemble.

Je sais à quel point la famille est un aspect important de la vie de Charles, comme pour moi, et j'ai vraiment envie que ça se passe bien.

-Arrêtes de stresser.

Je sors de mes pensées en sentant la main de Charles attraper ma cuisse. Et alors que je tourne la tête vers lui, il me lance un sourire avant de se concentrer à nouveau sur la route.

-Tu penses qu'elle va bien m'aimer? Demandais je presque dans un écho.

-Ma mère? C'est un amour, elle aime tout le monde. Rigole t'il. Et puis elle n'a fait que de me parler de toi depuis qu'elle a apprit qu'on était ensemble. Sasha par ci, Sasha par là, elle meurt d'envie de te rencontrer officiellement. Surtout après t'avoir croisé au GP de France, elle t'a trouvé magnifique et très polie.

Je souris en l'entendant me dire tout ça, priant pour que je ne m'évanouisse pas. Niveau professionnel je me suis construite une armure, désirant prouver que je méritais mon poste malgré mon jeune âge. Je peux rencontrer n'importe qui sans ne jamais rien laisser paraître. Mais côté personnel, j'ai parfois l'impression de redevenir la petite fille que j'étais lorsque mes émotions prennent le dessus.

Le pire reste encore quand des flashbacks de mes années avec Raphaël me viennent en tête. Avec lui j'avais toujours peur de mal faire, je m'écrasais constamment face à lui, de peur que ce soit lui qui me mette à Terre le premier...

-On y est! Sourit Charles en rentrant dans un parking souterrain.

-Tes frères seront là? Demandais je curieuse.

-Oui. Arthur et Carla doivent déjà être là, et Lorenzo arrivera un peu plus tard. Il avait un rendez-vous avant. M'explique Charles en garant sa Ferrari.

J'acquiesce, soulagée de sa réponse. Savoir qu'on ne sera pas juste tous les trois rend la chose moins officielle et par conséquent moins stressante.

Alors que je regarde Charles fermer sa voiture et m'apprête à marcher en direction de l'ascenseur, je le vois venir vers moi et tirer sur mon bras pour m'attirer contre lui. Je suis d'abord surprise par son geste, puis je profites de cet instant rassurant. Son odeur agit immédiatement et m'apaise.

-Ça va bien se passer. Murmure t'il près de mon oreille avant de déposer un baiser sur mon crâne.

Je le sers un peu plus fort contre moi, ma tête enfouie dans son cou, le remerciant presque silencieusement. Il sait. Et je n'ai jamais autant aimé que quelqu'un puisse deviner mes émotions sans même avoir besoin de les exprimer à haute voix.

Je finis par relever la tête pour l'embrasser, tentant d'évacuer toute l'anxiété de mon corps. Et lorsqu'on reprend notre chemin, je me sens un peu plus apaisée.

Le trajet jusqu'au cinquième étage se fait très vite, et c'est sans même m'en rendre compte qu'on se retrouve face à la porte de l'appartement de sa mère. Lui plus détendu que jamais et moi qui tiens mon bouquet en tentant de ne pas trembler.

Je vais m'évanouir...

-Ah vous voilà!

Elle est belle, et tellement souriante.

J'observe avec un énorme sourire Charles prendre sa mère dans ses bras, cette dernière lui disant à quel point il lui a manqué. Je me sens presque de trop, jusqu'à ce qu'ils se détachent l'un de l'autre pour se tourner vers moi.

-Maman, je te présente Sasha, ma copine. Sourit Charles, en gardant un bras sur les épaules de sa mère.

-Enchantée madame. Dis je en plaçant un grand sourire sur mon visage, priant pour que mon angoisse ne ressorte pas.

-Oh mais appelle-moi Pascale! S'exclame t'elle immédiatement. Depuis le temps que j'attends de te rencontrer!

Je souris avant de lancer un regard à Charles qui semble amusé par le comportement de sa mère. Je finis par tendre le bouquet à Pascale, qui me remercie une dizaine de fois tout en répétant que je n'aurais pas dû.

Puis elle me montre le chemin pour rejoindre le salon où sont déjà son troisième fils et sa copine, que je commence à connaître à force de les croiser. Je marche donc dans cette direction, laissant Charles parler un peu avec sa mère quelques mètres derrière.

-Qu'est-ce qu'elle est belle...

Je souris en entendant le chuchotement de Pascale, ça me touche vraiment, mais ce n'est rien comparé à la réaction de mon cœur en entendant la réponse de Charles.

-Je sais.

Cette once de fierté dans sa voix me remplie d'amour pour lui, et si je n'avais pas envie de ne pas interrompre leur moment, je me retournerais pour le prendre dans mes bras.

Je fais donc comme si de rien était et rentre dans le salon où je tombe sur les deux amoureux.

-Ah voilà les stars de la soirée! S'exclame Arthur en rigolant.

-N'importe quoi. Rigolais je alors qu'il se lève pour me faire la bise.

-Pas trop stressée? Me demande t'il.

-Elle en tremblerait presque. Intervient Charles à ma place, sur un ton taquin.

-T'es méchant! M'offusquais alors que les deux frères sont morts de rire.

-La pauvre! S'interpose Pascale. Ne les écoutes pas et surtout ne stresse pas. Tu es ici comme chez toi.

-Merci Pascale. Lui souriais je alors qu'elle me fait un clin d'œil, avant de partir en direction de la cuisine.

-Moi je te comprends. S'amuse Carla lorsque je viens lui dire bonjour. J'avais stressée comme une folle aussi.

-Qu'est-ce que tu racontes? T'es ici depuis ta naissance toi. La taquine Charles avant de s'assoir dans le canapé.

-Il a pas tords, t'as rencontré ma mère il y a si longtemps que je ne m'en rappelle même plus. Enchaîne Arthur.

-Et alors? J'ai quand même stressée! J'étais qu'une ado en plus, je gérais pas mon anxiété. Se défend la blonde avec mon soutien.

-Vous êtes pas cool avec nous. Intervenais je en rigolant.

-Y a rien de stressant à rencontrer notre mère, elle adore tous le monde. Affirme Charles tout sourire.

-C'est quand même un truc stressant à faire la première fois. S'exclame Carla.

-Et puis Charles ne fais pas trop le malin, tu veux que je te rappelle que t'en menais pas large non plus avant de rencontrer mes parents?

-Ouh! Ça tire à balle réelle! S'amuse Arthur.

-Rigole pas trop, parfois t'as encore peur de mon père. Intervient Carla, ce qui nous fit rire.

Les deux frères se regardent désemparés alors que Carla et moi nous tapons dans la main, fières de les avoir remis à leur place. J'aime beaucoup Carla, et même si nous avons 6 ans d'écart je la trouve déjà très mâture.

Je finis par m'assoir à côté de Charles, ce dernier plaçant son bras derrière mon dos, lorsque Pascale revient avec une bouteille de vin et un plateau apéro.

Je souris sans même m'en rendre compte, heureuse de passer du temps ici, avec Charles et sa famille. Un rapide regard à travers l'appartement me laisse découvrir une décoration chaleureuse agrémentée de beaucoup de photos. Je retiens un rire en apercevant Charles plus jeune, et souris en découvrant des photos de leur père...

Je ne peux qu'imaginer la douleur que ça doit être de perdre un père et un mari. Et j'ai parfois de la peine pour Charles, en le voyant nostalgique ou triste. Ou bien même quand il regarde ses coéquipiers partager des moments sur les circuits avec leur père, sachant pertinemment qu'il pense au sien. Mais je sais aussi qu'il veille sur eux chaque jour...

21h02

-Sasha donne moi ton assiette! Sourit Pascale en tendant sa main vers moi

Je m'exécute, et l'observe me servir une part de son gratin. Ça a l'air délicieux, comme tout ce qu'elle a préparé depuis le début de la soirée. 

-Merci! Lui souriais je sincèrement lorsqu'elle me rend mon assiette.

-Et tu es arrivée quand à Monaco Sasha? M'interroge Lorenzo, arrivé entre temps.

-J'ai pris un avion depuis Maranello hier soir. Répondais je au grand frère de mon copain.

-Ah tu étais à Maranello? Questionne Arthur.

-Oui, on avait une réunion avec les différents directeurs de secteurs pour l'arrivée de Fred. C'était son premier jour à la Scuderia. Affirmais je.

-Ah oui c'est vrai! Répond le benjamin de la famille. Et alors? Tu penses que ça va bien se passer?

-Oui il n'y a pas de raisons. Fred a les idées mais surtout les capacités, puis il est motivé. Tous le monde le respecte dans le milieu. Pour l'instant je suis optimiste. Rigolais je.

-Et toi mon chéri tu n'étais pas à Maranello en même temps que Sasha? Demande Pascale en s'adressant à Charles.

-Non, avec Carlos on y va que la semaine prochaine. Répond t'il simplement.

-Ce n'est pas trop dur la distance? Vous avez tous les deux des vies à mille à l'heure et en plus de ça vous n'êtes pas souvent au même endroit. Questionne t'elle, sincèrement préoccupée.

-C'est pas toujours facile c'est vrai. Commence Charles alors que je lui lance un regard compatissant.

Ce sujet est loin d'être notre préféré...

-Mais on fait des efforts tous les deux pour se voir le plus souvent possible et que ça fonctionne. Ajoutais je avant de sourire.

-Vous n'avez pas réfléchi à, pourquoi pas, vivre ensemble? Nous demande t'elle.

-Maman, laisse leur le temps. Rigole Lorenzo.

-Je dis ça comme ça. Cela fait bientôt 4 mois qu'ils sont ensemble, et puis ça faciliterait leur quotidien. Explique Pascale, avant de nous sourire.

J'avoue être un peu surprise de ce sujet. Charles et moi n'en avons encore jamais réellement parlé, alors je suis légèrement prise au dépourvu d'avoir cette discussion avec toute sa famille.

-On verra ça. Mais oui j'aimerais bien dans un futur proche avoir Sasha avec moi à Monaco. Intervient Charles alors que je manque de m'étouffer avec mon vin.

-À Monaco? Répétais je alors que tous le monde me regarde.

-Il y a un problème? Me demande t'il doucement.

-Euh j'avoue que je n'ai juste pas compris pourquoi tu as insinué que c'est moi qui devait tout quitter pour te rejoindre. Affirmais je avec un sourire qui convainc sûrement sa famille, mais pas lui.

-Je ne sais pas, ça me semblait plus logique. Ici j'ai déjà mon appart, alors qu'à Genève il faudrait en trouver un. Et puis j'ai toujours vécu ici, c'est un endroit sécurisé qui nous offrirait de la tranquillité. Répond Charles en tentant de rester diplomate, surtout face à sa famille.

-Je pense qu'il vaut mieux qu'on en reparle plus tard d'accord? Lui souriais je. On ne va pas embêter tous le monde avec ça.

Je sens que cette discussion est en train de me tendre, et j'ai tout sauf envie de me disputer avec lui devant sa mère et ses frères. Je remercie d'ailleurs Lorenzo qui lance rapidement un nouveau sujet auquel tous le monde s'inclu.

Tandis que je les écoute parler, je sens le regard de Charles persister sur mon visage. Mais je l'ignore et fais comme si de rien était. J'ai pas envie de plomber l'ambiance.

Même si j'avoue que cette discussion m'a mise mal à l'aise. Emménager ensemble ce n'est pas rien, et bien que je l'ai déjà fais une fois ça ne reste pas la meilleure expérience de ma vie.

J'avoue avoir été piqué en entendant Charles dire que c'était plus logique que moi je quitte toute ma vie pour le rejoindre dans la sienne. C'est peut-être plus « simple » comme il le dit, mais ce n'est pas pour autant que j'ai envie d'abandonner Genève et ma famille.

-Ça doit être magnifique la Suisse en hiver! Me sourit Pascale, me ramenant à l'instant présent.

-Ça l'est. Après je ne suis pas objective, je suis amoureuse de mon pays. Affirmais je, laissant planer mes derniers mots, sous le regard persistant de Charles sur mon visage.

-C'est compréhensible, j'ai adoré à chaque fois que j'y suis allée. Intervient Carla à qui je souris.

-Il faudra que tu viennes me voir, je te ferais découvrir des endroits magnifiques. Lui dis je sincèrement enthousiaste.

-Oh avec plaisir!

Je me détends un peu, appréciant réellement les personnes autour de cette table, et me sentant vraiment incluse.

23h02

-Toujours des idées bancales de la part d'Arthur. Soupire Charles avant de rigoler.

-Mais bien sûr maman écoute parce que c'est le petit dernier. Enchérit Lorenzo sur le même ton.

-Arrêtez de vous plaindre les deux vieux, faut pas rager de ne pas être le préféré. S'esclaffe le principal concerné.

La raison de cette agitation? Arthur qui propose à la fin du repas de prendre le café sur la terrasse afin de profiter du magnifique ciel étoilé présent ce soir. Bonne idée jusque là, sauf qu'on est début janvier et qu'il fait tout sauf chaud, surtout à cette heure tardive.

Alors que Pascale revient avec des couvertures, ainsi qu'un plateau rempli de tasses à café, Carla et moi rigolons en voyant les garçons se chamailler comme des gamins.

-Tenez les enfants. Intervient Pascale en nous tendant les couvertures, une fois le plateau déposé sur la table. Bon j'en ai pas assez pour tous le monde, il y en a que 4. Mais les amoureux vous vous en partagez une hein?

-Aucun soucis maman. Sourit Arthur en récupérant la sienne, avant de s'approcher de Carla.

-Tiens mon Charles.

-Merci maman. Affirme le monégasque en récupérant le plaid, avant de me lancer un regard.

La fin du repas s'est très bien passé, mais on s'est à peine adressé la parole. Sa famille n'a rien remarqué parce que on a joué l'indifférence, mais nous savons autant que l'autre que notre discussion inachevée à propos d'emménager ensemble nous travaille.

Je retiens un rire nerveux en voyant qu'il ne reste qu'un gros fauteuil de disponible, Carla, Lorenzo et Arthur ayant déjà pris le canapé. Je regarde Charles s'assoir sur ce fameux fauteuil et m'avance vers lui. Sans un mot, ni de ma part ni de la sienne, je m'assois sur lui et le laisse nous entourer de ce gros plaid.

Je ne me sens pas vraiment à l'aise de me retrouver aussi collée à Charles alors que notre relation actuelle n'est pas forcément au beau fixe. J'aurais largement préféré être assise seule ou du moins pas sur ses genoux comme si nous étions fous amoureux et fusionnels, tandis que la seule chose qui fusionne actuellement c'est les éclairs qu'on se lance.

-Qu'est-ce que vous êtes beau tous les deux. S'exclame Pascale en joignant ses mains, son regard fixé sur nous.

Tous le monde nous regarde et je me sens soudainement gênée, comme prise au dépourvu face au mensonge de l'image qu'on essaye de donner. Ne rien laisser paraître quand tout va bien c'est une chose, mais jouer le couple parfait quand on en a aucune envie c'est loin d'être simple.

Je bouge un peu pour essayer de mieux me caler sur les jambes de Charles, alors que j'entends ce dernier soupirer. Je lui lance un regard noir, qu'il ne manque pas de me rendre.

On a qu'une envie, sortir de là et aller s'expliquer. Mais malheureusement on est bloqué ici pour encore un certain temps, surtout si on ne veut pas que sa famille se rende compte du malaise. Alors on va devoir prendre notre mal en patience.

Et en plus qu'est-ce qu'il fait froid ce soir, je commence à regretter d'avoir accepté la proposition d'Arthur. Je tremble presque alors que j'essaye tant bien que mal de me réchauffer.

-Tu as froid Sasha?

Tandis que j'entends la voix de Lorenzo qui m'interpelle, tous les regards se braquent sur moi.

-Un peu. Souriais je doucement.

-Serre toi contre Charles. On ne te diras rien. Rigole Arthur.

-Mais oui Charles, prends la dans tes bras, elle tremble la pauvre! Intervient Pascale.

Décidément ce n'est pas notre soirée... Mon regard croise celui du brun et on se rapproche un peu plus l'un de l'autre. Il entoure ses bras autour de mon corps, tandis que je me blottis contre son torse, ressentant immédiatement sa chaleur émaner contre moi.

Je me détends un petit peu, comme toujours lorsque je suis dans ses bras, et oublierais presque la discussion qui nous attend. Ma tête se cale naturellement dans son cou et j'observe les étoiles qui tapissent le ciel monégasque.

Désormais mieux installée, réchauffée et les yeux rivés sur le ciel, je profites enfin de l'instant.

Je me demande inconsciemment si je me verrais vivre ici, dans la principauté. Et bien que je trouve cet endroit magnifique, je ne me vois pas quitter mon pays et ma famille. Je les vois déjà peu, alors qu'est-ce que cela serait si les quelques jours de libres que j'ai par mois je les passais à Monaco et non à Genève...

Et je sais qu'il en est de même pour Charles. J'ai bien l'impression qu'on va de nouveau faire face a un mur, comme si rien ne pouvait jamais être facile entre nous.

...

Alors? Donnez moi vos avis, j'ai hâte de les avoir!

À samedi prochain!

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