(TW : violences)
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Mes yeux s'ouvrent doucement avec douleur, ma vue met quelques secondes pour s'adapter malgré qu'il fasse sombre dans cette pièce, les fenêtres sont sombrés comme si elle aimer pas le soleil comme les vampires.
Mes yeux défilent dans la pièce pour essayer quelque chose pour m'aider a m'enfuir mais rien sauf les outils de torture qui se trouve sur la table loin de moi mais je pourrais pas l'atteindre, je suis trop loin et puis je ferais trop de bruit. Kale doit s'inquiète en ce moment même en plus j'ai rien pour le contacter.
La porte s'ouvre doucement et elle arrive avec sa démarche comme si elle était sur le tapis rouge. Elle s'assoit sur la table tout en me regardant, vu comme ça, c'est un peu comme si je suis la proie et elle le lion. Je déteste ça, je déteste me sentir faible.
— Bien dormi, bella ? Demanda-t-elle d'un ton moqueur.
— Comme un bébé.
Elle me sourit, un sourire moqueur encore une fois.
Je vais lui retirer ce foutu sourire, elle aura plus de bouche.
— Bien. Maintenant, je m'ennuie et pour m'occuper je vais m'amuser sur toi, j'ai un petit plan pour attirer mon petit Kale ici.
Elle saisit une batte mais pas comme l'autre homme, cette batte a des piques dessus. Elle s'approche de moi doucement tel une folle même si s'en ai une. Je peux pas reculer ou me défendre, je vais devoir me prendre tous ses coups en pleine gueule, quand je me libererais, je la torturerais comme elle m'a fait jusqu'à qu'elle me supplie d'arrêter.
Elle lève son bras et me donne un coup de batte au bras gauche, je hurle de douleur en sentant les piques entrer dans ma peau, elle retire avec vitesse ce qui fait échapper un cri de ma bouche.
Cette salope, je la tuerais.
Elle continue comme ça jusqu'à mes jambes, elle frappe, les piques entrent dans la peau en me laissant en sang. Le pire c'est qu'elle le fait avec un sourire comme les psychopathes dans les films d'horreur et là, c'est moi la victime.
— Bien, essayons autre chose.
Elle repose la batte, j'ai le temps de respirer. Mon bras gauche et ma jambe gauche sont en sang avec des trous, la douleur est forte. Elle saisit cette fois-ci rien, elle s'approche de moi et me frappe au visage puis encore une fois, encore, encore, encore, encore. Jusqu'à que je finisse en sang, je crache su sang et elle rigole, elle s'amuse a me faire souffrir.
On verra qui souffrira bientôt.
Elle reprend sa batte normale et revient en courant vers moi et me frappe aux bras, elle sait très bien que je suis blessé au bras gauche mais elle continue a frapper dessus. Ma tête se fait forte, elle résonne, elle tourne, ma respiration devient forte et vite, j'ai du mal a respirer. Elle me voit dans cet état mais continue sans pitié, sans cœur. Puis le coup de trop, elle me frappe avec la batte au crâne, je pince mes lèvres ensemble pour ne pas pleurer de douleur et surtout pas pleurer devant elle.
— Alors ? On tient plus, bella ? Ricana-t-elle.
Ouais ricane bien, tu verras qui ricanera à la fin.
— Je peux tenir toute la journée.
Elle rigole de plus belle avant de continuer ses coups, mon corps se fait lourd, je sens presque plus mes membres comme si on avait mis un liquide paralysant. La rousse enchaîne ses coups à la main puis elle arrêter pour respirer comme si elle avait fait ça toute la journée.
— Putain, tu tiens.
— Et ouais. Tu m'as pris pour qui ?
Elle me lance un regard noir avant de me saisir la mâchoire et de me crachais au visage puis me dit d'un ton ferme :
— Je te permets pas de m'insulter, sale ordure.
— Je me permets toute seule, je n'ai pas besoin de ton accord, sale folle.
Elle grince des dents avant de lâcher ma mâchoire, elle retourne s'asseoir sur sa pauvre chaise et de me fixer des yeux. Elle s'amuse a me frapper, putain, si je pouvais déchirer ses foutues cordes je lui aurais refait son visage.
— Tu caches quelque chose, Maeve.
Je la regarde mais ne dis rien, si elle croit que je vais lui dire à elle alors que Kale n'est pas au courant.
— Qu'est-ce que tu caches, hein ? Dit moi comme ça je pourrai le révéler à Kale.
Je rigole ce qui ne lui plaît pas.
— Dans tes rêves.
Cette dernière se lève et vient me prend encore une fois par la mâchoire, elle me tient tellement fort que j'ai l'impression qu'elle pourrait me casser la mâchoire en quelques secondes.
Non abuse pas, elle a rien dans les bras celle-là.
Elle me regarde sans rien dire, je sais pas ce qu'elle fiche mais je saisis l'opportunité, je lui mords la main avec le reste de force qui me reste. La rousse hurle de douleur, sa main saigne, ses hommes costauds débarquent en trombe après entendu son cri et c'est là que je découvre son prénom :
— Vous allez bien, Alexia ?
Alexia. Cette femme n'a pas eu la moindre politesse de se présenter devant moi, qu'elle conasse celle-là.
— Cette ordure m'a mordu, avoua-t-elle tel un chien battu.
Ses hommes me tuent du regard, putain, s'ils pouvaient tuer les gens du regard je serais morte en ce moment même. Alexia recouvre la blessure avec un bandage mais même avec ça le sang transperce.
Elle aura ma marque sur sa main toute sa vie comme ça elle se souviendra de moi, je vais la hanter jusqu'à la fin.
— Retenez-la, ordonna-t-elle.
Non. Non. Laisse moi. Laissez-moi.
Ses hommes se dirigent vers moi, je me debat malgré que je sois attaché sur une chaise. L'un me retient les épaules et l'autre la tête et ils attendent Alexia. Je suis déjà assez blessé comme ça. Mais je crois qu'elle s'en fou royalement de ce détail, Alexia saisit un couteau suisse et marche doucement vers moi tout en faisant voltiger le couteau, mon cœur bat à la chamade comme s'il voulait sauter de ma cage thoracique.
Alexia se trouve désormais devant moi, couteau à la main, un sourire scotché aux lèvres tout en me fixant puis sans que je puisse cligner des yeux elle me plante le couteau dans la cuisse, je hurle de douleur sans pouvoir bouger à cause de ses hommes qui me tiennent. Elle retire le couteau et le replante, encore, et encore, encore, encore, et encore, encore. Mes hurlements de douleurs remplissent la pièce, ça résonne. Elle se stoppe pas comme s'il y avait aucune fin, ma cuisse gauche est en sang, se baigne dedans. Alexia finit par retirer et ne replante pas le couteau, je transpire, la douleur est insupportable.
— Ta lâcher tous tes cris possible je crois bien, dit-elle.
Je la regarde en grimaçant de douleur.
— Ta pas tout vu, Alexia, lançais-je en souriant.
La rousse sourit de plus belle, elle me montre toutes ses dents puis me donne un dernier coup au visage ce qui me fait tourner la tête vers le côté, mon nez saigne, je crache du sang pour la énième fois de la journée.
— C'est bon, lâchez-la.
Ses hommes me lâchent et s'éloignent de moi comme si j'étais un sac à merde qui sent mauvais.
C'est vous qui puez, aller vous lavez.
Je ricane et je sens le regard cruel de Alexia.
— Y'a quoi de drôle ?
— Ta tête, elle me fait rire, lançais-je en ricanant.
Alexia fronce les sourcils mais ne vient pas me frapper, elle progresse la cocotte, on va aller loin ensemble.
— Bien maintenant passons..
Elle prend son téléphone et me film tout en disant je ne sais quoi dans la vidéo, puis elle annonce :
— J'envoie ça à Kale comme ça il viendra à ta rescousse.
— Il trouvera pas le lieu.
Elle rigole avant de lever ses yeux vers moi et de me dire :
— Oh si ne t'en fait pas, son cher ami Gaby te trouvera, bella.
Gaby me trouvera comment ? Sauf si ce Gaby en question est un hacker pro.
Alexia sourit.
— Hop, envoyé, plus qu'a attendre qu'il débarque furieux tel un lion.
Ce lion viendra t'envoyer un enfer, tu verras.
Je pince mes lèvres en grimaçant de douleur, ma cuisse me fait donne un mal de chien. Je n'ai jamais autant souffert en pleine mission, toutes les autres fois je me blessé mais aussi grave que maintenant, quelle poisse. J'imagine même pas la réaction de Lyre en apprenant ça, à tout moment elle sait rien et c'est le mieux mais je doute fort, le pire dans tout ça c'est qu'elle est serait capable de le dire à mes parents.
— Bella, tu as peut-être, n'est-ce pas ?
Je le regarde.
— Logique, je suis humaine, salope.
Elle sourit puis part et revient avec un plateau qui contient de la nourriture, je vois qu'elle a un cœur pour une fois sauf si elle a empoisonné la nourriture.
— Je vais te donner à manger comme les mamans avec leurs bébés, se moqua-t-elle.
Je lui lance un regard noir et elle s'installe en face de moi avant de me donner une cuillère de riz blanc.
Purée c'est bon, pour une folle comme elle, elle sait cuisiner.
Par contre, je suis trempé, elle sait pas donner de l'eau celle-là. Alexia repart en me laissant seule dans le noir, cette pièce n'a vraiment aucune lumière, rien pour éclairer ça. Elle croit que je suis un chat pour voir dans le noir ?
Je soupire en balançant ma tête en arrière, Alexia ne revient pas, elle reviendra pas avant que Kale débarque. Je peux deviner par les trous des volets que la nuit est déjà tomber, si je m'endors maintenant ça dérangera personne ? Mes paupières se font lourdes, la douleur de ma cuisse est toujours présente tout en laissant mon sang couler tel une rivière qui se jette dans un fleuve.
Je suis tellement pathétique.
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Hello !
J'ai pas doser avec la violence j'ai l'impression, j'aurais dû mais je suis lâcher. En plus j'ai écris ce chapitre à 22h00 donc y'a sûrement des fautes d'orthographes donc je m'en excuse d'avance.
Mais passons, l'ex-femme alias Alexia envoie une vidéo à Kale ce qui veut qu'elle a garder son numéro tout ce temps et qu'elle avait prévue ça.
ari'
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Ig : arianatdswttpd