LOVE IN RED // Charles Leclerc

By njhxlively

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« Personne ne sait ni quand, ni comment l'amour ou la foudre vont tomber, mais tout ce qu'on sait, c'est que... More

Zéro.
Un.
Deux.
Trois.
Quatre.
Cinq.
Six.
Sept.
Huit.
Neuf.
Dix.
Onze.
Douze.
Treize.
Quatorze.
Quinze.
Seize.
Dix-sept.
Dix-huit
Vingt.
Vingt-et-un.
Vingt-deux.
Vingt-trois.
Vingt-quatre.
Vingt-cinq.
Vingt-six.
Vingt-sept.
Vingt-huit.
Vingt-neuf.
Trente.
Trente-et-un.
Trente-deux. 🔞
Trente-trois.
Trente-quatre.
Trente-cinq.
Trente-six.
Trente-sept.
Trente-huit.
Trente-neuf.
Quarante.
Quarante-et-un.
Quarante-deux.
Quarante-trois.
Quarante-quatre.
Quarante-cinq.
Quarante-six.
Quarante-sept.
Quarante-huit.
Quarante-neuf. 🔞
Cinquante.
Cinquante-et-un.
Cinquante-deux.
Cinquante-trois.
Cinquante-quatre.
Cinquante-cinq.
Cinquante-six.
Cinquante-sept.
Cinquante-huit.
Cinquante-neuf.
Soixante.
Soixante-et-un.

Dix-neuf.

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By njhxlively



Nora Wilson.
| Monaco. Lundi 10 Juillet 2023. |

J'entre dans l'agence avec plus d'un quart d'heure de retard. Mon réveil n'a pas sonné, je me suis réveillée en retard, je ne pas eu le temps de boire mon café chez moi, j'ai dû en acheter un sur le chemin et j'ai loupé la réunion hebdomadaire en visioconférence avec mon père. Bref, une belle journée catastrophique qui débute.

Je salue rapidement mon frère et Lorenzo qui se trouve à travailler dans leurs bureaux respectifs parce que eux sont bien à l'heure, évidemment, et me dirige rapidement dans le mien. Je dépose mon sac sur le bord de celui avec mon iPad et manque de renverser mon café sur le clavier de mon ordinateur. Je le rattrape de justesse avant de m'asseoir sur ma chaise en pestant contre moi.

... - Dur réveil ?

Je relève la tête vers l'encadrement de le porte de mon bureau pour y apercevoir Gabriel et Lorenzo, tous les deux devant celle-ci. Il semblerait que mon arrivée soit l'attraction de la matinée.

Moi - Pas de réveil du tout !
Gabriel - C'est toi qui a choisi de m'abandonner, il dit sur un ton dramatique. Si tu ne l'avais pas fait, je serais venu te réveiller et tu aurais été parfaitement à l'heure pour la réunion avec papa.

Je lève les yeux au ciel en esquissant un sourire. Après avoir obtenu l'accord de l'agent immobilier, j'ai traîné ma belle sœur et mon frère dans tous les magasins d'ameublement possible de la côté d'azur afin de meubler cet appartement qui été vide. Il m'a fallu quasiment tout acheter parce qu'en arrivant sur la principauté avec deux énormes valises, on ne peut pas dire que j'étais très charger. Enfin, je l'étais mais uniquement à cause de mon dressing que j'ai complètement vidé dans l'espoir que tout rentre alors finalement, mon déménagement n'a pas été très long. En une demi journée, tout été fait et je suis dedans depuis une semaine. La plupart des meubles sont arrivés la semaine dernière sauf mon canapé. Évidemment, sinon ce n'est pas drôle. Le canapé doit être livré dans l'après-midi. C'est du moins ce que m'a certifier la personne que j'ai eu ce matin au téléphone et j'espère que c'est le cas parce que j'ai annulé mes rendez-vous de cette après-midi exprès. J'aurais peut-être dû rester couché finalement.

Lorenzo - En tout cas, t'as une sale tête ce matin.
Moi - Merci ! J'adore recevoir des compliments comme ça dès le matin, ça va être une bonne journée !
Lorenzo - Désolé, il se met à rire. Je me devais de te le dire.

Comme simple réponse, je lui fais un doigt ce qui le fait rire de plus belle.

Gabriel - D'ailleurs à ce propos, tu n'oublies pas que tu es avec moi ce midi pour le rendez avec monsieur Clark ?
Moi - Non, j'oublie pas.
Gabriel - Parfait !

Difficile d'oublier que je vais devoir me coltiner un déjeuner avec un homme que je n'apprécie pas énormément. Cette fois c'est clair, je vais mourir et c'est la seule chose qui me vient en tête. Enfin non, pas la seule car une migraine est en train de pointer le bout de son nez. Il est seulement 9h00 et c'est une belle journée de merde qui s'annonce.

Effectivement, la matinée s'est déroulé exactement comme je l'avais prédit mais il y a au moins un point positif : elle est presque fini. Elle sera fini quand je serais enfin sortie de ce rendez-vous interminable. Je suis assise autour d'une table avec mon frère et Tom Clark, grand directeur d'une usine spécialisée dans les constructions ferroviaires. La discussion autour du déjeuner dure depuis deux heures et je n'ai pas l'impression d'avoir beaucoup avancé, cela mène à rien. Un vrai dialogue de sourd.

... - Je vous apporte autre chose, s'enquiert le serveur en ramassant nos assiettes vides.
Gabriel - Apportez-nous trois cafés, s'il vous plaît.

Alors que le serveur repart, je pousse un soupire exaspéré en essayant d'être la plus discrète possible.

Gabriel - Les cafés seront probablement là dans cinq minutes, cela nous laisse encore quatre minutes pour réussir cette négociation.

En affaire, mon frère se faisait parfois très dur. C'était une stratégie comme une autre mais ce n'était pas forcément la mienne. Après, nous n'avions pas forcément les même attentes.

Avec Lorenzo, notre rôle est principalement d'accompagner les clients dans l'organisation et la valorisation de leurs biens immobiliers, mobiliers et financiers. On aide les clients à y voir plus clair dans l'optimisation et le développement de leurs acquisitions, qu'il soit professionnel ou personnel. On évalue leurs capitaux pour définir des stratégies patrimoniales adapter à leurs besoins et leurs projets tout en les informants sur les dernières opportunités du marché, comme réaliser un placement financier ou acheter un appartement, par exemple... Gabriel, lui, il a pour mission de faire des placements pour nos clients dans le but de faire fructifier leurs actifs et leur faire gagner de l'argent en sautant sur des opportunités d'affaires rentables. Les clients lui font confiance pour qu'il augmente la valeur de leurs placements et de leurs fonds d'investissement. Il doit tout de même les convaincre de faire des investissements après avoir étudié toutes les opportunités sur le marché mais finalement, nos rôles se complètent parfaitement parce que notre objectif commun reste le même. Les clients font appel à nous dans l'optique de les orienter vers des placements en bourse et de faire fructifier leurs biens tout en réduisant les risques au maximum.

Tom Clark - Ce n'est pas une négociation, il prend un air arrogant. Cet investissement n'est pas à l'ordre du jour.
Gabriel - Investir pour permettre un meilleur cadre de travail à vos employés n'est pas à l'ordre du jour ? C'est pourtant pour cela que nous sommes là...
Tom Clark - Nous avons déjà investis pour des machines beaucoup plus performantes, il y a trois ans.

Dans mon métier, rencontrer des hommes comme lui était monnaie courante. Ça m'arrivait tous les jours mais alors celui-ci est définitivement en haut de mon classement, à la première place. Je ne comprend pas vraiment l'intérêt de vouloir travailler avec nous si c'est pour refuser chaque projet qu'on lui propose sous prétexte qu'il faut sortir un billet. C'est pourtant le but : Investir pour fructifier. D'un autre coté, ça ne m'étonne pas tant que ça. Cette homme vit dans une villa sur les hauteurs de Monaco. Il gère tout de loin. Je ne suis même pas sûr qu'il ait mit les pieds à l'usine au cours de ses dernières semaines.

Gabriel - Si je peux me permettre, c'est un peu grâce à vos employés que vous avez cette vie et je ne pense pas que votre père_
Tom Clark - Laissez mon père là où il est, il hausse le ton. Mon père a créé cette entreprise et, quoi que vous en pensiez, je fais de mon mieux pour la faire prospérer et garantir des emplois !
Gabriel- Ah oui, il s'enquiert en le défiant presque. Et à quel prix ? En les faisant travailler dans une usine miteuse pendant que vous vous la couler douce sur la côte ou sous les tropiques ? Si c'est ça votre définition de faire prospérer votre entreprise, alors nous n'avons définitivement pas la même définition, monsieur Clark !

Du coin de l'œil, je jette un coup d'oeil sur mon téléphone pour y vérifier l'heure. Il reste deux minutes avant que l'arrivée des cafés ne signe la fin de la récréation et j'ai bien l'impression que la situation est en train de dégénéré. Je dois vraiment en finir et partir de là parce que j'ai un canapé qui est sensé être livré chez moi très bientôt.

Moi - Écoutez, monsieur Clark... Vous avez fait appel à notre service pour une raison précise et jusqu'à maintenant, nous n'avons pas été mauvais. Je me trompe ?
Tom Clark - Non...
Moi - Aujourd'hui, votre société se développe fortement. La demande est très forte, les chiffres parlent d'eux-même !

Je récupère l'iPad que je déverrouille à la page des graphiques que nous avons déjà prit le temps de lui montrer il y a peu.

Moi - Oublions l'année 2020 avec cette histoire de virus et comparons plutôt les années 2019, 2021 et 2022, je lui présente avec mon stylet. On constate une nette amélioration depuis l'investissement de ses machines.

Contrairement à ce que j'aurais pu imaginer, Il semble beaucoup plus détendu et il m'écoute attentivement sans émettre la moindre objection jusqu'à la fin de mon discours.

Tom Clark - Et qu'est-ce que vous proposez ?
Moi - Eh bien, je jette un coup d'oeil à mon frère. Peut-être que nous pourrions prendre le temps de venir à l'usine ? Nous pourrions voir comment les choses se déroulent pour trouver ensemble, comment faire fructifier l'affaire familial tout en permettant aux employés un cadre de travail correct ?

Entre temps, le serveur nous ramène nos trois cafés et un long silence s'en suit. Il met son sucre dans son café, le mélange avec sa cuillère pendant de longues secondes avant de finalement relever la tête vers nous.

Tom Clark - C'est d'accord, il nous observe tous les deux. Je vois avec mon adjoint et ma secrétaire quand est-ce que nous pouvons vous recevoir sur le site, à Londres et je vous recontacte très rapidement.
Gabriel - C'est parfait, ça vous laisse le temps de réfléchir à tout ça !
Tom Clark - Et vous, ça vous laisse le temps de revoir complètement le projet d'investissement que vous venez de me présenter pour la prochaine fois.

Le repas se termine sur une note en demi teinte, ce n'est définitivement pas gagné. Gabriel paye avec la carte bancaire de la société et Clark nous remercie poliment avant de s'en aller. Nous le suivons de près pour rejoindre la voiture de Gabriel.

Gabriel - Fallait me le dire si tu voulais retourner travailler avec papa, je t'aurais trouvé un billet !

Il se met à rire et je le suis. C'est vrai qu'il y a quelques semaines encore, je n'aurais pas dit non mais maintenant que je me suis fait à cette vie, je n'y pense même plus. J'aime Londres plus que tout parce que c'est la ville où j'ai grandit mais je me fait de plus en plus à cette vie sur la principauté, surtout depuis qu'un monégasque est entré dans ma vie.

Moi - Parce que c'est moi qui y va ?
Gabriel - Évidemment ! As-tu vu comme il est avec moi ? Il me déteste alors que toi, il t'a écouté.
Moi - Ce n'est pas pour autant qu'il a plus confiance en moi.
Gabriel - Tu sais comment lui parler, Nora.. Moi, il m'horripile tellement que je n'arrive à me tenir.
Moi - Étonnant, je lui répond ironiquement. Très étonnant...
Gabriel - Je t'en prie, Nora...
Moi - D'accord, j'irais !

Au fond, je ne suis pas mécontente de retourner quelque jours à Londres pour retrouver Ben et mes parents que je n'ai pas vu depuis des mois mais j'avais un programme bien ficelé et je vais certainement devoir tout bousculer.

Moi - Bon... Il va falloir que je rentre, j'ai mon super canapé qui va arriver avant moi sinon.
Gabriel - Tu sais que ça nous fait bizarre que tu sois plus à l'appartement ? Maintenant le matin, on se demande qui va nous faire le café...

Je me met à rire. Moi aussi, je dois bien avouer que certains aspects de ses dernières semaines de vie en colocation me manquent mais je suis tout aussi heureuse d'être enfin dans mon appartement.

Gabriel - Tu veux venir manger à la maison, ce soir ? Enfin, après la livraison de ton canapé parce que j'ai bien comprit qu'il était plus important que nous !
Moi - C'est gentil mais j'ai pas trop envie de bouger ce soir. Un autre soir, si tu veux...

Je me garde bien de lui dire que je ne serais pas vraiment seule et je reconnais que ça devient de plus en plus compliqué de lui cacher ma relation avec le monégasque. J'aimerais lui dire, vraiment, mais je suis partagé. D'un côté, je voudrais crier au monde à quel point il s changer ma vie en l'espace de quelques mois et de l'autre, je me sens encore comme sur un nuage. Je n'en suis absolument pas redescendu depuis trois semaines alors en le disant, j'aurais presque l'impression de percer toute la bulle que l'ont s'est créé. Je crois aussi que j'ai peur que mon frère puisse se mêler de ma relation avec Charles comme il a pu le faire auparavant. Je flippe tellement à l'idée qu'il puisse se mêler de la vie que je préfère que ça reste comme ça. Pour le moment, il n'y a que nos amis et Livia qui le savent. Il m'était quasiment impossible de cacher ça à Ben et Livia en sachant qu'ils étaient à fond depuis le début, un peu comme Charles avec Joris et Pierre finalement.

Gabriel - D'accord. Je dirais à Liv que tu refuses de venir manger ses lasagnes !
Moi - Dis-lui qu'elle m'en laisse de côté !
Gabriel - J'y manquerais pas, oui !

Il me fait une étreinte et m'embrasse le front avant de me laisser partir à l'opposé de lui pour rejoindre mon appartement, l'esprit divaguant dans mes pensées. On peut le dire, ses trois dernières semaines sont passés à une vitesse folle. Entre mon travail et mon déménagement, je n'ai pas vu le temps passer et c'est tant mieux d'ailleurs. On va dire que ça m'a occupé les esprits quand mon copain défiait les lois de la vitesse pour une place sur le podium à Spielberg, le week-end dernier, puis à Budapest durant ce week-end où il n'a d'ailleurs pas pu finir la course. Il a dû abandonné à cause d'un problème mécanique qui l'a sorti de piste. Finalement ce lundi est juste à l'image de ce week-end, c'est à dire complètement merdique.

Sur le chemin, je m'arrête pour acheter quelques petites choses pour manger ce soir, histoire de terminer cette journée sur une note un peu plus positive. En arrivant chez moi, je range tout au frigo et décide de me lancer dans la construction du meuble que j'ai acheté samedi et qui attend désespérément d'être monté depuis ce jour. Je me dis que ça ne pas être bien compliqué mais malheureusement pour moi, la construction ne se passe pas comme je voulais. Une heure s'écoule... Deux heures s'écoulent, tout est éparpillé autour de moi et j'ai beau tourner et retourner la notice dans tous les sens, je n'y comprend absolument rien. Ça ne vient pas d'une enseigne suédoise de meubles faciles à monter et ça se ressent.

Sur les coups de dix-sept heure trente, on sonne à l'interphone. Les livreurs sont enfin là pour me livrer mon canapé et évidemment, je ne manque pas de leurs faire comprendre qu'il m'a fallu prendre une après-midi pour être finalement être livrer à la toute fin de celle-ci. Visiblement, ils semblent avoir l'habitude et ne le prennent pas si mal que ça.

Le canapé étant divisé en deux blocs, ils n'ont pas trop de difficultés à le faire rentrer dans l'ascenseur pour le monter jusqu'à mon étage. Ils prennent même le temps de me l'installer à l'endroit que je souhaite, juste en face de la télévision. Ce canapé beige va parfaitement avec le reste de la déco. C'est tout ce qu'il me manquait pour que mon salon ressemble enfin à un salon. Je n'ai plus qu'à rajouter les plaids et les quelques coussins que j'ai acheté ce week-end pour que tout soit parfait.

Un coup d'aspirateur sur le tapis plus tard, je décide de me remettre au montage du meuble. Je ne suis pas du genre à m'avouer vaincu lorsque j'ai quelque chose en tête mais cette fois, je suis coupée par la sonnerie de l'interphone. Sans attendre, je me précipite vers l'entrée.

Lorsque j'ouvre la porte, un large sourire se fend sur mon visage et je m'empresse de sauter dans les bras du brun qui se trouvait auparavant derrière celle-ci. J'ai passé une mauvaise matinée, une après-midi que je ne pourrais pas qualifier d'extraordinaire mais le voir ici me fait un bien fou. suis tellement contente de le revoir après ses cinq jours.

Charles - Salut, beauté...
Moi - Salut, toi !

Il me sourit et je finis par craquer en me hissant sur la pointe des pieds pour sceller mes lèvres aux siennes. C'est fou comme il m'avait manqué.

Charles - Je t'ai envoyé des messages et je t'ai appelé mais tu n'as pas répondu...
Moi - Oh ! J'étais occupé, j'ai laissé mon téléphone sur l'îlot...
Charles - C'est pas grave, il me sourit. Tu m'as manqué !
Moi - Toi aussi !

Il me vole un nouveau baiser avant que je ne le fasse entrer dans l'appartement qui a bien changé depuis son départ en Hongrie, mercredi dernier.

Charles - Wow ! Je vais enfin pouvoir poser mes fesses sur autre chose que des coussins à même le sol, c'est fantastique !
Moi - Dit-il alors qu'il a les fesses à dix centimètres du sol quand il roule à plus de 300km/h sur des circuits...

Il rigole en examine un instant la pièce. C'est vrai que ça a changé en quelques jours. La semaine dernière, je n'avais pas installé les cadres et disposer la décoration. Cette fois il y a tout : les bougies, les cadres et les pampas.

Charles - Et ça, il me montre les morceaux de meubles étalés au sol. Qu'est-ce que c'est ?
Moi - J'ai acheter un meuble que j'ai voulu monter comme les autres mais il est vraiment trop compliqué, j'arrive pas.

Il me regarde avec un petit sourire, probablement dû à l'air embêté que je viens de prendre en lui avouant alors que je pensais vraiment être capable de faire ça toute seule.

Charles - Je peux te le monter, si tu veux !
Moi - C'est vrai ?
Charles - J'ai d'autres projets que de finir à l'hôpital parce que tu t'es donné un coup de marteau sur le doigt donc oui !
Moi - Tu doutes de mes capacités ?
Charles - Certainement pas de tes capacités, Lalou...

Je grogne un instant à l'entente de mon surnom, sans réussir à me retenir de sourire. J'ai beau detester ce surnom, j'ai l'impression qu'il sonne bien différemment lorsque c'est lui qui le prononce. Je l'apprécierais presque.

Charles - Je doute surtout de celles du marteau !

Je me met à rire. Cette fois c'est clair, il se moque complètement de moi et de mon incompétence en terme de travaux. Finalement, je me demande si il n'aurait pas mieux fait de rester à Budapest.

• • • • •

Helloooo ! Voici le chapitre dix-neuf, j'espère qu'il vous a plu.

L'histoire à l'air de vous plaire de plus en plus et ça me fait super plaisir alors j'espère que la suite vous plaira tout autant. Merci beaucoup 🫶🏼

Je vous dis à la semaine prochaine pour la suite.

À très vite,
Léna ♥️

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