Situation : tu es sur le point de mourir, et Stefan vient pour te faire un dernier au-revoir.
Alors que tu te sentais t'endormir à cause de ta douleur au niveau du ventre, Stefan s'était vite approché de toi pour te rattraper avant que tu ne puisse tomber sur le sol froid. Tu regarde une dernière fois l'endroit où un pieu t'avait transpercée, puis tes yeux se referma, peut être pendant un instant, ou peut être pour toujours.
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Lorsque tu ouvras les yeux, tu remarqua que tu étais dans un couloir du lycée. Tu regardais ton ventre, et ne vit rien. Pas de sang, pas de douleur, rien. Tu te sentais bien, en paix. Tu avançais de quelques pas et regardais les alentours. Il n'y avait personne. Tu continuais d'avancer lorsqu'un torse te stoppa. Tu releva la tête, et vis ton fiancé, Stefan. Tu lui souris.
- Stefan.
Il te souria et prit tes deux mains dans les siennes. Tu pouvais voir que son sourire n'avait rien à voir avec celui qu'il te donnait habituellement. Tu fronça alors les sourcils.
- Tout va bien ?
Il acquiesça en hochant la tête. Tu baissais ta tête et regardais vos mains entrelacés. Tu releva la tête.
- Tu me mens. Stefan qu'est ce qu'il se passe ? Tu demandais inquiète.
Il arrêta de sourire et regarda avec un regard rempli de tristesse et de désespoir.
- Damon fait de son mieux pour te soigner. On a tous les deux donné notre sang. Mais...
Il n'osais pas finir sa phrase. Des larmes commençais à apparaître dans ses yeux, avant qu'une d'elles commencent à tomber sur ses joues. Puis une deuxième.
- Eh, Stefan, tout ira bien.
Tu posa tes deux mains sur ses joues, et essuya ses larmes à l'aide de tes deux pouces. Tu sentais ta vue se flouter, mais essayais de les chasser. Tu ne voulais pas pleurer. Stefan hocha sa tête négativement, et attrapa doucement ton poignée avec sa main droite.
- Non rien n'ira bien... Tu ne seras plus là. Je ne peux pas vivre sans toi, Ella.
Tu posais ton front sur le sien, et souriais tristement.
- Je serais toujours là, Stefan. Je serais toujours à tes côtés. Pour toujours et à jamais.
Tu t'approchas doucement de lui et l'embrassa doucement, puis passionnément. À bout souffle, vous vous détacher, et ne perdez pas une seconde de plus pour vous enlacés. Tu sentais ton t-shirt se mouiller, mais tu n'en avais rien à faire. Tu était là, dans les bras de ton premier amour, de ton fiancés, de ton meilleur ami.
- Tu sais pourquoi j'ai choisi le lycée comme dernier au revoir ? murmurait Stefan.
Tu réfléchis quelques secondes avant de répondre négativement d'une petite voix.
- C'est l'endroit où on s'est rencontrés pour la première fois. Et c'est l'endroit où je suis tombé amoureux de toi. Tu te sépara de lui et le regarda. Je suis tombé amoureux de toi le jour où j'ai croisé ton regard. Dès que je t'ai vu me sourire, je me suis dit que ce sourire, j'aimerais le voir chaque matin, chaque midi, chaque soir, chaque seconde de ma vie. J'aime ton caractère, ta façon d'être, ton physique, la façon dont tu me regarde, ta voix. J'aime l'effet que tu a sur moi, le faite que se soit toi mon monde. J'aime le faite de dire que tu es mienne, et ça pour toujours.
Tu ne pu t'empêcher de laisser tomber des larmes pendant son discours, et tu l'embrassa encore une fois.
-Toi aussi tu es tout mon monde. Je suis contente d'être dans les bras de la personne qui m'a fait le plus sentir vivante. Je t'aime, Stefan. Tu disais contre ses lèvres, tout en souriant, et en te rappelant de tous vos souvenirs passé ensemble.
Votre baisée avait un goût salé à cause de vos larmes mélangés à vos lèvres.
- Je... Mon dieu, il y a tant de choses à dire mais il y a si peu de temps...
Vous vous regardez dans les yeux pendant un moment. Tu regardais ta main, et enlevais ta bague, celle que Stefan t'avais donné. Celle qui signifiait que vous alliez bientôt être marié, et de vous aimez pour toujours jusqu'à ce que la mort vous sépare. Tu ouvrit la main de Stefan et lui donna la bague.
- Je veux que tu la garde, près de toi. Je veux que tu la garde, en sachant que je serais toujours à tes côtés, même après la mort. Tu me le promet de le garder ?
Il regarda la bague avant de refermer sa main.
- Je te le promet, El.
Puis vous vous embrasser. Vous le saviez tous les deux, que ce baiser était votre dernier. Vous restiez le plus de secondes accroché à l'autre, ne voulant plus vous quitter. Tu sentis ton énergie commencer à s'en aller, alors tu recule légèrement, mettant fin à votre baiser.
- Il est temps pour moi de partir. Il hoche doucement la tête. Je vais partir, et ne plus me retourner. Je ne veux pas que le dernier regard qu'on aura sera loin de l'autre. Il répond affirmativement d'une petite voix. Dit à Damon que je l'aime, et que j'aurais aimé qu'il soit mon beau-frère.
Il rigola légèrement, et tu souria avant de commencer à faire de petit pas en arrière toujours en regardant l'homme de ta vie.
- Je t'aime. Tu dit.
- Je t'aime. Et ça pour l'éternité.
Tu te retournas pour de bon, et continua d'avancer jusqu'aux portes du lycée. Tu pris une grande inspiration, et ouvrit les portes, avant de rejoindre les morts, pour de bon cette fois-ci.
Stefan restais là, pendant quelques minutes. Il avait espéré que tu te retournerais une dernière fois pour le regarder, et que tu lui sourirais comme tu lui souris habituellement avant de sauter dans ses bras. Mais il savait que tu ne le ferais pas. Et il sait que si tu l'aurais fait, il serais incapable de partir, et aurai préféré rester avec toi.
C'était peut être mieux comme ça, finalement. Vous n'avez peut être pas eu votre fin heureuse, mais vous avez vécu votre meilleur vie auprès de l'autre. Il fixa la bague dans ses mains, et regardait une dernière fois les portes du lycée, avant de partir d'ici. Il n'oubliera jamais ton sourire, ta gentillesse, ton sarcasme, ta façon d'aider tes proches quoi qu'il arrive. Il n'oubliera pas votre amour épique. Mais dans quelques mois, il commencera à oublier ta voix, ton rire, et peut être que dans quelques années, il oubliera de quelle couleur était tes yeux ou encore de quelle façon tu l'embrassais. Tu était partis, et la vie de Stefan Salvatore n'était plus la même qu'avant.
Car tu étais son monde.
... Je vous promet que les autres imagines sont plus joyeux.