Nouveau chapitre pour aujourd'hui ! 🤩
Attention, un chapitre très long, mais qui fait encore plus avancer la quête de nos héros. J'espère que ce chapitre vous plaira même si y'a une telle longueur du chapitre et je ne me le voyais pas le découper en deux. (. ❛ ᴗ ❛.)
Bientôt la fin, vous vous rendez compte ? Après presque 2 ans à écrire sur cette histoire, elle sera bientôt terminée. *Sniff*
Bonne lecture ! 📖✨
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Ils étaient près de la bâtisse après avoir gravit la pente de la colline et le soleil était à son zénith. Les aventuriers se regardèrent inquiets en voyant la vieillesse de la bâtisse et les lierres sur les murs donnaient un certain charme à l'Orphelinat. L'écriteau de l'Orphelinat était inscrit sur le fronton du bâtiment. Un corbeau croassa et Alycia vit, du coin de son œil, un papillon tournoyer autour d'eux et se poser sur une marguerite avant de repartir brusquement.
Les nuages bougèrent très lentement dans le ciel bleu et cachèrent, par mouvement irrégulier, le soleil. La neige recouvrait les marches du perron de la galerie qui entourait le manoir et munie d'un garde-corps. La galerie ceinture l'entièreté des côtés du manoir. Pour le toit, les adolescents virent des lucarnes à fronton triangulaires par-ci et par-là du toit qui était fait en ardoise. De grandes fenêtres ornaient les murs de l'étage supérieur.
Le vent souffla faisant chavirer quelques feuillages du grand jardin qui entourait le manoir et les arbres. Incertains, ils gravirent les marches du mini-escalier et virent sur la galerie, une table ronde avec deux chaises et une plante pour décorer la table en verre, installer à l'abri du soleil sur la galerie. La porte massive qu'ils avaient aperçu en bas des marches se fit plus grande et imposante. Grover déglutit et toqua à la porte.
Ils durent attendre de nombreuses minutes avant que la porte ne s'ouvre en grinçant par la vieillesse et l'usure. Une dame dans la trentaine les ouvrit et s'installa dans l'embrassure, les scrutant de ses yeux vairons portant une longue robe bleue foncée avec de la dentelle sur les extrémités de ses ouvertures les fit face. Elle passa une main dans sa frange blonde aux mèches bruns et les scruta, un à un.
—Ça fait longtemps qu'on n'a pas eu de visiteurs comme vous. Je dois avouer que la maison se fait extrêmement vieille et grinçante, ce qui fait peur aux voisinages, déclara-t-elle sans vergogne d'une voix sec.
Les adolescents se lancèrent des regards surpris et perplexe.
—Excusez-nous de vous déranger Madame...Euh, nous ne voulons pas plus vous importuner, mais nous souhaitons vous poser quelques questions, déclara Annabeth avec un ton de voix craintif.
—Entrez, entrez, n'ayez pas peur, dit leur hôtesse, enjoué et éclatante, tout le contraire de la voix stricte qu'ils avaient entendus de prime abord.
Ils se concertèrent encore plus étonnées avant de pénétrer dans le manoir et de suivre la femme jusqu'à l'immense salon. De nombreuses portes étaient incrustés dans le mur du couloir et donnaient un passage à une salle particulière de l'Orphelinat.
—Asseyez-vous, jeunes gens, les invita-t-elle.
Alycia hocha la tête et s'assit en première sur l'un des nombreux canapés du salon. Le salon était fait que de teintes verts et noirs avec quelques peu de ton blanc dans la pièce.
—Voulez-vous une tasse de thé ? demanda-t-elle.
—Avec plaisir Madame...Euhm...Commença Annabeth...
—Madame Aspremont... Je m'appelle Yseult d'Aspremont, se présenta leur hôtesse.
—J'accepterais volontiers une tasse de thé, Madame Aspremont, se reprit Annabeth en lui souriant et d'une voix respectueuse.
—Très bien, je m'absenterais pour quelques minutes.
Yseult partie du salon pour joindre la cuisine qui était de l'autre côté de la pièce. Uniquement, deux portes et un couloir les séparaient. De là où elle se trouvait et n'ayant pas fermée les portes, Yseult pouvait tout entendre ce qui se passait au salon.
Les adolescents observèrent chaque détail du salon : la table basse entre les canapés posés l'un en face de l'autre, une cheminée posée contre le mur de droite et des fenêtres installés partout faisait rentrées la lumière du soleil partout dans le salon. Un immense lustre au plafond y était installé et se reflétait sur la vitre de la table basse. Le feu de la cheminée crépitait et réchauffait les aventuriers de la fraicheur de la neige qu'il avait ressentis jusqu'à maintenant. Des rideaux contre les fenêtres étaient rangés sur eux-mêmes et laissaient aux adolescents de voir l'extérieur. Une bibliothèque ornait un des quatre murs du salon et des plantes verdoyait la pièce, installé par-ci et par-là sur des meubles qui chargeait le salon d'une douce odeur.
Plus tard, Yseult revint accompagnée d'un plateau où était déposée verre-à-thé et la théière ainsi que des petits biscuits qui accompagnerait le thé qui parfumait la pièce se mélangeant à celle des plantes et des fleurs. L'adulte déposa le plateau de thé sur la table basse et donna aux adolescents leurs tasses respectives.
—Merci beaucoup de nous accueillir dans votre manoir, Madame Aspremont.
—Je vous en prie, mon accueille n'était peut-être pas agréable pour vous après que vous aillez fait tout ce chemin pour me voir puisque ces derniers jours, je me sens seule au manoir.
—Qu'est-ce qui se passe avec l'Orphelinat ? demanda Grover, curieux.
—Eh bien, il ferma ses portes pour très bientôt, dans deux mois, répondit-elle.
—Qu'est-ce qui s'est passé ? demanda Alycia, malgré tout surprise même si Annbaeth les avait prévenues d'avance.
—Oh ! Je vois que vous l'information historique de notre Orphelinat n'est pas venue jusqu'à vos oreilles! Eh bien, il s'est passé beaucoup de chose entre ses murs et à l'extérieur qui fait en sorte qu'on fermera nos portes. Vous voyez, les enfants sont déjà partis dans d'autres Orphelinats ou dans des familles qui les ont adoptés, expliqua Yseult.
Un silence pesant s'installa après ces explications dramatiques et maussade. Yseult but une gorgée de sa tasse de thé, invitant ses interlocuteurs à faire de même. Uniquement, Percy ne suivit pas le mouvement, n'ayant pas l'envie pour le moment de boire son thé. Percy leva les yeux vers le lustre et réfléchissait à comment il devait aborder le sujet de leur venu.
—Sinon, si je ne m'abuse, vous devez être là pour une certaine raison, je me trompe ? le devança Yseult en le scrutant de ses yeux vairons.
Percy écarquilla les yeux et se plongea dans les pupilles différentes de leur hôtesse. Celle-ci déposa sa tasse de thé sur ses genoux et lui sourit.
—Eh bien, euhm...commença-t-il.
« A-t-elle lu dans mes pensées ? », pensa Percy, étonné.
—Allez-y, parlez sans crainte. Je vous répondrais honnêtement, déclara Yseult d'une voix calme.
Percy jeta un coup d'œil à Alycia et celle-ci hocha la tête positivement, l'encourageant à poursuivre la discussion tant attendue. Percy prit une inspiration pour se donner du courage et regarda l'adulte qui attendait patiemment en buvant quelques gorgées de sa boisson chaude.
—En effet, nous sommes bien présents ici pour une raison...Comment dire, assez particulière. Nous sommes à la recherche de quelqu'un et nous ne savons pas grand-chose à son sujet. Nous voulons des réponses à nos questions et nous pensons que vous êtes la personne la plus apte à y répondre...poursuivit Percy.
Un lourd silence poursuivit la déclaration de Percy et Yseult l'observa de ses yeux comme l'analysant. Elle se tourna vers Alycia et l'observa de ses yeux. Quant à Alycia, elle frissonna en sentant le regard pesant de leur hôtesse, mais soutient son regard tandis qu'Annabeth mettait une main sur son épaule droite pour l'épauler.
—Donc, si je comprends bien...Je dois connaître d'ores et déjà la personne que vous recherchez ? Écoutez, je vois des enfants tous les jours et de nombreux visages, je ne saurais vous dire si je le reconnaitrais, d'ailleurs, je ne sais pas qui vous recherchez et depuis combien de temps, mais il doit avoir grandi et changez de trait de visages, ça sera une tâche difficile, déclara Yseult.
—Vous le reconnaîtrez et nous aussi, avoua Alycia d'une voix tranchante et pressante.
Yseult sursauta et l'observa silencieusement. Alycia déglutit en sentant tous les regards sur elle et se renfrogna. Elle s'était précipitée à cause de la tension qui s'envenimait dans la pièce. Elle vit du coin de l'œil, Percy boire une première gorgée du thé donné par la jeune femme aux cheveux bicolores.
—D'accord, suivez-moi jusqu'aux archives du manoir. Je vous y emmène, dit Yseult en se levant.
Elle dépoussiéra sa robe bleue marine comme par automatisme et sortit du salon suivi de près par les adolescents. Ils montèrent l'escalier en bois massive qui était au bout du couloir et montèrent au deuxième étage. Ils longèrent un nouveau couloir éclairée par des lampes muraux et des cadres des enfants avec les employées de l'Orphelinat Mooren ornaient les murs comme des photos de famille.
Au fond du couloir, Yseult s'arrêta devant une porte en bois et l'ouvrit tandis que le grincement de la porte parvenait désagréablement aux oreilles d'Annabeth et Grover qui grimacèrent. Ils pénétrèrent dans le bureau qui était dans les tons blancs et bleus, et se mirent au milieu de la pièce.
—Les archives se trouvent dans votre bureau ? demanda Grover, curieux.
—Oui, en partie. Une autre partie se retrouve au sous-sol.
—Il y a un sous-sol ? demanda Annabeth, surprise puisque la bâtisse, de l'extérieur ne semblait pas en avoir.
—Oui, le manoir peut sembler ne pas en avoir, mais c'est très discret. La fondation est cachée par les arbustes, les fleurs que les enfants avaient plantés pendant les heures de jardinage et les mauvaises herbes qui ont grimpés depuis que notre jardinier n'est plus là à cause de la fermeture cache le sous-sol à la vue de tous, répondit Yseult en cherchant dans ses papiers de tiroir après s'être assise sur le fauteuil du bureau.
Elle sortit tous les dossiers sur chacun des enfants et les déposa sur le bureau. Yseult releva la tête et mit une de ses mèches de cheveux blonds derrière son oreille avant de scruter de ses yeux perçants les adolescents.
—Alors, comment cette personne s'appelle ? demanda-t-elle en entrelaçant ses doigts.
Annabeth se mit en avant pour être plus visible et se tourna vers Percy pour l'observer quelques secondes avant de plonger son regard marron dans ceux vairons de son interlocutrice.
—Clifford Kaviolasky, dit-elle fermement et fortement.
Yseult écarquilla les yeux en entendant ce prénom. Elle chercha ses mots, hébétés et prise au dépourvue avant de regarder attentivement la pile de dossier qui l'attendait sagement sur le bureau. Alycia jeta un regard à Percy, surprise de l'attitude de la femme qui lui semblait étrange et inattendue.
—Vous le connaissiez ? demanda Alycia, devançant Grover qui avait remarqué de la même manière qu'Alycia le mystérieux comportement d'Yseult.
Yseult soupira d'exaspération et hocha la tête tristement.
—Oui je me souviens de cet enfant. D'ailleurs, il n'en est plus un. Les années ont passés et il est adulte maintenant, mais ça, vous devez sûrement le savoir.
—Oui...On le sait. Ce que nous cherchons, précisément, c'est d'en savoir un peu plus sur son passé. Est-ce que vous avez des infos à nous donner ? demanda Grover.
Yseult tourna le regard vers le Satyre qui déglutit, pas encore habitué au regard stricte et peinée de leur hôtesse. Celle-ci se pinça l'arrête du nez et sourit timidement avant de parcourir les dossiers pour remonter celui de Clifford. Elle tapota dessus, cherchant ses mots et ouvrit délicatement le dossier.
—Clifford...Clifford...l'appela-t-elle dans un faible murmure.
Les adolescents désemparé par ce tournent de situation se regardèrent, confus.
—J'imagine...que si vous cherchez des infos sur Clifford...Vous devez être Grover, Annabeth, Alycia et Percy Jackson, les appela-t-elle en les pointant du doigt un à un.
Annabeth écarquilla les yeux en voyant la femme se lever et les regarder sournoisement. Grover ferma les yeux et soupira, énervé de s'être fait avoir. Quant à Alycia, elle déglutie et chercha un certain réconfort au près de Percy en essayant de lui prendre la main, mais ils étaient encore trop loin : uniquement, séparés de quelques mètres. Percy fronça les sourcils et approcha sa main du haut de son stylo-à-bisse afin d'y mettre un appui sur son arme, mais en tendant sa main, il sursauta.
—Ah, ah, ne touche pas à ça, mon petit, dit la femme d'une voix malicieuse et presqu'enfantine.
Percy s'arrêta, décontenancé et cédant immédiatement à la demande d'Yseult, la charmante jeune femme qui les avait accueillies. La tension changea brusquement et l'air devint plus suffoquant. Les yeux d'Alycia se mirent à piquer et à la déranger tandis que pour Grover il se mit à tousser. Annabeth sentie sa gorge lui faire mal et elle toussa à son tour tout en plissant un de ses yeux qui lui piquait également. Percy ne ressentit rien et regarda ses amis souffrir avec inquiétude et déconfit. Yseult sourit, mais son sourire disparue vite en voyant que cela n'avait aucun effet apparent sur Percy.
—Pourquoi tu n'es pas comme les autres, Percy Jackson ? À t'étouffer ! s'écria-t-elle, furieuse.
Elle cogna son bureau de son poing faisant sursauter Percy qui se recula et subitement, il sortit son stylo-à-bille pour l'actionner. Son épée en sortit et brilla dans la pièce tamisée. Un cri de rage s'échappa de la bouche pulpeuse d'Yseult. Celle-ci enjamba le bureau laissant le dossier de Clifford sur le dessus à la vue de tout le monde et Percy le vit bien.
Dès qu'elle passa de l'autre côté du bureau, l'air changea à nouveau et une bourrasque fit fermer les yeux de Percy avant de pouvoir les rouvrir. Il écarquilla les yeux en voyant le changement radical de ce vent levé en voyant la nouvelle forme d'Yseult.
Elle était parue d'une longue robe amplement drapées et imposante de couleur bleu pâle contrastant avec sa robe bleue-marine de tout à l'heure. Le pan de la robe partait en queue de sirène et flottait dans l'air. Ses cheveux blonds auparavant tressée en un chignon se transformèrent en une coiffure ébouriffée et longues. Sa peau beige devint beaucoup plus pâle presque fantomatique. Ses épaules étaient dénudées et ses pieds nus.
—Un...Un...fantôme ? demanda Percy sans attendre de réponse.
Plus une question à lui-même qu'à son interlocutrice. Cette dernière pleine de rage hurla et une nouvelle bourrasque pénétra la pièce. Secoué, Percy regarda autour de lui et vit ses ami(e)s allongés au sol, complètement évanoui. Seule, Alycia, restait encore éveillée de peu.
—Percy, l'appela-t-elle.
—Aly' !
Yseult observa la jeune fille et le jeune homme avant de sourire. Elle tendit ses mains vers la jeune fille et Percy cria de surprise en tendant ses mains devant lui en voyant un flux magique se diriger vers Alycia.
—Alycia ! l'appela Percy apeuré de perdre sa bien-aimée.
—Percy...murmura-t-elle dans un dernier souffle.
Au même moment, il entendit des bruits de pas provenir du couloir et il y jeta un coup d'œil discret. Son cœur s'accéléra lorsqu'il vit l'acolyte de Clifford au pas de la porte.
—Arthur !
La voix d'Yseult retentit et elle scruta le fils de Poséidon avec haine. Elle écarta son bras et un flux de vent fouetta de plein le corps de Percy qui se fit projeter contre le mur. Il cria de douleur et son souffle se coupa brusquement. Yseult se jeta sur Arthur et éclata d'un rire pétillant. Arthur leva les yeux au ciel, exaspérée du comportement enfantin de la jeune femme. Le jeune adulte regarda la pièce en désordre et son regard s'attarda sur la jeune fille aux cheveux roses. Il s'approcha de celle-ci et s'agenouilla pour observer son visage, à présent, endormie. Dans son dos, Yseult le suivi de près, flottant toujours dans l'air comme un fantôme. Elle pencha la tête sur le côté comme questionnée sur l'attitude étrange de son meilleur ami.
Arthur dégagea une des mèches roses d'Alycia qui s'est réfugiée sur le bout de son nez et la mit derrière son oreille avant de sourire et de sortir un petit rire satisfait.
—Ne la touchez pas ! s'exclama Percy en s'étant remis de son attaque.
Arthur se leva et se retourna pour scruter de ses yeux noirs ceux écument du fils de Poséidon. Celui-ci regarda Alycia et plongea ses yeux dans ceux de son adversaire, tendant son arme devant lui avec le regard plein de rage et de détermination.
Il allait protéger Alycia et ses amis. Coûte que coûte.
Quant à Arthur, il sourit narquoisement et leva sa main en l'air. Percy suivit le mouvement et le regarda, déconcerté. Arthur claqua des doigts faisant apparaître des bulles rosés qui voltigea dans le bureau sous le rire conquis d'Yseult. Percy vit ses amis se faire attraper par les bulles étant donné qu'ils étaient vulnérables et Percy trancha l'une d'entre elles qui venaient vers lui ainsi qu'une nouvelle avant de se faire attraper par une bulle qui s'était mise dans son dos.
—Vous allez faire moins les malins, maintenant, dit doucement Arthur.
Il tapa dans ses mains et les bulles rétrécir jusqu'à en devenir des billes presque comme celle bleus que tenaient Clifford dans ses mains à l'Olympe. Arthur s'agenouilla et ramassa les bulles devenus des billes rouler sur le sol pour venir jusqu'à lui.
—Allons-y, Yseult. Clifford nous attend, dit-il d'une voix confiante.
—Oh super ! Je vais revoir Clifford, s'exclama Yseult d'une voix fluette et enfantine.
—Mais d'abord, retrouve ta forme normale, veux-tu ?
Yseult hocha la tête promptement et ferma les yeux avant de retomber sur ses pieds qui touchèrent, à présent, le parquet du bureau. Ses talons bleus claquèrent sur le parquet pendant qu'elle suivait Arthur dans les nombreux couloirs de l'Orphelinat Mooren. Tous deux sortirent du manoir et commencèrent à marcher dans les airs tandis qu'on pouvait entendre des claquements de doigts parvenir aux oreilles d'Yseult et que des marches transparentes guidaient les deux alliés vers l'Olympe.