Chronique 5: Alerte

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Ce matin-là le sergent O'Neill est venus nous réveiller comme d'habitude, il a ensuite inspecter le dortoir et les quinze lits ,car la semaine dernière il a trouver de la drogue et bien sûr Rachel à été soupçonné mais Annabelle une autre fille de notre âge à été puni pour avoir fait accusé Rachel.

Tout les matins pendant deux semaines, Annabelle doit nettoyé les salles de bains des quatre dortoirs avant d'aller en cours, je suis bien contente de ne pas être à sa place.

Depuis mon arriver je me suis confirmer aux règlements de l'école car je ne veux pas me faire renvoyé, je commence à me dire que cette école est devenu ma maison.

La police n'a toujours pas retrouver mon frère et chaque fois que je sort dans la cour pour courir j'ai peur qu'il ne me tombe dessus mais comme Rachel dit:

-Si jamais il essais de rentrer dans l'école.,il va se faire arrêter par nos instructeurs.

Comme chaque matin je me dirige vers la cafétéria où je retrouve Rachel qui ce matin semple nerveuse, une fois mon gruau sur mon plateau je me dirige vers notre table.

Je m'assis en face de mon amie et je lui dit :

-Lydia pourrait peut-être demande au colonel de changer nos déjeuners, j'ai l'impression de manger de la boue.

-Tu as raison,je vais lui en parler.

-Tu t'ai endormi tôt hier

-Oui,je me sentais triste.

Soudain une alarme résonne et une voix dit à l'intercom :

-Attention, intrus dans la cour, tout les sergents en alertent.

Andrew se précipite vers nos et nous ordonne de ne pas sortir dehors et de rester cacher à la cafétéria.

En quelques minutes tout les sergents était sortie, je regarde autour de moi, j'ai l'impression d'être dans un cauchemar, en quelques secondes tout à changer et on attends des tirent qui se rapproche.

Des hommes armée entrent dans la cafétéria et nos ordonne de nous cacher sous les tables et de ne plus dire un seule mots et de faire un seul geste.

Je me lève et je vais me mettre sous la table avec Rachel, je regarde autour de moi et j'aperçois Lydia qui pleure toute les larmes de son corps, Rachel lui murmure :

-Le colonel va nous sortie de là, tu verra.

La pauvre Lydia répond :

-Ils vont tous être des tâches de coquelicot.

Les soldats qui montent la garde font le tour pour que tout les élèves les voit et sachent qu'ils sont en sécurité.

Les deux grandes portes sont condamné par une grosse barre de fer et les portent qui donnent sur le corridor qui mène à l'escalier son également condamné, plus rien ne peut entrer ni sortir, enfin je crois.

Les chroniques de LauraWhere stories live. Discover now