Mon mariage à tout prix

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On poursuit jusqu'à obtenir nos six destinations qui sont Rome, Bombay, Mexicaly, Hawaï, Dubaï et Japon.

* on commence par où et on dure combien de temps là-bas ?

* quatre jours ça nous fera presque un mois ! On va au Japon bitch

* yeah on se casse d'ici et vite.

Je rejoins ma chambre puis vide l'armoire, plus d'ensemble sur mesure digne d'une femme d'affaire. J'emporte mes pantalon jeans slim des body d'été super sexy des shorts en jeans, crop top robes évasés. Je fourre tout dans mes valises avec mes produits de soin de beautés, mes chaussures que je viens de récupérer dans mon immense penderie qui peut contenir toutes sortes de fringues à la mode, chaussures et digne d'une boutique de H&M. Je n'oublie pas ma trousse de maquillage j'emporte juste le nécessaire car une fois sur place c'est sûre que je ferai du shopping en à mourir. Avec mon visa je peux voyager partout dans le monde, on quitte la maison avec Hakim il avait déjà tout prévu en avance du coup ses valises sont dans le coffre. Nous rejoignons l'aéroport international Léopold Sedar Senghor pour les vols privés. Et c'est partir pour un mois de follie dans les recoins du monde.

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Avec le décalage horaire nous arrivons à Osaka en Japon dans l'aube. Je suis crevée de fatigue, Hakim ne voyait plus rien miskine il somnole comme un hippopotame et ça me fait trop rire.

* tu veux que je t'en colle une ?

* castor tu ressemble à quelqu'un qui vient de réaliser que sa vie ne signifiait rien ahahahah !

* t'es pathétique !

* tu as réservé quel genre d'hôtel ?

* plutôt motel !

* tu te fiche de ma gueule ?

* ferme la et suis moi !

Nous nous éloignons du taxi après avoir fait un tour à la banque puis rejoignons notre hôtel cinq étoiles heureusement pour lui car sinon je l'aurai étriper sur place. L'accueil est juste parfait, le personnel est au soin et ça ne fait que me réjouir encore plus. Pas le temps d'apprécier nos chambres chacun a la sienne Hakim me claque la porte au nez.

* maboule ! Crétin ! Idiot ! Poubelle !

Il ouvre la porte par surprise aussitôt je prends la fuite et rejoindre ma chambre puis verrouille la porte avant d'éclater de rire. Mes valises ont été déjà installées, je me jette sur le lit et lutte pour ne pas sombrer dans mes pensées mais trop tard. Médoune hante aussitôt mon esprit et si jamais ça se manifeste devant Hakim je suis cuite. Je me demande ce qu'il fait en ce moment, s'il s'envoie en l'air avec sa choses dégoûtante ou pense plutôt à moi chose impossible vu que je ne comptes pas pour lui. Énervée je récupère l'ordi sur la table puis navigue sur Internet, je suis là pour m'amuser et non pas déprimer à cause d'un mec qui sûrement mène sa vie au calme et ne se soucis pas de moi. Mais ça fait quand même un mal de chien, rien que de l'imaginer avec sa copine me donne envie de vomir. Je crée un compte facebook, j'ai déjà Instagram mais c'était pour poster des vidéos de cuisine avec Hakim des maisons à vendre. Mais je crée un autre compte qui parlera de ma vie privée en postant des photos de moi très sexy mais pas vulgaire non plus, je me me crée aussi un compte snap chat, Twitter j'en ai déjà car je suis une personnalité très influente dans mon pays et un peu partout dans le monde. Je fais la promotion de mon Facebook et nouveau compte Instagram sur Twitter afin que les gens viennent s'abonner. Je me lève du lit puis pars prendre une douche, je commence à m'appliquer du maquillage puis enfile une tenue assez convenable et super top pour ensuite me prendre en photo avec, sans publier de me coiffer. Ainsi de suite jusqu'à ma neuvième tenue, mon téléphone performant peut réaliser des images super nettes et captures  extraordinaires. Je les poste sur le net, je reçois des pluies de followers sur Instagram un truc de malade que j'arrive pas à maîtriser juste en mettant une photo de profils alors que je n'ai rien encore posté là dessus. Sur Facebook j'en ai posté juste trois, les Likes s'enchaînent et ça me fait plaisir. Je me laisse tomber sur le lit en arrière avec un énorme sourir sur le visage puis ferme les yeux, je ne me suis même pas rendue compte lorsque j'ai sombré dans les bras de Morphée.