~ Quand le jeu du chat et de la souris prend fin... ~

4 2 0
                                    

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Hey les gens ! J'espère que vous allez bien :)
On se retrouve aujourd'hui pour le huitième chapitre de cette fanfic, et on est toujours à peu près à la moitié de cette fiction xD

N'hésitez pas à me laisser une review pour me donner votre avis, ça me ferait super plaisir :)

Bref, je vous laisse à votre chapitre ^^

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

.

.

Bonne lecture !

.

.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

.

.

Chapitre VIII : Quand le jeu du chat et de la souris prend fin...

.

.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

.

PDV Mathieu

.

Je soupirais doucement, avançant sur la route déserte, mains dans les poches. A côté de moi, Antoine avançait à pas lents, regardant la carte routière : nous nous étions trompé de route plusieurs fois, et si jusqu'à là nous avions trouvé notre chemin facilement depuis notre fuite, il en était différemment désormais.

« Alors ? Tu as réussi à trouver le chemin ?

-Ouai, je crois qu'on est sur la bonne route maintenant, mais on n'arrivera pas à Rom ce soir. On va devoir faire une hale ailleurs, on continuera la route demain. On va atteindre Saint-Gelais d'ici deux ou trois kilomètres, on peut se poser aux alentours et passer par le village en partant demain pour voir si on trouve des trucs intéressants. »

Je soupirais et acquiesça ses dires en hochant la tête, donnant un coup de pied dans un caillou. Il faisait froid, le ciel était gris, j'avais le moral au fond de mes chaussettes... enfin en même temps, comment être de bonne humeur avec la situation actuelle ?

Perdu dans mes pensées, je n'entendis pas le bruit d'un moteur arriver, et Antoine pas tout de suite non plus visiblement. Il sursauta et se tourna vers moi, et je le sentis me pousser violement dans le fossé près de la route, avant qu'il ne se jette près de moi. J'atterrissais durement sur l'herbe sèche, reprenant mes esprits en grognant, me tournant vers lui.

« Qu'est-ce que tu fous ?! »

Il n'eut pas le temps de me répondre : un quatre-quatre militaire arriva rapidement à notre hauteur pour s'arrêter près de nous : le but d'Antoine de nous cacher dans ce petit fossé près de la route avait visiblement échoué : en même temps dans ce fossé minuscule, on ne pouvait rien cacher, pas même un type d'un mètre soixante, et encore moins un d'un mètre quatre-vingt...

« Смотри ! здесь двое мужчин ! »

Mon cœur loupa en entendant cette langue que j'avais appris à détester ces dernières années : je me redressais vivement, des sueurs froides coulant dans mon dos et jetais un regard de détresse à Antoine avant de me tourner vers la voiture. Deux hommes baraqués en costume militaire descendirent du véhicule, l'un deux pointant une arme sur nous, l'air agressif.

Au moment de l'apocalypseWhere stories live. Discover now