gossip girl Chuck x oc

3

chapitre 3

Le point de vue de Lux

Comment Nate et Serena pouvaient-ils s'accrocher derrière le dos de tout le monde? Comment Serena pouvait-elle faire ça à sa meilleure amie? Comment Nate a-t-il pu faire ça à sa petite amie? Je pensais que c'était un meilleur gars que ça, apparemment j'avais tort. Pas étonnant que Serena soit partie, je ne pourrais plus jamais regarder Blair dans les yeux. Peut-être que ce n'est pas à moi de dire quoi que ce soit; Je veux dire, c'était il y a plus d'un an.

"Alors, quel est votre plan captain? Allez-vous simplement valser là-dedans alors qu'ils sont en train de se déchirer les vêtements et de laisser échapper Nate a couché avec Serena?" Chuck a demandé de me ramener dans la réalité, imaginant probablement la scène entière se déroulant dans sa tête. Je l'ai regardé du coin de l'œil.

"Je n'ai pas de plan." Avouai-je, sentant à quel point l'alcool m'avait rendu étourdi. "Je ne peux pas faire irruption là-dedans, c'était stupide. C'est ma meilleure amie, je voulais juste la protéger, tu sais?" Je me confiais à lui, ce qui était la pire chose que j'aurais pu faire. C'est Chuck après tout. Il eut un sourire narquois et prit une photo du scotch qu'il soignait depuis notre arrivée en limousine.

"Arthur, retourne au palace." Chuck a demandé à son chauffeur, je l'ai regardé confuse. "Pourquoi rentrons-nous au palais?" '' Ai-je demandé, consciente de la proximité de son siège à côté de moi. "Eh bien, je doute que tu veuilles dormir sous le même toit qu'eux s'ils font l'amour, et je suppose que la place de Serena est hors de question maintenant, donc je suis la prochaine meilleure option." Insista-t-il en roulant des yeux.

Blair m'avait dit de trouver un autre endroit pour rester ce soir; Je n'aurais jamais imaginé que ce serait avec Chuck, dans sa suite à l'hôtel Palace. J'ai frotté ma main sur mon visage et secoué la tête.

"Très bien," je lui ai tiré dessus, "Mais si tu penses que nous ferons autre chose que dormir, tu te trompes." »Lui dis-je, retirant de nouveau sa main de mon genou. Finalement, il se rapprocha de son côté de la limousine et eut un sourire narquois pendant qu'il finissait son verre.

Je pouvais voir le flou des lumières de la ville siffler à l'extérieur des fenêtres teintées de la limousine. La ville de New York était à couper le souffle la nuit; c'était vraiment la ville qui n'a jamais dormi. J'ai posé ma tête sur la fenêtre et j'ai essayé d'arrêter de tourner. Nous avons regagné le palais une vingtaine de minutes plus tard, à cause de la circulation. J'ai suivi Chuck jusqu'à sa chambre et l'ai suivi dans sa suite.

Ce n'était pas grand, mais ce n'était pas petit non plus. Il avait un lit king size à droite de la chambre et un canapé et un coin repas avec une kitchenette à gauche. La chambre était parfaite pour un bass. J'ai placé mon sac sur le tapis à côté du canapé et j'ai regardé dans la pièce. Cela semblait à peine vécu. "Alors ton père reste-t-il ici avec toi ou non?" Demandai-je, alors que Chuck enlevait sa veste de costume et s'assit sur le canapé.

"Non, mon père ne reste pas ici, il préfère garder ses distances." Chuck répondit avec une telle retenue dans sa voix. J'étais ami avec lui depuis longtemps, mais je ne savais presque rien de sa vie personnelle, à part que son père était riche et possédait la moitié de l'Upper East Side. Je m'assis sur le canapé avec lui et regardai le jeu sur lequel il avait allumé le téléviseur. "Alors, quel est le problème avec toi et Nate?" Demanda Chuck, brisant le silence qui s'était installé dans la pièce.

J'ai ri, "Je te l'ai déjà dit. Il est comme un frère moi aussi. Pourquoi?" Ai-je demandé en le regardant. Il avait l'air fatigué et épuisé. "Je suis juste curieux, c'est tout. Vous ne vous êtes jamais connectés." Il a dit, se tournant pour me faire face sur le canapé plus, "Non, Chuck nous n'avons jamais, et nous ne le ferons jamais." Je l'ai rassuré et j'ai ri à nouveau de sa question soudaine. J'étais plus fatiguée que je ne le pensais; parce que je penchais ma tête dans le dossier du canapé et avant que je le sache, j'étais comme une lumière…