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Manhattan, NY.
14:17.

Calista

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Calista.

Je descends de l'avion et m'étire. C'était la toute première fois de ma vie que je prenais l'avion, et j'ai vraiment détesté ça. L'angoisse de savoir si on allait se cracher, le siège qui me fait mal au dos, et ne parlons même pas de l'idiot qui m'a renverser son verre de jus d'orange dessus pendant son sommeil.

Je prend ma valise et passe a travers la longue queue. Une pancarte avec écrit mon nom dessus m'interpelle, alors je lève la tête pour voir qui la tien et je croise le regarde de celui à côté. Je fronce les sourcils et lui de même. Je reconnaîtrai se regarde glaciale par cœur, le gars de la soirée.

– J'espères que c'est une blague. Je soupire

– Dépêches toi, j'ai pas que ça à faire. Dit-il d'une voix froide et strict

Je lève les yeux au ciel et le regarde s'en aller en direction de la sortie.

Bonjour et merci, j'ai passé un bon voyage. Je soupire, Il est toujours comme ça ton pote? Je demande au gars qui tenais la pancarte

Je n'ai pas vraiment eu le temps de voir le visage du gars qui tenait la pancarte à cause de Mr.Grincheux, mais il est plutôt sexy l'enfant. Son beau teint mate fait ressortie le magnifique vert de ses yeux. Ses cheveux sont brun est forme de jolie boucles le rendant encore plus séduisante. Comme son copain le nerveux, il porte une chemise blanche et un costard noir sans y ajouter une cravate. Se qui lui donne un air plus décontracté.

– Je te jures que on s'y habitue. Dit-il d'un sourire accueillant

Seigneur, merci d'avoir doter cet bel inconnu d'un sourire aussi merveilleux.

– Je m'appel Edwardo, mais Ed c'est plus facile. On ferai mieux de se dépêcher Mlle Mahamat-

– Calista. Je l'interrompt

Il me fait un signe de la tête et nous nous dirigeons vers la sortie. Nous arrivons devant une grande Range Rover noir. Je n'est même pas besoin de m'y connaître en voiture pour savoir qu'elle vaut chère.

Je m'apprête à aider Ed pour ranger mes bagages mais il m'arrête et me fait signe de monter dans la voiture. Ça m'embarrasse un peu de le laisser faire ça, j'ai pas l'habitude. Je ne force pas et suis son ordre.

Arrivée dans la voiture, Calum est sur la banquette arrière entrain de pianoter rapidement sur son téléphone. Je m'assois derrière la place du conducteur sur la banquette arrière et attache ma ceinture.

Si j'avais su que je serais la femme de se prétentieux pendant 6 mois j'aurais peut être revue le contrat. Vivre avec se type h34 doit être un clavaire. L'enfant ne sourit pas, est désagréable, et passe son temp à lancer des regards froid. Mais si il y a bien un truc qui me fait mal d'admettre c'est qu'il est magnifiquement beau.

Il dégage un charme qui en ferait tomber plus d'une. Sa mâchoire carré, ses cheveux brun qui ont l'air d'être parfaitement entretenue, sa peau sans default, ses lèvres pulpeuses et rosé, son nez parfait accompagné de taches de rousseurs, et ne parlons même pas de ses yeux tellement profond que ont pourrait s'y perdre dedans. Le faite qu'il ai confiance en lui lui rajoute une prestance en plus à son charme déjà énorme. Dommage que sa personnalité est venu tout gâcher.

Après on peu pas tout avoir dans la vie.

– Tu veux bien arrêter de me fixer?Dit il toujours les yeux sur son téléphone

– Quoi? J'ai pas le droit d'admirer mon futur faux mari? Je rétorque

Il ne me réponds même pas et se contente de continuer à taper sur son téléphone. Vraiment un glaçon se gars.

Ed monte dans la voiture, s'assoit à la place du chauffeur et démarre la voiture. Il conduit pendant quelques minutes puis nous arrivons devant un grand immeuble, comme celui qu'on voit dans les films nommé "un amour à new york" romantiquement dégoûtant à la télé.

Je m'apprête à quitter la voiture quand il m'arrête et attrape ma main. Étrangement ses mains sont douces et chaudes, même rassurante.

– Je peux savoir à quoi tu joues? Je dis

Quelque chose de froid vient se glisser sur mon doigt et dès qu'il retire sa main une bague en or blanc est placée sur ma main. La bague est plutôt simple, du moins au première abord. Des pierres qui ressemble a du diamant sont incrustées un peu partout, et en plein milieu de la bague se trouve un diamant plus gros que les autres.

– C'est quoi ça? Je demande

– T'as déjà vue une mariée sans bague? Dit-il en quittant la voiture

Je lance un dernier regard à la bague et soupire.

Le faites de actuellement avoir quelque chose à mon doigt rend la chose plus vrai. Moi qui imaginer que l'homme qui aller un jour me passer la bague au doigt m'aimerai sincèrement, je me suis mis le doigt l'œil.

Je descends de la voiture et suis le brun au pas. Arrivée dans le hall de l'immeuble je suis bouche bée par la décoration. Tous est un assortiment de blanc et dorée. Un énorme lustre en crystals en plein milieu du hall donne la majorité de la lumière. Des hôtesses marche un peu partout aidant les résidants. On se croyais dans la vie de palace de Zac et Cody version milliardaires.

– Welcome back, Mister Reynolds. Dit une hôtesses en le bouffant des yeux

Je savais que il avait la cote auprès des femmes.

Il ne lui sourit même pas et se contant de faire un signe de la tête. Nous entrons dans l'ascenseur et il passe une clef dans la serrure du dernier chiffre sur le compteur. A peine les portes fermées qu'il repart sur son téléphone.

– Je peux savoir pourquoi t'as besoin d'une clef pour appuyer sur un bouton. Je dis

Il ne prend même pas la peine de me répondre.

– L'appartement est au tout dernière étage. Répond Ed

– Donc quoi? Moi j'ai pas de clef spéciale pour aller au troisième étage. Puis il est où le but d'avoir une clef pour son étage et son appartement? Je sort perplexe

– Non, rigole Ed avec son magnifique sourire, Il y a qu'une seule clef. Calum à tous les deux dernière étages.

– Quand tu dit tous LES DEUX dernières étages t'insinue quoi? Je demande

– T'es vraiment pas une lumière. Sort Gage

– Ouais bah si au lieu de garder ton vieux nez sur ton téléphone tu répondais à mes questions on avancerait beaucoup plus vite mon chéri. Je dit en lui lançant un regard accusateur

Il lève la tête de son téléphone et n'a pas l'air d'aimer mon commentaire, et sincèrement? J'en ai rien à foutre.

Le ding de l'ascenseur retenti et je tombes sur le plus belle apart que je n'ai jamais vue de ma vie.

To be continued...

𝐅𝐚𝐤𝐞 𝐑𝐢𝐧𝐠𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant