Clones.

"Elle peut pas venir ici..et nous voir tout les deux."

Allan : « Quoi qu'il en soit,cette histoire est aller beaucoup trop loin dit-il nous interrompant. J'ai pris l'initiative de demander à Raya de venir ici pour régler cette affaire à l'amiable mais je ne suis pas sûr qu'elle viendra.»

J'ai l'impression que tout le monde ici la connaît mieux que moi et ça me rend fou. C'est moi qui était avec elle sur cette île et c'est moi qui devrait être le seul en contact avec elle.

Quand j'ai lu sa conversation par sms avec mon frère,ça m'a encore plus conforter sur le faite qu'Aldo était un putain de malade. Il écrivait comme moi,utiliser les mêmes emojis et pleins de trucs semblable. Il a habitait dans mon appartement,gérer mon entreprise alors que moi j'étais en pause en Amérique. Il n'a jamais été trop business,il préfère les voitures d'où le faite qu'il en a fait son métier.

Aldo : « Elle peut pas venir ici..et nous voir tout les deux dit-il paniqué.»

Maria (leur mère) : « Bien sur qu'elle va venir et que vous allez tout lui dire. Que vous vous êtes moqués d'elle,elle le sait déjà et je ne pense pas qu'elle a besoin que tu le lui rappelle. Aldo tu vas dire la vérité à cette fille et tu l'a laissera continuer sa vie. Tu mérites absolument pas d'être à ses côtés.»

Aldo : « Vous comprenez pas,elle acceptera plus jamais de me voir.»

Aloïs : « Elle est amoureuse de toi comme tu l'a dis plutôt dis-je en me levant,alors si elle t'aime si fort..elle pourrait te pardonner non?»

Allan : « En attendant qu'elle arrive..Elena..depuis cette fameuse soirée,nous n'avions pas pu parler de ce qui a été dit.»

Elena : « Oui..je suis un peu honteuse que ça ce soit passé de la sorte et que pleins de chose ont été dites. Je comprendrais si vous êtes déçu,mon image et celle de ma famille en a prit un sacré coup. J'aurais dû essayer de vous le dire avant que tout ça ne ce sache d'avantage.»

Maria : « J'aurais osé espérer que ce soit faux et que cette jeune fille avait inventé tout ça. Mais même quand j'y repense maintenant et avec tout les dégâts que ça a créer dans nos familles,elle a bien fait. Une personne avec un caractère comme tel,n'aurait jamais laisser une humiliation pareil lui pourrir la vie.»

Bien sûr que c'était bien fait pour eux,fallait en plus de ça avoir de la peine? C'est même pas comparable aux plans diaboliques qu'ils ont manigancés. Je suis quand même un peu surpris que mes parents prennent ça entre autre plutôt bien,à l'époque,une fois plus Aldo aurait déjà fait un tour dans un camp de redressement.

La sonnerie retentit et c'est d'un geste commun que nos regards se tournent tous vers la même direction,l'encadrement de la porte. Quelque part,une partie mais toute petite partie de moi est content de la revoir,mais je ne peux pas exprimer ma joie en vue de tout ce qui s'est passé.

Son regard croise le mien en premier lieu,elle fronce les sourcils au fur et à mesure qu'elle s'avance dans la salle principale sans rompre le contact visuelle. Je ne pu m'empêcher d'avoir un sourire en coin,putain,c'est quelque chose cette fille. Elle avait des cheveux rouges maintenant,ça lui allait bien.

Aldo : « Raya..t'a décider de venir? Dit-il en souriant.»

Elle décroche pas le regard,même pas un instant,elle continue à me percer avec ses yeux. Une micro seconde plus tard,son regard change de direction et dévie vers mon frère.

Je ne sais pas ce qu'elle doit pensait en ce moment même,mais vu sa tête surprise elle doit sûrement passer par toute sorte d'émotion. Je comprends,j'aurais probablement réagit pareille si je venais de découvrir quelque chose au quel je ne m'y attends pas.

Aldo : « Je suis contents de te voir.»

Elle ne répond pas,semblant surtout agacé qu'il lui adresse la parole.

Raya : « Vous avez dis vouloir me parler de quelque chose d'assez urgent,j'ai pas trop votre temps donc bon allez à l'essentiel.»

Allan : « Ça me fait plaisir de te revoir aussi Raya surtout après que t'es humilié ma famille a l'échelle mondiale.»

Raya : « Je ne dirais pas que le plaisir est partagé,mais c'était mon cadeau pour votre invitation. Toujours remercier les gens qui vous donne des opportunités comme ont dit.»

Allan : « Il rit presque,installe toi.»

Je dirais que mon père l'apprécie plutôt bien. Ça me surprend presque de le voir à l'aise et souriant avec une personne autre que sa famille..et encore c'est pas encore au top question famille. J'ai juste l'impression qu'il adore cette situation,l'humiliation et tout ce qui s'en suit,ce dans quoi il baigne depuis des années. C'est son domaine.

Ça le fait rire de voire son fils dans cette situation,et je suis même sûre que secrètement cette histoire est un pain béni pour lui,à l'échelle mondiale ont se souviendra de cette histoire mais pas que,ça va susciter énormément de réaction,et plus l'empire Greenwald est à découvert plus les actions augmentent.

Elena : « Salut Raya dit-elle doucement.»

Raya : « Elle lève les jeux aux ciel,du coup pourquoi est ce que je suis la? Demande t-elle.»

Maria : « Pour mettre fin à toute cette histoire,ici dit-elle me montrant du doigt,c'est notre fils. Il est le frère jumeaux d'Aldo.»

Raya : « Très bien mais en quoi ça me regarde madame? Elle marque une pause,Aldo? Qui est Aldo?»

Maria : « J'ai fais bref,puisque vous dites ne pas avoir de temps.»

Raya : « Gaspiller pas votre salive longtemps du coup dit-elle en se levant,je commence à plus supporter cette putain de famille.»

Elle sort de la pièce,s'en va t-elle vraiment? Sur ce coup là elle nous a tous laisser sur le cul. Elle vient de nous pointer et de ce barrer,quel incroyable audace. Je sais qu'elle est de nature «je m'en foutiste» mais je dois avouer qu'elle me surprend.

J'essaye de la rattraper tant bien que mal,sur l'instant je me suis précipité mais maintenant que j'avais réussis à l'arrêter et me retrouver face à elle qu'est ce que je peux bien lui dire,surtout qu'elle pense que je suis Aldo et en l'occurrence,..me déteste déjà.

Raya : « Je t'ai déjà dis que je voulais plus te voir.»

Aloïs : « Tu te méprends,je suis le frère jumeaux d'Aldo..Aloïs enfin..le vrai Aloïs.»

Raya : « Elle fronce les sourcils,tu te fous de ma gueule? J'ai pas vraiment envie de rigoler là.»

Aloïs : « Aldo est nul en dessin,il sûrement même dû te dire qu'il déteste dessiner. C'est moi qui est envoyé l'œuvre,je l'ai dessiné comme je l'ai vécue. Je ne suis pas certain que tu saches ni lui d'ailleurs que cette nuit j'ai mis un bon moment avant de dormir et qu'à chaque fois que tu recommençais cette berceuse,je souriais parce que ta voix qui plus est horrible a réussit à m'endormir.»