Clones.

"Cette fille qui était avec vous sur cette île."

Aloïs : « Il ne lui a pas livré la peinture que j'ai envoyé n'est ce pas?»

J'ai mis du temps à le faire,c'est vrai que l'idée est un peu abusé mais c'était une façon de m'excuser de ne pas avoir prit de ses nouvelles et également une manière de montrer que je n'oubliais pas la personne qu'elle était et que j'avais beau avoir été désagréable sur cette plage mais que je n'oublie pas que grâce à elle j'avais survécu.

Ça m'avait plutôt arrangé au début quand je n'avais pas de réponse de sa part,je lui avais donné mon numéro mais abruti que je suis,je pense avoir laisser mon téléphone en France. Peut-être qu'elle doit m'en vouloir? C'est probable.

Après ce qui s'était passer sur cette île,cette accident,une semaine après j'ai décoller de la France pour rentrer chez moi. J'avoue que cette expérience m'a un peu touché,c'était un choix personnel de retourner en Amérique. Je voulais m'éloigner de tout et juste me remettre en forme.

Tim : « J'ai entendu dire par votre mère que Monsieur Allan avait rencontré cette jeune femme et qu'il était impressionné de sa détermination.»

Aloïs : « Putain,je comprends pas,je ne comprends rien à ce qu'il se passe.»

Tim : « Vous devrez parler avec votre famille.»

Aloïs : « Je suis partis un année et j'apprends à mon retour que presque toute ma famille connaissent Raya,alors qu'ils n'ont aucun contact avec elle.»

La voiture s'arrête devant la maison familiale,j'ai jamais aimé cette maison. Je m'attends à voir ma mère et mon père,Alessia n'est pas encore rentrée à la maison et connaissant mes parents,ils ne voudront pas qu'elle quitte le centre de désintoxication sans être sûre qu'à sa sortie elle soit complètement clean.

Concernant mon frère Aldo,je ne sais pas si je le verrais. Il n'est pas trop réunion de famille,moi de même mais ma mère est ma seule motivation.

Je fus accueillis par cette dernière qui ce tenait devant la porte d'entré. Ça faisait un moment que je ne l'avais pas vu et ça même si elle habitait à quelque pas de mon appartement. Je ne sais d'ailleurs pas pour quel raison ils sont décidés de déménager soudainement à Paris.

Maman : « Mon fils..ça fait plaisir de te voir de retour dit-elle en me traînant par la main. Tout le monde est là pour toi.»

En effet,tout le monde semblait être présent,même mon frère. Ma discussion avec Tim me revient,tout me semble pourtant normal. Elena était même présente,faut croire qu'en une année rien ne change,c'est toujours autant une putain de sangsue.

Je dépose mes affaires et me rapproche. Mon regard reste bloqué sur mon ancienne téléphone et par réflexe je le saisis. Elle m'a peut-être répondu.

Aldo me l'arrache des mains et s'en va par la même occasion sans dire un mot. Je le rattrape,rentre dans sa chambre.

Aldo : « Dégage Aloïs,j'ai pas envie de rigoler.»

Aloïs : « Tu penses que c'est mon cas? Ce téléphone m'appartient. Donne le moi.»

Aldo : « Il est à moi maintenant.»

Aloïs : « Écoute moi bien,c'est n'est pas parce que tu es mon frère jumeaux que je vais pas te cogner.»

Elena : « Ça suffit les gars intervient Elena.»