Partie 34

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Salam Aleykoum










Je me retourne et je vois Sofiane avec une petite fille de quelques mois.
Que me veut-il encore ?

Moi : est-ce qu'on se connaît ?
Sofiane : Kamila hefek, arrêtes tes gamineries
Moi : t'as finit ? Salut

Je pars vers un autre rayon mais il me suit.

Sofiane : je me suis marié
Moi : ah, c'est bien, Ma Shaa Allah bonheur
Sofiane : merci, c'est ma fille
Moi : t'es belle ma puce, bon salut

Pourquoi me raconte-t-il sa vie ?
Les calculs ne sont pas bons Sofiane.

Rita : c'était qui ?

Je l'avais complètement oublié celle là.

Moi : Sofiane
Rita : le pot de colle là ?
Moi : oui
Rita : Este idiota no quiere entender que después de la hora, ya no es el momento (cet idiot ne veut pas comprendre qu'après l'heure, c'est plus l'heure)
Moi : mdr quelle heure même ? Bref, il est marié et a une fille
Rita : écoute, tant mieux pour lui
Moi : ouais

Je paye puis je rentre à la casa.








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J'appelle Kaïs pour qu'il prenne les courses et j'entre avec Suhîl. Comment vous dire que c'est le bordel !

Ayoub : L'ENFANT EST LÀ
Safiya : tu ne peux pas dire tout simplement que Suhîl est là ?
Ayoub : c'est un enfant
Shayna : oui mais il a un prénom
Azra : oh chut, je veux entendre la télé

Elle était dans les bras d'Isko. Quand est-ce qu'ils vont se mettre ensemble ?

Je donne mon fils à Assa qui était avec Nabil et je vais ranger les courses avec Kaïs dans la cuisine.

Moi : NE TRAUMATISEZ PAS MON GOSS SVP !!
Ayoub : tg orh
Moi : mdr, qu'est-ce que tu as ?
Kaïs : rien

Il fuyait mon regard.

Moi : t'es sûr ? Eh regardes-moi !

Je prends sa mâchoire et je le force.
Son regard était vide, trop bizarre.

Moi : j'espère que tu ne me caches rien Kaïs !
Kaïs : t'inquiètes
Moi : laisses, je vais finir de ranger, vas avec les autres
Kaïs : vas-y

Son état m'inquiète un peu même si ça ne doit pas être un truc de fou.

Du moins, je pense.

Je finis et je rejoins les autres au salon.

Moi : vous comptez vous barrer quand ?
Imrân : quand tu nous feras à manger !
Moi : mort de rire, tu as une mère
Imrân : oui mais pas de femme, malheureusement
Alhem : il m'énerve à faire le miskine
Assa : à croire qu'il ne peut pas cuisiner seul
Imrân : voulez-vous me faire ?
Nabil : je crois bien kho

« C'ÉTAIT LUI, ET SEULEMENT LUI... »Onde as histórias ganham vida. Descobre agora